[francesco] Mes critiques en 2015

[francesco34]

CLASSEMENT 2015




1. A la poursuite de demain (Brad Bird) : 9/10
2. Mustang (Deniz Gamze Erguven) : 9/10
3. Mad Max Fury Road (George Miller) : 8,5/10
4. Vice-versa (Pete Docter) : 8/10
5. Le dernier loup (Jean-Jacques Annaud) : 8/10
6. Souvenirs de Marnie (Hiromasa Yonebayashi) : 8/10
7. Jupiter ascending (The Wachowskis) : 8/10
8. 108 Rois-Démons (Pascal Morelli) : 8/10
9. Birdman (Alejandro G.Innaritu) : 7,5/10
10. Réalité (Quentin Dupieux) : 7,5/10

11. It follows (David Robert Mitchell) : 7,5/10
12. Ex Machina (Alex Garland) : 7,5/10
13. Sea fog, les clandestins (Shim Sung-bo) : 7,5/10
14. Les nouveaux héros (Don Hall) : 7/10
15. Shaun le mouton (Mark Burton) : 7/10
16. The voices (Marjane Satrapi) : 7/10
17. Tale of tales (Matteo Garrone) : 7/10
18. Papa ou maman (Martin Bourboulon) : 7/10
19. Les merveilles (Alice Rohrwacher) : 7/10
20. Tokyo fiancée (Stefan Liberski) : 6,5/10

21. Microbe et Gasoil (Michel Gondry) : 6,5/10
22. Hacker (Michael Mann) : 6,5/10
23. Girls only (Lynn Shelton) : 6,5/10
24. Maggie (Henry Hobson) : 6,5/10
25. Imitation game (Morten Tyldun) : 6,5/10
26. Hard day (Kim Seung-hun) : 6,5/10
27. Night run (Jaume Collet-Sera) : 6,5/10
28. Vincent n'a pas d'écailles (Thomas Salvador) : 6,5/10
29. L'enquête (Vincent Garenq) : 6,5/10
30. Liberal arts (Josh Radnor) : 6,5/10

31. Jurassic World (Colin Trevorrow) : 6/10
32. Famille recomposée (Frank Coraci) : 6/10
33. Kingsman, services secrets (Matthew Vaughn) : 6/10
34. A 14 ans (Hélène Zimmer) : 6/10
35. En route! (Tim Johnson) : 6/10
36. Big eyes (Tim Burton) : 6/10
37. Comme un avion (Bruno Podalydès) : 6/10
38. Dark places (Gilles Paquet-Brenner) : 6/10
39. Divergente 2 (Robert Schwentke) : 6/10
40. The signal (William Eubank) : 6/10

41. Charlie Mortdecai (David Koepp) : 6/10
42. San Andreas (Brad Peyton) : 5,5/10
43. Insidious 3 (Leigh Whannell) : 5,5/10
44. Broadway therapy (Peter Bogdanovich) : 5,5/10
45. Annie (Will Gluck) : 5,5/10
46. Avengers 2 l'ère d'Ultron (Joss Whedon) : 5,5/10
47. Enfant 44 (Daniel Espinoza) : 5,5/10
48. American sniper (Clint Eastwood) : 5,5/10
49. Les profs 2 (PEF) : 5,5/10
50. My old Lady (Israël Horovitz) : 5/10

51. La nuit au musée 3:le secret des pharaons (Shawn Levy) : 5/10
52. Captives (Atom Egoyan) : 5/10
53. Daddy cool (Maya Forbes) : 4,5/10
54. Out of the dark (DTV) (Lluis Quilez) : 4,5/10
55. Good kill (Andrew Niccol) : 4,5/10
56. Chappie (Neill Blomkamp) : 4,5/10
57. Terminator: Genisys (Alan Taylor) : 4/10
58. Spy (Paul Feig) : 4/10
59. La dame en noir 2 (Tom Harper) : 4/10
60. Into the woods (Rob Marshall) : 4/10

