[Val] Mes Critiques en 2014

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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Jack Spret » Mar 02 Déc 2014, 09:20

Perso, soit j'opte pour une approche comique du film si j'arrive pas à trouver quelque chose de vraiment intéressant à en dire, soit je me documente si la séance m'a beaucoup plus et je démarre ma critique par la genèse du film ou son importance dans le cinéma de son époque.
Le reste découle ensuite de ce que j'en ai dit dans le ou les premiers paragraphes puis après je comble en parlant des banalités (mise en scène, acting,...)


"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ?
- Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Mar 02 Déc 2014, 09:34

Le mieux, pour meubler, ce sont les captures d'écran avec des actrices nues.
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Wake in Fright - 7/10

Messagepar Val » Jeu 04 Déc 2014, 22:48

RÉVEIL DANS LA TERREUR
Wake in Fright
- Ted Kotcheff - 1971

Image Image Image


Certains films ont parfois la malchance de tomber dans l'oubli peu de temps après leur sortie et de disparaître de la circulation pendant de nombreuses années. Les plus chanceux continuent à hanter les fantasmes cinéphiles grâce à quelques happy few qui, ayant pu voir le film en question, le survende, l’embellisse jusqu'à le transformer en film culte mais presque inconnu. Le film de Ted Kotcheff, connu sous de nombreux titres dont l'intriguant « La chasse aux kangourous », est de ceux-ci. Œuvre typique du cinéma des années 1970, on pense évidemment aux films de Nicolas Roeg et Peter Weir de par le cadre australien mais c'est surtout avec Massacre à la tronçonneuse que le film semble communiquer. On y retrouve la même atmosphère étouffante où, loin des métropoles, la population locale semble avoir sombrer dans la démence.

John Grant, jeune instituteur, enseigne au fin fond de l'outback australien et s'ennuie franchement. Alors que Noël approche, il s'apprête à quitter son trou paumé pour rejoindre Sidney où l'attend sa compagne. Sur son chemin, il doit faire escale dans une petite ville où il fait bientôt l'expérience de la sympathie de ses habitants pour les nouveaux venus. Les litres de bières coulent et Grant se prend d'amusement pour ce milieux un peu reclus qu'il regarde de haut. Voyant dans les paris organisés dans un des troquets du coin l'occasion de se faire une petite fortune pour quitter son travail, il commet le pari de trop et perd tout son argent. Dès lors, bloqué dans ce patelin éloigné de tout, il est tour à tour pris sous l'aile de personnages inquiétants, excentriques et brutaux pour une semaine de vacance éprouvante.

La rencontre de deux modes de vie est au centre de Wake in Fright, entre l'instituteur, éduqué et raffiné et le monde viril et sauvage de Bundanyabba. Mais, contrairement à la figure du « redneck » récurrente dans le cinéma américain (on pense à Délivrance ou aux Chiens de Pailles), Kotcheff ne juge jamais ses personnages. Comme le dit Grant vers la fin du film, rien n'est grave pour eux. La violence de leur comportement est une adaptation à la violence de leur condition. Ainsi, alors que leur comportement vis à vis de l'instituteur pourrait être vu comme déplacé ou comme une vengeance vis à vis de cet homme qui les as pris de haut, il n'en est rien, ils essaient vraiment de l'intégrer à leur univers.

Une des grandes réussites du film est la mise en scène de Ted Kotcheff qui, a elle seule, justifie de voir le film. Il réussit merveilleusement à faire ressentir l'écrasante chaleur du soleil australien et l'atmosphère asphyxiante qui contribue grandement à la folie qui semble planer sur ce véritable enfer sur Terre tant et si bien que l'on se surprend à envier les litres de bières que s'enfilent les personnages à longueur de temps. Il parvient aussi à conférer un aspect fantastique à certaines scènes, dont l'impressionnante chasse aux kangourous, dérangeante et macabre. Si les grands espaces ont été connotés par le cinéma classique hollywoodien comme le symbole absolu de la liberté, ici, les grands espaces australiens isolent et enferment les individus. L'instituteur a beau essayer de s'en sortir, tout le ramène toujours à Yabba. L'ambiance sonore achève de nous transporter au cœur des ténèbres australiennes. Seul acteur connu du film, le toujours excellent Donald Pleasence incarne le personnage le plus inquiétant du film, issu d'un milieu plus « élevé » et qui a sciemment choisi la folie. Le reste du casting est tout aussi bon. Au final Wake in Fright peut se voir comme le Walkabout, ce voyage initiatique des aborigènes, de l'instituteur, un voyage dans l'antre de la folie humaine.


