[Alegas] Mes Critiques en 2014

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar Heatmann » Mar 04 Nov 2014, 21:51

10/10 magistrale
Image
Avatar de l’utilisateur
Heatmann
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 33395
Inscription: Jeu 06 Aoû 2009, 14:29
Localisation: UK

Micmacs à Tire-larigot - 6/10

Messagepar Alegas » Mer 05 Nov 2014, 15:26

Image


Micmacs à tire-larigot de Jean-Pierre Jeunet
(2009)


Lorsque Jean-Pierre Jeunet évoque Micmacs à tire-larigot en interview, on sent bien que le réalisateur a conscience d'avoir loupé le coche avec ce film qui n'a servi finalement qu'à combler un vide provoqué par le développement sans cesse retardé de son Life of Pi qu'il ne réalisera finalement jamais. Un film sûrement fait donc par nécessité, qu'elle soit financière ou morale (Jeunet voyant peu à peu son projet s'échapper entre ses doigts) et qui se voit à l'écran, car autant Micmacs à tire-larigot est bel et bien un film de Jeunet, autant il lui manque une certaine passion, voire même une certaine limite. Le fait est que le film donne souvent l'impression d'être un concentré de ce que Jeunet a pu faire par le passé, autant sur la forme que sur le script, mais avec l'implication en moins. Car si cette histoire sur fond de marchands d'armes est amusante par moment, jamais on a l'impression que le cinéaste est intéressé par son sujet, au point de le traiter avec une certaine distance qui n'aide vraiment pas à s'attacher à des personnages qui, du début jusqu'à la fin, ne sont que des icônes que l'on suit avec plus ou moins d'intérêt. Cela donne donc un film clairement pas désagréable, mais très facilement oubliable. Alors il reste bien quelques bonnes choses, à commencer par un casting plutôt sympa même si certains personnages se révèlent embêtants sur la longueur (Omar Sy en tête), une mise en scène toujours aussi travaillée et quelques gags qui font mouche, mais Micmacs à tire-larigot reste ce qu'il est : une comédie le cul entre deux chaises avec un propos pas spécialement bien géré, et un manque de passion visible qui finit par desservir l'ensemble. Heureusement que Jeunet a pu se rattraper depuis.


6/10
Critiques similaires

"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50085
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Chasseur Blanc, Coeur Noir - 7/10

Messagepar Alegas » Mer 05 Nov 2014, 23:29

Image


White Hunter Black Heart (Chasseur Blanc Cœur Noir) de Clint Eastwood
(1990)


Très sympa ce Eastwood qui a le mérite d'être un des films les plus originaux de son auteur en terme de traitement. N'ayant rien lu sur le film je pensais me retrouver face à un simple film de chasse et quelle surprise que de me retrouver finalement devant un récit plutôt fidèle au tournage de The African Queen, réputé pour le comportement quelque peu étonnant de son réalisateur John Huston. Sans être le récit le plus captivant du monde, Eastwood arrive à rendre la chose sacrément passionnante (malgré quelques faiblesses de rythme) et sa vision du petit monde hollywoodien est tellement osée qu'on se demanderait presque s'il n'y a pas un léger caractère biographique au sein des personnages. Niveau mise en scène, ça reste du Eastwood, très classique donc mais ça fonctionne, et puis le plan final pue la classe il faut le dire. Non s'il faut trouver LA qualité du métrage c'est évidemment sur son script aux dialogues assez mémorables par moment (en gros dès que Eastwood s'énerve et clash quelqu'un). Film apparemment très personnel pour le réalisateur, ce qui expliquerait les prémices de l'humanisme qui sera véritablement visible dans ses œuvres suivantes, il est fort dommage de constater non seulement que le film fut un bide monumental à sa sortie, mais aussi de voir qu'encore aujourd'hui le film est finalement trop peu cité. Une erreur qu'il serait bon de réparer, car même si le film n'est pas sans défauts, ça reste tout de même du sacré bon boulot.


7/10
Critiques similaires

"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50085
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar Jed_Trigado » Mer 05 Nov 2014, 23:31

L'un des très trois plus beaux Eastwood, ni plus, ni moins. C'est même son film le plus mésestimé de mon point de vue.
"Je mets les pieds où je veux Littlejohn et c'est souvent dans la gueule." Chuck Norris

Image
Avatar de l’utilisateur
Jed_Trigado
Godzilla
Godzilla
 
Messages: 14455
Inscription: Sam 18 Oct 2014, 22:41
Localisation: On the fury road...

