[oso] Mes critiques en 2014

Modérateur: Dunandan

Tueur frappe 3 fois (Le) - 5,5/10

Messagepar osorojo » Sam 20 Déc 2014, 11:35


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LE TUEUR FRAPPE 3 FOIS


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Massimo Dallamano | 1968| 5.5/10
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Premier film un peu timide de la part de Massimo Dallamano, ancien directeur photo passé derrière la caméra, Le tueur frappa trois fois est un giallo à la trame classique qui s’exprime assez difficilement. En effet, fort de son savoir-faire, Dallamano nappe son histoire de très jolies ambiances, et de prises de vue flatteuses qui rendent ses compositions de plan très graphiques, mais en termes de gestion de rythme et de narration pure, l’homme se cherche indéniablement.

En dévoilant l’identité de son mystérieux tueur trop tôt par exemple, ou en forçant plus que de raison le contour de cette épouse infidèle que l’on devine bien vite être le nœud d’un problème qui ne monte jamais en puissance, Massimo Dallamano handicape son récit et ennuie son spectateur par la même occasion. Il avait pourtant à portée d’objectif un trio d’acteur croustillant, à commencer par la belle Luciana Paluzzi dont il n’exploite que très peu les courbes avantageuses —je lui en ai beaucoup voulu pendant la séance, oui, oui—. En inspecteur tatillon mais dépassé, John Mills fait planer une petite ombre british qui fait sourire et Robert Hoffman est parfait en tueur éphèbe tombeur de ces dames. Il faut le voir perdre son dollar fétiche, ça vaut de l’or.

Un giallo à réserver aux aficionados de Dallamano, pas manqué mais assez anecdotique même s'il esquisse déjà la marque d’un cinéaste à l’œil précis. De la même main, il vaut mieux découvrir La Lame infernale qui a plus fière allure.
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Equalizer - 6/10

Messagepar osorojo » Dim 21 Déc 2014, 13:11


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THE EQUALIZER


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Antoine Fuqua | 2014 | 6/10
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Ah Denzel, tout un mythe. Ce mec, il ne doit pas avoir besoin de taper du poing sur la table pour se faire respecter par ses moutards. Quand l’un d’eux fait une bêtise, hop rappel à l’ordre devant la télé, quelques décrochés de mâchoires à la Man on Fire ou un charcutage en ombres chinoises sous un pont version Le livre d’Eli, et le petit Washington finit ses haricots verts sans demander son reste, les yeux brillants qui plus est, avant de retourner dans cette chambre dont les murs prônent fièrement la figure patriarcale tapant la pose, l’œil vif et la mitraillette en évidence.

Un charisme inné, exploité sans réserve pour cette nouvelle collaboration avec Fuqua. The Equalizer, c’est Denzel en représentation, l’arme humaine parfaite que personne ne peut mettre à défaut. Le redresseur de tort tout droit sorti d’un comics burné qui bute du salopard avec une créativité dans la douleur sans cesse renouvelée pour contraster avec son faux air de berger confessant les brebis égarées. L’homme est urbain, avant de s’attaquer à la carotide, il s’assure longuement que sa frêle victime ne désire pas être sauvée. Torture sadique ou acte de foie, vous êtes seuls juges. Moi j’ai choisi, à mort les salops !

Un mantra qui résume d’ailleurs toute la substance de The Equalizer. Fuqua tente bien à quelques reprises de construire une petite trame rédemptrice, mais qu’on ne s’y trompe pas, il livre un vigilante movie au sens premier du terme, seul le bodycount importe, et il est sacrément costaud. Quand la machine se met en marche, que l’œil du tigre entre en résonance avec l’instinct carnassier qui le porte, les corps tombent sous les coups d’une mise en scène au cordeau, tape à l’œil certes, mais d’une efficacité redoutable. A ce niveau, il n’y a aucunement tromperie sur la marchandise, celui qui s’attend à une mise en scène créatinée, dont la seule préoccupation est d’esthétiser une violence toujours plus frontale, en aura pour son argent, à n’en pas douter.