61. Lazarus effect (David Gelb) : 4/10
62. La bataille de la montagne du tigre (Tsui Hark) : 3,5/10
63. Fast & Furious 7 (Justin Lin) : 3,5/10
64. Taken 3 (Olivier Mégaton) : 3,5/10





Mon classement en 2014
Mon classement en 2013
Mon classement en 2012
Mon classement en 2011
Mon classement en 2010

Et ma liste de critiques en 2015:

A la poursuite de demain (Brad Bird)) : 9/10
Battle for skyark (Simon Hung) : 1/10
Bernie (Richard Linklater) : 6/10
Chappie (Neill Blomkamp) : 4.5/10
Cold in July (Jim Mickle) : 3.5/10
Cybèle ou les dimanches de Ville d'Avray (Serge Bourguignon) : 8.5/10
Le Jardin secret (Fred M.Wilcox) : 6.5/10
The last of Robin Hood (Richard Glatzer) : 7/10
Manhole (Shin Jae-Yong) : 1/10
The midnight after (Fruit Chan) : 6/10
Pan (Joe Wright) : 3.5/10
Poltergeist (Gil Kenan) : 4/10
Sheena reine de la jungle (John Guillermin) : 4/10
Turn (Hideruki Hirayama) : 7/10
Very good girls (Naomi Foner) : 7/10
Waterworld (Kevin reynolds) : 8/10

Toutes mes critiques en 2010
Toutes mes critiques en 2011
Toutes mes critiques en 2012
Toutes mes critiques en 2013
Toutes mes critiques en 2014

[francesco34]

trop rapide l'archivage, même pas pu poster mon bilan décembre et mon classement final...

BILAN DECEMBRE 2014

26 films vus, 20 découvertes

films découverts:

Adaptation (Spike Jonze) : 6/10 (2002 USA)
Allo maman c'est Noël (T.Ropelewski) : 4,5/10 (1993 USA)
Breezy (Clint Eastwood) : 6,5/10 (1973 USA)
Cañada Morrison (Matias Lucchesi) : 6,5/10 (2014 Argentine)
CJ7 (Stephen Chow) : 6,5/10 (2008 HK/Chine)
Dumb and dumber (Peter Farrelly) : 6,5/10 (1994 USA)
La famille Bélier (Eric Lartigaud) : 7,5/10 (2014 France)
La French (Cédric Jimenez) : 6,5/10 (2014 France)
Le Hobbit: la bataille des cinq armées (Peter Jackson) : 7/10 (2014 NZ)
Le septième fils (Sergei Bodrov) : 4,5/10 (2014 USA)
Les aventures du baron de Munchhausen (Andreas Linke) : 6/10 (2012 Allemagne)
Off-white lies (Maya Kenig) : 7/10 (2013 Israel)
Old enough (Marisa Silver) : 7/10 (1984 USA)
Open water (Chris Kentis) : 4/10 (2003 USA)
Paddington (Paul King) : 7/10 (2014 GB)
Peau d'Ane (Jacques Demy) : 6,5/10 (1970 France)
Souviens-toi (Tyler Oliver) : 4,5/10 (2009 USA)
Tonnerre (Guillaume Brac) : 6,5/10 (2014 France)
We are the best (Lukas Moodyson) : 6,5/10 (2013 Suède)
White God (Kornel Mundruczo) : 8/10 (2014 Hongrie)

films revus:

Delicatessen (Caro & Jeunet) : 8/10 (1991 France)
Independence Day (Roland Emmerich) : 1/10 (1995 USA)
La guerre des mondes (Byron Haskins) : 6,5/10 (1953 USA)
Le cercle 2 (Hideo Nakata) : 6/10 (2005 USA)
Les sous-doués (Claude Zidi) : 6/10 (1980 France)
Micmacs à tire-larigot (Jean-Pierre Jeunet) : 6,5/10 (2009 France)

[Alegas]

Tu peux encore le poster sur ton topic 2014 tu sais.