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Mer 05 Nov 2014, 23:36

Faut mater Honkytonk Man maintenant.
Avatar de l’utilisateur
Mark Chopper
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 44163
Inscription: Dim 12 Fév 2012, 13:14

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Mer 05 Nov 2014, 23:38

Et tu as eu bien fait de préciser que son humanisme sera plus lisible après, car il était déjà bel et bien présent dans ses films depuis au moins Josey Wales :wink:.

Sinon, ce monologue avec la femme est vraiment ultime :mrgreen:
Avatar de l’utilisateur
Dunandan
King Kong
King Kong
 
Messages: 20671
Inscription: Jeu 08 Sep 2011, 00:36

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar maltese » Mer 05 Nov 2014, 23:56

Mark Chopper a écrit:Faut mater Honkytonk Man maintenant.


+1, avec Chasseur blanc coeur noir, c'est certainement l'un de ses plus beaux films "méconnus" :super:

Beau commentaire sinon, et d'accord pour le plan final, très fort.
Avatar de l’utilisateur
maltese
Predator
Predator
 
Messages: 3539
Inscription: Jeu 26 Mai 2011, 12:29

Haemoo - 7/10

Messagepar Alegas » Ven 07 Nov 2014, 22:24

Image


Haemoo de Shim Sung-bo
(2014)


Premier long-métrage précédé d'une très jolie réputation, de par un succès critique un peu partout où il a été projeté, de par sa nomination comme film représentatif de la Corée du Sud pour l'Oscar 2014 du meilleur film étranger, mais aussi et surtout parce que son réalisateur, Shim Sung-bo est davantage connu pour sa participation à l'écriture du scénario de Memories of Murder, et qu'il n'avait plus rien signé depuis. Avec le support de Bong Joon-ho au script et à la production, on assiste donc à un premier pas dans la mise en scène pour le moins très convaincant, et on obtient le drame coréen le plus efficace sorti depuis bien longtemps. Pourtant, la première demi-heure ne laisse pas du tout présager un tel film : misère sociale coréenne une énième fois mise en avant, rebondissements aux abonnés absents, on craint de voir un film quelque peu moralisateur sur la situation sociale du petit peuple coréen ainsi que sur l'immigration toujours plus nombreuses des sino-coréens. Pourtant, à partir d'un revirement total dont je ne me ferais pas l'affront de révéler la teneur tant on le voit difficilement venir, Haemoo pose d'un coup les bases d'un tout nouveau film, à l'ambiance presque mystique, où un équipage de bateau va peu à peu tomber dans la folie, chacun à sa façon, tout en essayant de sauver sa propre peau.

Difficile de parler de la suite du script sans spoiler des événements toujours plus captivants, mais la rigueur d'écriture est de mise du début jusqu'à la fin (très beau final par ailleurs) avec des personnages réalistes qui peuvent à tout moment exploser (en cela, l'influence de Bong Joon-ho est clairement visible), et avec une romance qui, à la surprise générale, est d'une justesse rare pour un tel film (voir l'étrange rapport entre sexe et mort) et arrive même à donner une profondeur supplémentaire à des personnages touchants, capable de sombrer dans les pires excès certes, mais pour des raisons compréhensibles (notamment le personnage de Kim Yun-seok, qui excelle dans ce registre). A cela s'ajoute une mise en scène qui, sans atteindre le génie d'un Bong Joon-ho, sait se faire remarquer lors scènes cruciales via de très beaux plans, quelques mouvements de caméra élégants et d'excellente idée en terme d'ambiance visuelle (le brouillard omniprésent). Difficile de dire si on assiste à la naissance d'un nouveau grand nom du ciné coréen, tant on peut se dire que le nom de Bong Joon-ho doit avoir un lien avec la réussite du métrage, mais toujours est-il que j'attendrais avec impatience un second film du bonhomme.


7/10
Critiques similaires

"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50085
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar Heatmann » Ven 07 Nov 2014, 22:49

tres classe White hunter black heart , evidement riche , original , du pur clint , mais par contre moi je le met pas dans les hauteur eastwoodienne , y a des ptite rupture de ton qui me font un peut decrocher et puis je n'y resent pas d'emotion .... vue que mark le cite , je trouve Honkytonk man carrement plus beau et pour le coup , mesestimer , c'est meme , celui la , un de mes gros chouchou du bonhomme , la , j aimerais vraiment un pti bluray , meme de fond de catalogue . une vria amorce pour a perfect world
Image
Avatar de l’utilisateur
Heatmann
BkRscar
BkRscar
 
Messages: 33395
Inscription: Jeu 06 Aoû 2009, 14:29
Localisation: UK

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar Alegas » Ven 07 Nov 2014, 23:53

Je me prévois la vision de celui là aussi du coup. :wink:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50085
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Interstellar - 7,5/10