En revanche, pour celui qui en attend un peu plus, quelques points noirs viennent entacher le plaisir. Sa durée en premier lieu. Plus de 2h pour une bobine de ce genre, c’est bien trop. C’est lorsqu’elle est condensée que l’action rassasie, quand elle s’attarde, elle finit par provoquer la lassitude, comme c’est le cas ici dans ce dernier affrontement en plein Leroy Merlin.
Plus embêtant, c’est la facilité over the top qui jalonne le parcours de Denzel au point de devenir quasi routinière. Si la première mise à mort entreprise par le vengeur au chronomètre possède la bonne énergie, celle qui vous fait pulser le palpitant de plaisir, bien vite l’intérêt s’épuise. Le schéma très linéaire du film, digne d’un beat them all peu novateur, ne sied finalement pas à ce personnage qui méritait mieux comme rival qu’un ex-membre du KGB tout juste bon à soumettre jusqu’à la mort une jolie jeune fille sans défense (tu parles d’un kador).

Paré d’une esthétique soignée, d’une mise en scène précise, The Equalizer peine à capitaliser tout le potentiel de son héro (trop) béni par le créateur, la faute à des mimiques so 2010, comme cette manie d’excuser sa violence en insérant dans le récit des personnages purs, une fille de joie dans laquelle Chloé « pitchoune » Moretz se perd —le miscast de l’année ou presque, il y en a eu tellement— ou ce sympathique aspirant vigile, gros nounours reconnaissant, qui n’est là que pour apporter la petite touche humoristique de circonstance.

En bref, un film parfait pour une séance nobrain après une journée chargée, mais dont l’intérêt principal sera celui d’égayer les 60 ans de papy Denzel dans le montage powerpoint que lui feront ses petits enfants. On sent bien l’envie de Fuqua de rendre hommage au vigilante série B poisseux des seventies, ambition qu’il honore par moment, mais son essai est trop ampoulé par les tics actuels d’un cinéma qui ne se contente jamais d’être ce qu’il est. Allez, pour la prochaine fois, c’est 90 minutes sans bout de gras, exit les persos alakon uniquement bons à rajouter un nom bankable sur l’affiche, un vrai méchant qui fait flipper et ce sera carton plein.
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Hardcore (1979) - 7,5/10

Messagepar osorojo » Lun 22 Déc 2014, 19:07


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HARDCORE


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Paul Schrader | 1979 | 7.5/10
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Peu importe que vous soyez plutôt cuir ou velours, blonde ou brune, vertueux ou pêcheur, Hardcore ne fait que peu de cas de vos apparences, elles sont certainement trompeuses de toute façon. Du moment que vous pouvez aligner les biftons, les ruelles confidentielles d'une débauche sous toutes ses formes vous deviennent accessibles.

A l’origine de ce Hardcore au titre racoleur, que son pitch peu glamour ne fait pas mentir, se planque Paul Schrader, scénariste bien connu du milieu hollywoodien, auteur, s’il est besoin de le rappeler, du sulfureux Taxi Driver qui joue à peu de choses près dans la même cour —enfin peu de choses, Jodie Foster, Bob et surtout Scorsese aux commandes, ça change pas mal la donne quand même— qui prend pour l’occasion sa caméra dans l’intention de seconder sa plume en adaptant son histoire par ses propres moyens.

Une ambition honorable certes, mais c’est peut être en se confiant la mise en scène de son bébé qu’il l’empêche de prendre son plein impact. Si le bonhomme a de belles choses à proposer, il paraît évident qu’il est meilleur scénariste que réalisateur. Son film est solide dans sa narration, si l’on excepte son dernier quart d’heure très précipité (et peu cohérent) mais il manque cruellement d’identité, en tout cas d’un langage visuel plus marqué. Qu’on se rassure, l’ambiance poisseuse des seventies est bien là, tour à tour, New York, San Diego et leurs petites soeurs se parent de leur plus trash atours pour un ride en pleine jungle nocturne du plus bel effet, du moment que l’image reste statique. Mais dès qu’elle s’anime, que l’action s’invite dans le cadre, que les confrontations viriles se mettent en marche, Schrader est à la peine et montre ses limites.

En dehors de cette casquette de metteur en scène qu’il met un peu de traviole, il livre un portrait d’une Amérique de l’ombre qui ne manque ni de piment, ni d’intention. Il n’est en effet nullement question pour lui d’édulcorer son propos : quand il malmène ce père en perdition à la recherche sa fille, il va jusqu’au bout de ses idées. Et elles ne sont pas vraiment de l’ordre du conte de fée comme en témoigne cette projection privée où le géniteur retrouve enfin sa chère et tendre, objet inanimé balloté par deux surdoués de la cabriole. Encore aujourd’hui, cette première confrontation entre l’homme préservé jusque là d’une société de dépravation et le vice de cette dernière, inspire le malaise. Quand la frêle adolescente passe de bras en bras, perdant dans la bataille les quelques breloques encore porteuses de l’innocence due à son âge, l’ambiance est au plus mal, et la quête du charismatique George C. Scott devient on ne peut plus légitime.