7/10
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Messagepar angel.heart » Jeu 04 Déc 2014, 23:07

Ta critique (plus particulièrement ton dernier paragraphe) me motive à mater mon Blu Ray.

Sinon, c'est typiquement le genre de film qui peut rester une dizaine d'années sur mes étagères avant que je me décide à enfin le voir... :oops: :mrgreen:
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Jed_Trigado » Jeu 04 Déc 2014, 23:11

Il est vraiment bien ce film en plus, ça fait un moment que je l'ai découvert mais j'en garde un souvenir très fort, c'est une sorte d'After Hours en plein jour.
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Val » Jeu 04 Déc 2014, 23:13

C'est exactement ça, un mix entre After Hours et Massacre à la tronçonneuse.
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar osorojo » Jeu 04 Déc 2014, 23:28

J'ai vachement envie de le voir pour ma part. Je pensais aller le voir en salle, mais comme d'hab il passe pas chez moi. Je vais m'offrir le BR, ça compensera :evil:
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Val » Jeu 04 Déc 2014, 23:30

Moi j'ai du bol, depuis quelques mois, toutes les reprises que je veux voir passent chez moi. :D
Sinon, on devrait avoir le BR en France en 2015 je suppose (puisque c'est La Rabbia (la boîte de Manuel Chiche) qui distribue, comme pour les Sept Samouraïs).
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Jed_Trigado » Jeu 04 Déc 2014, 23:33

Ouais Kotcheff avait officiellement annoncé le blu-ray français pour début 2015 lors de son passage a Lyon.
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Drive (2011) - 7/10

Messagepar Val » Lun 08 Déc 2014, 22:50

DRIVE
Nicolas Winding Refn - 2011


Image


On ne rappellera jamais assez l'importance de l'état d'esprit dans lequel on se trouve dans l'appréciation d'un film. Ayant pourtant pour habitude de rester hermétique au plan médias d'un film ou de sa réception critique et public, je dois admettre que ma première rencontre avec Drive a très nettement été handicapée par ceux-ci. J'avais purement et simplement détesté. Alors que tout le monde vantait un chef d’œuvre révolutionnaire, j'avais seulement l'impression de me trouver face à un film singeant le polar américain des années soixante-dix quatre-vingt, à l'image du Driver de Walter Hill, du Solitaire et du Manhunter de Michael Mann ou encore de l'indispensable To Live and Die in L.A de l'immense William Friedkin. Ainsi, ayant pris le film en grippe, je lui trouvais tout les défauts du monde : maniéré, dénué de sincérité et donc d'émotion, de mauvais goût, arty, hype,... Avec le temps (et la découverte réjouissante de Only God Forgives), j'ai commencé à douter de ma première impression. Après tout, ce que je reprochais au film était aussi ce que reprochait d'autres curieux de cinéma lorsque Tarantino a livré ses premiers films et, même si je comprends leurs arguments, cela ne m'empêche pas d'adorer certains films du cinéaste. Conscient de m'être sans doute trop pris au sérieux et de m'être peut être laisser aller à une forme de posture consistant à prendre le contre pied de l'avis général (une posture de petit con si vous préférez), c'est avec l'envie de redonner entièrement sa chance au film que j'ai décidé de revoir Drive et le verdict est clairement plus positif.

Le film s'ouvre par une scène de braquage absolument géniale où, avec très peu d'éléments, Refn parvient à instaurer une tension palpable uniquement par la force de sa mise en scène. Utilisant pour seuls dialogues les communications radios de la police, il nous entraîne dans une course poursuite haletante dans un Los Angeles nocturne. S'ensuit la découverte de ce chauffeur taciturne, cascadeur et garagiste le jour, et de son quotidien où fait irruption sa nouvelle voisine. Alors que l'on pourrait s'attendre à assister à un énième film de gangster classique, avec l'histoire du projet de stock car du personnage de Cranston, Refn montre rapidement qu'il ne s'intéresse pas à cela. Ce qui le fascine, c'est ce personnage ambiguë, autiste et insaisissable. Tout au long du film, son comportement se révèle indéchiffrable. On comprend qu'il a surgit dans cette ville de nulle part, « out of the blue », et il en repartira comme il y est arrivé. Mais c'est sa relation avec Irene qui symbolise le plus ce côté double face. En effet, on ne parvient jamais à déchiffrer la nature de leur relation. Sont-ils tombés réciproquement amoureux sous l'effet d'un coup de foudre ou le conducteur joue t'il un rôle ?