Messagepar Alegas » Jeu 13 Nov 2014, 16:31

Image


Interstellar de Christopher Nolan

(2014)


Difficile d'écrire sur le neuvième film de Christopher Nolan tant je suis affreusement partagé sur la qualité du métrage. La chose se confirme à la revision : autant j'adhère à la majorité de la proposition filmique malgré des défauts évidents, autant je ne peux tout simplement pas laisser passer la dernière demi-heure qui est à mes yeux la conclusion la plus affligeante que j'ai pu voir depuis très longtemps sur un écran de cinéma, au point de me faire reconsidérer la totalité du film. L'attente était pourtant énorme, le script de Jonathan Nolan étant publiquement connu depuis plus de cinq ans pour un projet que devait initialement réaliser Steven Spielberg mais qui échouera finalement à Christopher Nolan qui en profite pour se le réapproprier. Autant je n'ai rien contre certains choix de réécritures, autant Nolan prouve ici sa capacité à foutre en l'air un script dès qu'il tente d'y incorporer un peu trop sa personnalité (The Dark Knight Rises en étant la preuve ultime), lui qui, d'habitude, laisse son frère gérer la partie scénario, lorsqu'il ne vogue pas en solo comme pour Inception.

A l'instar du dernier opus Batman, on se retrouve donc devant un film qui laisse sacrément sur le carreau en terme de cohérence (non pas scientifique, mais bien dans la façon d'aller jusqu'au bout de son propos), tout ça à cause d'un final non seulement surexplicatif, longuet et des ultimes minutes tellement mal foutues qu'on se demande réellement si on est en train de regarder le même film. Nolan aura beau dire (sans le dire vraiment) que la fin de son film est sujette à interprétations, encore faudrait-il que de véritables indices soit présents, et non pas un simple poème doublé d'une allusion mythologique. Cela me choque d'autant plus quand je m'aperçois qu'un film comme Contact, qui possédait grosso modo une fin toute aussi renversante vis à vis des attentes du spectateur, mais en mieux écrite et plus aboutie, se faisait littéralement lyncher à sa sortie pendant que le final d'Interstellar est salué par quasiment tout le monde 17 ans plus tard. Nolan se confirme un peu plus à mes yeux comme un cinéaste beaucoup trop sûr de chacune de ses propositions scénaristiques, au point de se perdre totalement sans s'en rendre compte puisque son public suit sans rien à redire, et je peine à espérer que Nolan reviendra vraiment un jour à un cinéma plus modeste, dans lequel il avait réellement quelque chose à dire.

Pour le reste, le film est tout de même assez étonnant pour un tel budget. Loin de céder à un bête space-opera, on est ici devant un vrai film de personnages. Et autant la storyline autour des personnages de Chastain et Affleck se révèle très limitée, autant tout ce qui touche aux personnages de McConaughey, Hathaway, Damon et Caine sont passionnants et assez originaux pour un tel blockbuster. Chaque personnage est ainsi à l'image de la Terre quittée : refermée sur elle-même, égoïste et agissant dans un but strictement personnel avant celui du bien commun. Un choix payant puisque les motivations sont clairement compréhensibles, ce qui donne un film très humain, sacrément pessimiste sur les bords (aspect totalement détruit par la fin hors-propos) et beaucoup moins froid que d'ordinaire chez Nolan (en témoigne la superbe scène où McConaughey découvre les messages de sa famille sur les vingt dernières années). Même sur la forme Nolan fait quelque peu oublier son Dark Knight Rises paresseux, et si on pourra reprocher aux séquences spatiales un sacré manque d'originalité (ça se contente soit de citer 2001, soit de filmer au ras de la carlingue d'un vaisseau), Interstellar ne manque pas de beaux morceaux de bravoure, à l'image de décollage ou encore d'une séquence d'amarrage bien tendue. Pendant que Hans Zimmer signe une excellente composition rappelant celle de Philip Glass pour Koyanisqaatsi, le casting est, lui, en demi-teinte. Autant McConaughey, la jeune Murph et Caine tirent rapidement leur épingle du jeu, autant le reste est soit anecdotique, soit trop peu présent.

Sans son final tout simplement détestable, j'aurais pu acclamer Interstellar comme un excellent film de SF dont l'originalité rattrape les quelques défauts, mais là en l’occurrence je ne peux tout simplement pas faire avec, et je crois réellement les doigts pour que ce soit le dernier film aussi raté d'un cinéaste qui a pourtant, je pense, encore beaucoup à offrir.