Cette intention très frontale de faire la lumière de ses objectifs sur l’Amérique Hardcore à travers un choc des cultures radical ne s’atténue à aucun moment, si ce n’est au moyen d’un humour éphémère agréable qui permet à la tonalité dépressive de s’estomper le temps d’un sourire. D’aucun penseront toutefois que l’assaisonnement est un peu exagéré, notamment lorsque le bénitier poseur de question débauche une tapineuse pour retrouver sa précieuse, mais il permet à Schrader de s’échapper de sa trame première. La relation qui lie ce père déterminé et sa fille oisive n’est finalement pas ce qui l’intéresse en premier lieu. La fin tend d’ailleurs à prouver ce désintérêt, poussive, bâclée en l’espace d’une quinzaine de minutes, presque mièvre, en décalage avec le reste d'un propos sans concession que Schrader a toutefois eu bien le temps de développer, même si l’on pourra regretter qu’en tant qu’auteur, il se contente finalement d’observer sans vraiment afficher son sentiment.
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Libre et assoupi - 4/10

Messagepar osorojo » Lun 22 Déc 2014, 23:11


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LIBRE ET ASSOUPI


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Benjamin Guedj | 2014| 4/10
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Pourquoi faut-il toujours que lorsque la comédie française s’empare d’un sujet original et intéressant, elle se vautre dans le même temps dans une leçon balourde lorsque le dernier acte remet enfin les pendules de la normalité à l’heure ?

Le point de départ de Libre et assoupi est pourtant amusant et peu commun, faire l’apologie de la fainéantise, assumer pleinement une envie de ne rien faire comme art de vivre. Dans une société où l’effort et le travail sont souvent les valeurs à défendre, donner la parole à l’horloge biologique qui réclame son temps, et non son argent, est stimulant, d’autant plus qu’on est tous très bien conscient que la réalité est toute autre, alors quand le temps d’un film, il est question de jouer les destructeurs de vie active à coup d’humour gras et de sourire en coin, j’applaudis des trois mains.

Mais bien vite l’on sent derrière cette histoire censée mettre des coups derrière la nuque de l’aspiration à une vie régie par l’ambition et la vie de famille, une envie ardente de défendre ces mêmes idées. La dernière demi-heure voit alors cet anti-héro fier de ne rien construire de son temps se remettre dans le droit chemin, aller gagner sa croute à Conforama en confirmant son statut de roi du pieu dont les efforts sont récompensés : il rencontre enfin sa princesse, dernière marche symbole d’une réussite à retrouver ce droit chemin dont il s’était, le cinglé, le barré, l’utopiste, détourné (le malade mental, vraiment).

Comme si ce revirement de situation, cette petite session de psychothérapie bon marché pour le flemmard qui sommeille en vous ne suffisait pas, il fallait que chaque seconde de Libre et assoupi sonne comme la petite performance arty arrosée d’une fraîcheur printemps de bonne marque. Dès le début les cartes sont faussées, le branleur est incarné par un éphèbe sportif aux tablettes de chocolats naissantes (les Coen et leur Dude pleurent), et les deux éléments comiques qui gravitent dans sa sphère intime sont tout deux en mode sitcom, dans un surjeu constant atroce. C’est bien simple, à chaque tirade, on attend l’agression à coup de rires enregistrés. Le seul acteur qui arrive à tirer son épingle du jeu, c’est l’excellent Poliades, qui malgré son rôle d’assistant social dessiné par Disney, file la banane. Les autres peinent à trouver le rythme et chaque monologue, chaque dialogue fait l’effet d’une récitation scolaire.