[Dunandan]

Cold in July
de Jim Mickle (2014)



Quelle déception que ce thriller mal écrit qui a du mal à tenir la route.
On commence avec une histoire banale, filmée de façon maladroite et qui fait dans le cliché et l'intrigue cousue de fil blanc.
Heureusement après une demi-heure environ le film prend un virage et devient plus intriguant. Malheureusement on décroche bien vite devant les incohérences et une grosse incompréhension face aux motivations du héros.
Difficile de décrire sans spoiler:

On a donc une intrigue un poil tordue, avec un type protégé comme témoin par le FBI visiblement, et les flics vont profiter d'un cadavre non identifié flingué chez notre héros pour le faire passer pour mort. Hélas un imprévu survient, le père cherche à se venger du type qui aurait flingué son rejeton (qui en fait est bien vivant...). Déjà tout ce montage parait fort chelou, même de la part de flics ou du FBI pour une couverture (ils mutilent même le cadavre), à moins qu'ils soient mouillés eux même dans des trucs de ripoux mais ça on le saura jamais... Une fois le père chopé, pourquoi diable les flics veulent-ils l'assassiner, ça n'a aucun sens, le type n'est pas au courant de la supercherie, et ils ont tout pour le mettre à l'ombre après son intrusion chez le pauv'gars qui pense avoir tué son fils... S'ensuit un méli-mélo étrange, où un témoin protégé du FBI a une immunité totale pour commettre les pires crimes sadiques qu'il veut ( ) et demeure dans la même ville qu'avant juste avec un nouveau nom, et libre comme l'air, malgré la mafia qui le cherche!!!...
Au milieu de tout ça, jamais on ne comprend les motivations qui vont pousser le héros à risquer sa vie et devenir un tueur pour aider ce père a faire justice en tuant son propre fils (celui qu'il voulait venger par erreur au début) et 10 autres gars par la même occasion.

Avec une intrigue aussi mal fichue, dur de tenir la route pour un thriller. Reste un bon casting, mais c'est bien maigre.

3.5/10

[francesco34]

Tu peux encore le poster sur ton topic 2014 tu sais.

ouais mais au fin fond des archives qui va encore aller lire un truc là-bas?

[Alegas]

Bah moi.

[francesco34]

Donc du coup les notes 2014 on peut continuer à les mettre dans le topic archivé?

[Alegas]

Les posts style "bilan du mois/de l'année" sont toujours possibles dans le topic 2014 (parce que les mettre dans celui de 2015 a pas trop de sens finalement).
Les critiques, c'est vous qui voyez. Les années passées certains continuaient quelques jours sur leur ancien topic, à vous de voir.

[Criminale]

Donc du coup les notes 2014 on peut continuer à les mettre dans le topic archivé?

Oui oui. Le classement s'arrête en février pour permettre les rattrapages.

[Dunandan]

La réal' (l'ambiance surtout) et le casting me font mettre la moyenne à ce Cold in July, car sinon le reste... En tous cas, tu as bien souligné les trous/incohérences présents dans le scénar'

[francesco34]

Bernie
de Richard Linklater (2012)