7,5/10
Critiques similaires
Film: Interstellar
Note: 8/10
Auteur: lvri
Film: Interstellar
Note: 8/10
Auteur: Pathfinder
Film: Interstellar
Note: 8/10
Auteur: Velvet
Film: Interstellar
Note: 9/10
Auteur: Dunandan
Film: Interstellar
Note: 8/10
Auteur: elpingos

"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50085
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Roaring Currents - 6/10

Messagepar Alegas » Ven 14 Nov 2014, 22:09

Image


Roaring Currents de Kim Han-min
(2014)


Le voilà le fameux film qui aura battu tous les records de fréquentation en salles en Corée du Sud. Presque la moitié de la population totale du pays est allé le voir, renversant au passage le record précédent tenu par The Host, autant dire que les attentes étaient fortes, surtout que Kim Han-min avait signé auparavant le très sympathique War of the Arrows qui, malgré une mise en scène pas toujours inspirée, apportait beaucoup d'originalité au film d'époque coréen. Ici, on a tout simplement la retranscription filmique d'un des moments historiques les plus iconiques du pays, qui consiste en une bataille navale du XVIème siècle à 10 contre 300 dans laquelle les coréens se retrouveront victorieux, repoussant l'invasion japonaise grâce à un amiral qui a aujourd'hui sa propre statue au beau milieu de Séoul. Autant dire que l’événement a beaucoup d'importance dans la culture coréenne, symbolisant l'envie de liberté et d'indépendance face à un ennemi supérieur en nombre. Cet aspect, c'est finalement un peu la force et la faiblesse du métrage. Car autant la passion avec laquelle le réalisateur retranscrit ces événements se ressent énormément, autant je doute que le film parle réellement à quiconque n'est pas coréen, le script étant particulièrement poussé dans le retranchement patriotique jusqu'à la niaiserie (en témoigne une scène hilarante où l'amour par télépathie sauve la bataille).

Certes, c'est largement compréhensible (c'est d'ailleurs surement pour ça que le film a aussi bien marché là-bas) mais du coup ça laissera quelque peu pantois le public international, d'autant qu'on peut rajouter à ça une première heure un peu pataude qui met en avant des personnages auxquels on ne s'attache jamais vraiment (même Choi Min-sik se contente d'être une simple icône à suivre, ce qui est dommage). Non, le clou du film, et la principale raison de le voir, c'est évidemment pour sa scène de bataille. Une heure non-stop de combat naval où la stratégie prend le pas sur l'action bourrine, rarement répétitive, filmée de façon très correcte et aidée par des effets visuels qui mettent à l'amende les derniers Tsui Hark. Un film de guerre auquel il ne faut pas trop en demander donc, c'est tout de même loin d'avoir la profondeur et l'intelligence d'un The Host, mais en guise de gros blockbuster ça nous venge facilement des productions américanisées en provenance de Corée ces dernières années.


6/10
Critiques similaires

"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50085
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar Jed_Trigado » Ven 14 Nov 2014, 22:12

Ouais bon la référence gratos a Tsui Hark, tu pouvais t'en passer. :eheh:
"Je mets les pieds où je veux Littlejohn et c'est souvent dans la gueule." Chuck Norris

Image
Avatar de l’utilisateur
Jed_Trigado
Godzilla
Godzilla
 
Messages: 14455
Inscription: Sam 18 Oct 2014, 22:41
Localisation: On the fury road...

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2014

Messagepar Alegas » Ven 14 Nov 2014, 22:13

:mrgreen:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

The Wachowskis


Image
Avatar de l’utilisateur
Alegas
Modo Gestapo
Modo Gestapo
 
Messages: 50085
Inscription: Mar 11 Mai 2010, 14:05
Localisation: In the Matrix

Re: Interstellar - 6,5/10

Messagepar elpingos » Ven 14 Nov 2014, 22:22

Alegas a écrit:Sans son final tout simplement détestable


T'y vas fort .. J'ai pas suivi les débats mais bon, on est dans du happy end hollywoodien classique non. Pas du happiest end, mais du happy end, qui n'hésite pas à tirer un peu fort les ficelles .. Mais bon moi perso je m'attendais pas à autre chose...

Par contre ce qui me dérange c'est le gros pb scientifique, le paradoxe temporel sur lequel les Nolan ont choisi de s'asseoir. Pour moi c'est le seul gros point noir. La fin pour moi c'est du classique, pas de quoi crier au loup.
Avatar de l’utilisateur
elpingos
Predator
Predator
 
Messages: 4656
Inscription: Ven 15 Avr 2011, 12:12
Localisation: Nantes

PrécédenteSuivante

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 11 invités



Founded by Zack_
Powered by phpBB © phpBB Group.
Designed by CoSa NoStrA DeSiGn and edited by osorojo and Tyseah
Traduction par phpBB-fr.com
phpBB SEO