Au risque de tomber dans la psychanalyse facile, il est désormais un lieu commun de voir dans la voiture un symbole phallique dont la puissance refléterait la frustration sexuelle de son propriétaire. Cela n'est pas forcément indissociable de notre Driver, personnage fasciné par la violence et la puissance. Derrière ses apparences fades et calme se dissimule un bouillonnement de rage et de colère qui ne demande qu'a s'exprimer à la première occasion. Il est obsédé par l'idée de s'affirmer et ne perd pas une occasion de jouer les caïds en en reprenant les codes : il prend de haut les membres de la mafia qui le finance, les défiants, pose ses conditions, menace, comme s'il voulait compenser son autisme en affirmant sa puissance. Ainsi, sa relation avec Irene devient ambiguë : est-il sincèrement amoureux et altruiste, en étant prêt au sacrifice pour assurer la tranquillité de la femme qu'il aime ou cherche t'il juste un soupçon d’adrénaline dans ce projet de casse et à affirmer sa virilité en protégeant cette famille comme un sauveur divin ? C'est la scène de l'ascenseur qui distille le doute. En effet, au moment où les deux personnages s'embrassent, si il est clair que Irène vit ce moment intensément, en l'ayant profondément désiré, le « Driver » semble au contraire utiliser cela comme un moyen de duper son adversaire en détournant son attention. Dans ce moment où ils sont sensés ne faire qu'un, les personnages n'ont pourtant jamais semblé aussi séparés. Alors, personnage égocentrique obsédé par l'affirmation de sa puissance et domination ou amoureux maladroit, handicapé par son autisme et ses démons intérieurs ? Le film prend soin de ne pas y répondre, bien que l'on ait envie de croire en la seconde hypothèse.

On peut aussi voir dans ce personnage de sauveur prophétique venu d'ailleurs la projection du propre fantasme de Irène qui trouve dans ce voisin apathique une solution à son quotidien triste et sans espoir, perdue dans une ville immense avec un jeune enfant et un mari ex-taulard pour qui, on le devine, elle ne ressent plus grand chose.

Il ne se passe au final pas grand chose dans Drive. Tout est une question d'atmosphère, d'ambiance. Ainsi, pour être convaincu par le film, il faudra se laisser happé par la mise en scène de Refn et sa mélancolie urbaine soutenue par une bande originale qui, si elle souligne peut-être de façon parfois grossière les sentiments des personnages, est clairement indispensable à l'univers mis en place. Mais, gros point faible du film, c'est sans compter sur le jeu de Ryan Gosling qui handicape grandement l'implication que l'on peut avoir dans le film. Drive est presque un cas d'école tant il démontre qu'un mauvais choix d'acteur peut foutre en l'air beaucoup des effets d'un film. C'est bien simple, son manque de charisme fait que tout fini par sembler faux et risque à tout moment de verser dans le ridicule. La scène du bar où il envoie bouler un mec le reconnaissant à ce titre révélateur : on se croirait dans un mauvais feuilleton AB productions. On a l'impression de voir un enfant ayant revêtu des vêtements trop grands pour lui et tentant maladroitement de convaincre. Alors, ce côté décalé et fade correspond finalement assez bien à l'un des aspects du personnage, mais le met, il me semble, beaucoup trop en avant et menace de faire basculer le film a tout moment dans le ridicule le plus complet. On ne peut que regretter que le film ne se soit pas monter avec un autre acteur, à l'image d'un Michael Fassbender ou d'un Tom Hardy qui auraient su apporter toute l'ambiguïté nécessaire. Dommage car le reste du casting est plutôt bon, mention spéciale au parfait Bryan Cranston et au toujours sympa Ron Perlman.