Inédit chez nous (actuellement diffusé sur OCS), cette comédie dramatique de Linklater met en scène Jack Black dans la peau de Bernie Tiede, un gentil croque-mort d'une petite ville du Texas que tout le monde adore: serviable, dévoué à sa communauté et son église, gentil avec tout le monde, légèrement gay... Attiré par les belles choses il tombe sous la coupe d'une vieille veuve acariatre qui lui dispense ses largesses (voyages en première classe, hôtels de luxe, cours de pilotage, etc...). Mais la vieille dame devient possessive, jalouse et cruelle, et Bernie dans un moment de folie finit par la descendre et cache son corps dans un congélateur...
Le film est bâti comme un faux documentaire, émaillé d'interviews des gens qui ont connu Bernie: voisins, amis, paroissiens, commerçants, etc... Une idée intéressante pour un film tiré d'un fait divers réel assez récent. Mais au final on a jamais vraiment l'impression d'être devant un film, plutôt une sorte de reconstitution, dans laquelle les interviewés seraient de vrais gens.
C'est rarement très drôle, on sourit souvent mais ça reste une histoire assez sordide au final. Et le film adopte le parti-pris de l'accusé, qui finira lourdement condamné grâce à l'acharnement d'un procureur à la dent dure (Matthew McConaughey, excellent comme toujours). Le film adopte donc le point de vue du vrai Bernie et de sa communauté, et non pas la version du procureur qui lui a valu sa condamnation (meutre au premier degré avec préméditation). Même si l'aveuglement de la population locale qui soutient Bernie malgré le meurtre est mis en avant, on ressort tout de même avec une sorte de sentiment d'avoir soi-même été manipulé, et de ne pas forcément avoir vu toute la vérité sur cette histoire.

6/10

[francesco34]

Cybèle ou les dimanches de Ville d'Avray
de Serge Bourguignon (1962)



Il aura donc fallu attendre 2014 pour avoir enfin une édition de ce film en dvd et blu-ray. Pourtant hautement apprécié de la critique et auréolé de plusieurs prix prestigieux (dont l'Oscar du meilleur film étranger en 63), ce film avait fini par sombrer dans l'oubli.
Injustice réparée donc, car on a affaire là à un bien beau film, à tous les niveaux.
On y suit l'histoire de Pierre, un ancien pilote de chasse qui s'est crashé pendant la guerre (d'Indochine je suppose) et qui subit les séquelles psychologiques des combats (ce type de trauma était pourtant peu courant à l'époque dans le cinéma, on en parle surtout depuis le Vietnam et encore plus depuis la première guerre du golfe). Il vit avec Madeleine, une des premières infirmières à l'avoir soigné. Elle travaille tous les dimanches et lui erre sans but dans leur petite ville, jusqu'au jour où il rencontre une petite fille placée dans une pension religieuse par son père qui l'abandonne comme un lâche avant de partir refaire sa vie seul à l'étranger. Pierre va se faire passer pour le père de la petite et leur relation va finir par attirer la suspicion autour d'eux.
On pourrait penser de prime abord à une déclinaison de Lolita (le livre date de 1955, le film de 62 comme celui-ci), mais Cybèle prend un tout autre chemin et n'a au final aucun point commun avec le chef d'oeuvre de Nabokov. Ici la relation, même si elle est clairement amoureuse, demeure au stade enfantin, et n'est pas sexuelle comme avec Lolita. Un peu comme le personnage de Léon dans le film de Besson, Pierre est une sorte d'enfant niveau relation amoureuse, totalement pur, ce qui le place à égalité avec l'enfant, et non pas en tant que dominant. Mais c'est bien malgré tout sur cette confusion que sa relation avec Cybèle va dégénérer, à cause du jugement et du regard des autres qui eux refusent d'y voir cette pureté.
La relation démarre presque de façon accidentelle, lui ne cherche pas à se faire passer pour son père, il veut juste lui rendre la lettre d'abandon que son vrai père a laissé devant la porte et qu'il a récupérée. C'est une soeur de la pension qui commet la confusion, et la gamine va jouer le jeu instinctivement. Puis c'est elle qui élabore et planifie leur relation basée sur ce mensonge. Très vite la relation passe du simple père/fille de substitution a quelque chose d'amoureux (elle calcule quel âge il aura quand elle aura 18 ans et qu'elle pourra l'épouser, et lui devient vite jaloux pour des broutilles), mais à les contempler on dirait juste deux enfants. C'est d'ailleurs à cette conclusion qu'arrivera aussi la fiancée de Pierre après les avoir espionnés. Et quand la situation dégénère à la fin, elle aura cette réplique, terriblement d'actualité toujours à notre époque pour bien des gens: "Quand vous voyez quelqu'un être heureux en dehors de vos conventions, c'est un anormal, vous le rejetez."
Mais le film ne se contente pas d'être une très belle histoire, servie par de bons comédiens, c'est aussi un très bel objet cinématographique. Avec une mise en scène inventive et inspirée, et une photographie en scope en noir et blanc signée Henri Decae vraiment travaillée. Mouvements de caméra, choix des cadres, jeux avec les reflets (eau, miroirs, rétroviseur) ou à travers des objets (eau encore, vitres, buée, verre, prisme, feu...). Le film est formellement soigné, avec de belles lumières, parfois les contrastes sont très accentués.
Un film à (re)découvrir, qui laisse une jolie empreinte en mémoire.