Mais la mise à mort de mon enthousiasme initial s’est a trouvé son heure lorsque se sont invitées à l’écran petites pièces de théâtre et démonstrations brutales qui font basculer le film dans le conte moralisateur à deux vitesses (comprendre, je dénonce une attitude en étant en fait dans l’empathie avec cette même attitude, le truc bien vicelard). Lors d’un apéro retrouvaille, chaque convive bien dans sa vie professionnelle bombe le torse, tend les cordes vocales pour faire semblant de briser les idées reçues par un jeu de scène tellement recherché qu’on frissonne, puis c’est dans un parc que le pire survient, la leçon de morale en mode psychologie inversée se met en route. On est gêné, mais on est fort, non, je ne cèderai pas à cette télécommande et son bouton carré salvateur qui me tend les bras (c’était moinzune).

En bref, libre et assoupi, c’est une comédie faussement contestataire qui se contente de mettre en scène le marginal pour prouver qu'il a tort de l'être. Qui te fait croire qu’on peut très bien être bien balancé dans son petit cerveau et n’aimer rien faire pour te montrer ensuite que la vraie vie, c’est un boulot stable et une vie rangée. Non pas que je conteste l’un ou l’autre des choix (je suis très satisfait de mon boulot sécurisant), simplement qu’il n’était peut être pas nécessaire de brasser autant de vent pendant 90 minutes pour souligner à ce point l’évidence. Il aurait en effet été bien plus audacieux d’assumer le propos marginal de départ, celui qui est à l’origine de quelques séquences réussies, celles qui se contentent d’assumer leur orientation burlesque (Pandi Panda ou l’errance en slibard dans un musée), en laissant le personnage principal continuer de vivre pleinement sa quête du vide, avec le même sourire qu’il arborait dans les premières minutes. Là, peut être, le message aurait été plus censé, il aurait au moins pu provoquer un début de réflexion sur la place du travail dans nos vies au lieu d'en confirmer son statut actuel.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Lun 22 Déc 2014, 23:14

Sinon, j'ai voulu me mettre les gazelles, j'ai maté un bout pour voir le genre, je crois que j'aurais pas le courage de le tenter :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Lun 22 Déc 2014, 23:17

Ouais évite :mrgreen:

Sinon je te remercie d'avoir maté ce film, ça me donne une excuse définitive pour ne pas le mater. Je ne supporte pas ces films qui s'autofuckent dans le dernier acte et se vautre dans la bien-pensance.

A part Les Combattants et Saint Laurent de Bonnello, je ne materai pas d'autre film français de 2014.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Lun 22 Déc 2014, 23:23

Je ne supporte pas ces films qui s'autofuckent dans le dernier acte et se vautre dans la bien-pensance.


Je crois que j'ai pas autant râlé devant un film cette année. Je la joue honnête parce qu'il y a deux trois scènes qui m'ont bien fait rigoler, mais le reste du temps, j'étais atterré, à la fin du film, j'voulais lui coller 1 xD

Pareil que toi sinon, bien envie de voir ces deux là aussi, mais pour le moment, c'est pas dispo :/
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Lun 22 Déc 2014, 23:24

D'ici fin janvier ils le seront.

Sérieux, heureusement qu'il y a eu Maestro sinon bonjour l'horreur cette année frenchy.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Lun 22 Déc 2014, 23:31

Tu dis ça parce que t'as pas vu le petit QuinQuin :eheh:
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Lun 22 Déc 2014, 23:37

Entre ça et l'Adieu au langage, il me fait peur le top de certains "cinéphiles" de la presse française ^^.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Lun 22 Déc 2014, 23:39

Après, y en a qui ont aimé ici Libre et assoupi hein, je ne suis pas la voie de la raison, et d'ailleurs j'imagine que je vais me faire tacler pour cette critique. Ou pas en même temps, ça réagit pas beaucoup dans l'coin xD
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Lun 22 Déc 2014, 23:40

Ils font tout pour qu'on ne regrette pas leur proche disparition. C'te foutage de gueule quand même...

Enfin j'ai l'impression que la critique est toujours passée à côté des bons films et célèbre les auteurs quand ils s'auto-parodient et deviennent vraiment chiants.
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Lun 22 Déc 2014, 23:41

Ce n'est pas faux en plus :eheh:
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Lun 22 Déc 2014, 23:42

osorojo a écrit:Après, y en a qui ont aimé ici Libre et assoupi hein, je ne suis pas la voie de la raison, et d'ailleurs j'imagine que je vais me faire tacler pour cette critique. Ou pas en même temps, ça réagit pas beaucoup dans l'coin xD


C'est parti sur un autre topic :mrgreen:
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Re: [oso] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Lun 22 Déc 2014, 23:42

X'cuse :chut:
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