Ainsi, Drive est encore trop marqué par ses « origines ». A la base produit formaté par Gosling pour créer sa propre légende, on ne sait pas si c'est par génie ou maladresse que le projet s'est retrouvé entre les mains de Refn, cinéaste qui, il y a encore peu de temps, était au plus mal de sa forme, obligé de mettre en scène un épisode de Miss Marple. On ne saura jamais si Gosling avait conscience, en venant le chercher, des possibilités artistiques de ce scénario au final assez bateau où si il cherchait un simple yes man dont la réputation était en train de se redorer en Europe. Toujours est il que de cette ambiguïté hérité des origines du projet découle un film hybride, remplis de bonnes idées mais malheureusement handicapé par une trop grande retenue, un côté parfois trop « contrôlé » qui empêche le film de décoller. Refn n'a probablement pas eu les mains entièrement libre en récupérant ce projet, mais il se vengera d'une manière assez géniale en déconstruisant l'icône qu'il avait crée dans son film suivant.

En l'état, Drive reste une très sympathique série B, portée par un romantisme et une mélancolie qui pourront sembler niais à certains mais qui parvient pourtant à convaincre en bout de course. C'est finalement tout ce qu'on lui demandait. Cette révision m'aura donc servie de leçon : on a toujours tort de se prendre trop au sérieux.


7/10



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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Jed_Trigado » Lun 08 Déc 2014, 23:49

Content de voir que tu as su enlever tes œillères et traiter le film de manière plus juste par rapport à sa réputation. :super:

Même si je trouve que le film est un peu plus qu'une simple série B quand l'observe à travers la filmo de Refn, on y retrouve pas mal d'éléments récurrents de son œuvre, en tout cas le film ne fait pas tâche face aux suites de Pusher ou même Bronson.
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Val » Lun 08 Déc 2014, 23:59

Après, je connais mal l'oeuvre de Refn, même si j'ai le coffret des Pusher en stock. Peut-être que je le reverrais une troisième fois avec encore un autre oeil. :mrgreen:
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Val » Mer 31 Déc 2014, 13:48

DECEMBRE 2014

Films vus : 16
Nb de découvertes : 13
Revu : 3

202) The Drop (Quand vient la nuit) de Michael R. Roskam (2014) [Cinéma, VOST] : 6/10
203) Baal de Volker Schlöndorff (1970) [Cinéma, VOST] : 3/10
204) Wake in Fright (Réveil dans la terreur) de Ted Kotcheff (1971) [Cinéma, VOST] : 7/10
205) Moonfleet (Les Contrebandiers de Moonfleet) de Fritz Lang (1955) [DVD, VOST] : 6/10
206) Drive de Nicolas Winding Refn (2011) [France 4, VOST] : 7/10
207) Pāfekuto Burū (Perfect Blue) de Satoshi Kon (1997) [Autre HD, VOST] : 7/10
208) The Hobbit : The Battle of Five Armies (Le Hobbit 3) de Peter Jackson (2014) [Cinéma, VOST] : 5/10
209) Trois Couleurs : Rouge de Krzysztof Kieslowski (1993) [DVD] : 8/10
210) Shichinin no samurai (Les 7 Samouraïs) de Akira Kurosawa (1954) [Blu-Ray, VOST] : 10/10
211) A Streetcar Named Desire (Un Tramway nommé Désir) de Elia Kazan (1951) [Enregistrement Arte, VOST] : 7/10
212) City Lights (Les Lumières de la ville) de Charles Chaplin (1931) [Autre] : 8/10
213) Ōkami Kodomo no Ame to Yuki (Les Enfants Loups, Ame et Yuki) de Mamoru Hosoda (2012) [Arte, VOST] : 8/10
214) Charulata de Satyajit Ray (1964) [DVD, VOST] : 5/10
215) Le Prénom de Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte (2012) [DVD] : 5/10
216) Duck Soup (La Soupe au Canard) de Leo McCarey (1933) [Enregistrement Arte, VOST] : 6/10
217) Aguirre, der Zorn Gottes (Aguirre, la colère de Dieu) de Werner Herzog (1972) [Blu-Ray, VF] : 10/10

Découvertes marquantes :

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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar puta madre » Mer 31 Déc 2014, 14:02

Attends toi à ce qu'Alegas te réclame une critique des Enfants loups :mrgreen:
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Re: [Val] Mes Critiques en 2014

Messagepar Alegas » Mer 31 Déc 2014, 14:06

Critiques du Hosoda needed !!!!

:mrgreen:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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