8.5/10

[dagokhiouma]

Il aura donc fallu attendre 2014 pour avoir enfin une édition de ce film en dvd et blu-ray

, 2015 suite au repressage de QOL

[francesco34]

[Alegas]

Chappie
de Neill Blomkamp (2015)



Après l'original District 9, Blomkamp a eu du mal à confirmer avec un second long-métrage bancal et très imparfait. On l'attendait au tournant avec ce Chappie et il ne semble toujours pas à la hauteur de l'impression laissée par son premier film.
On a donc une gamme de robots policiers efficaces qui font le ménage dans les rues ultra dangereuses de Johannesbourg où la criminalité a explosé (300 morts par jour, bref c'est la Syrie, en pire). Le concepteur de ces robots (Dev Patel) poursuit lui un autre but, créer une véritable I.A., et il y parvient enfin. Pour la tester contre l'avis de sa boss (Sigourney qu'on voit 3 min dans tout le film), il récupère un robot qui devait être envoyé à la casse. Mais il se fait braquer par un trio de gangsters qui vont tenter d'éduquer le robot à la criminalité... Et dans le même temps un concurrent du créateur (Hugh Jackman) qui a construit un autre robot va semer le trouble afin de s'attirer les faveurs de la boss et caser son propre bébé dans les rues.

Ouch, y'avait pas mal de bonnes idées dans tout ça, mais le traitement choisi par Blomkamp aligne pas mal d'erreurs.
Bon visuellement y'a rien à redire l'iillusion est parfaite, les robots et SFX excellents, la réalisation assez dynamique. Mais pour le reste y'a pas mal de problèmes. A commencer par la bande de pieds nickelés qui kidnappent Chappie pour en faire un gangster. Personnages excessifs, caricaturaux, qui donnent lieu à des scènes alternant le cucul (Chappie qui appelle sa "maman") et le ridicule (les imitations blingbling, gangstarap et autres). L'idée que l'éducation de ce robot nouveau-né tombe dans les mains d'une bande de gangsters était une bonne idée en soi, mais un traitement plus froid et plus sobre aurait été largement meilleur, plutôt que cet amas d'excentricité qui ridiculise la plupart des situations.
Du coup on a du mal à croire à pas mal de situations, de même qu'au sein de la société le méchant concurrent joué par Hugh est finalement pas très crédible non plus. Que dire de son invention qui lorgne du côté du mastodonte qui affrontait déjà Robocop, déjà-vu (le film y puise d'ailleurs beaucoup).

quelques spoils dans ce chapitre:
Et puis Blomkamp rate complètement sa fin et dérive totalement hors-sujet. D'un film entier basé sur une I.A. et son "humanité" potentielle, il évacue
ça et s'oriente vers un trip réincarnation de l'homme dans la machine (façon Transcendance) qui n'a plus grand chose à voir avec les I.A. puisqu'on parle de conscience et d'âme humaine téléchargées dans un robot. De plus la situation est amenée de façon si grotesque qu'on a du mal à l'avaler: Chappie parvient à inventer un programme pour scanner l'esprit humain en 5 minutes sur un ordi alimenté par des playstations montées en batterie

Une déception donc, et maintenant un gros doute quant au réel potentiel de Blomkamp...

4.5/10