[Dunandan] Mes critiques en 2014

[Rockatanski]

Dans la vraie vie tu veux dire ? Ils sont partout autour de toi et te font des choses ?

Mais qu'il est sot !

[osorojo]

Il est sot gay ouais, fais gaffe

[Rockatanski]

Mais je ne suis pas du tout homophobe !!!! c'était pas le sens de mon propos...

Mais la surexposition/médiatisation actuelle m'horripile quelque peu ....

[Mark Chopper]

Mais je ne suis pas du tout homophobe !!!!....

T'aimes la bite alors ?

[Rockatanski]

T'aimes la bite alors ?

Oui, beaucoup, avec ma femme !

Et ce n'est pas Conchita Wurtz !!

[maltese]

Faut appeler chocoBN là...

[Dunandan]

Merci Oso', ça se laisse tenter quand même

Bah sinon, j'ai eu un rejet catégorique de J'ai tué ma mère (premier film de X. Dolan), car ici, ça va quand même au-delà d'un film sur le couple homosexuel. C'est ce qui m'a aussi plu dans le traitement (et puis bon je préfère voir des filles que des garçons s'embrasser et plus si affinités ).

[Val]

Mais je ne suis pas du tout homophobe !!!!....

T'aimes la bite alors ?

Avec un filet d'huile d'olive, c'est pas mal.



Sinon, La Vie d'Adèle n'est pas du tout un film sur l'homosexualité. Comme je l'ai dis dans ma modeste critique, on pourrait écrire le même film avec un couple hétérosexuel, ce serait la même chose. L'homosexualité ne sert ici qu'a souligner l'inconnu que représente Emma.

[Dunandan]

Ouep, je n'ai pas développé mais je suis tout à fait d'accord avec toi. Un film qui m'a aussi fait pensé à Tomboy.

[caducia]

même si l'homosexualité n'est pas le thème principal, il a été bien mis en avant pour sa promo et c'est pour ses scènes olé olé que le film s'est bien vendu à l'international.

[Jimmy Two Times]

Ouep, je n'ai pas développé mais je suis tout à fait d'accord avec toi. Un film qui m'a aussi fait pensé à Tomboy.

Merde, j'ai mis 7 à Tomboy, va falloir que je mate ça... Sur Canal, ils teasent à mort dessus en ce moment vu qu'ils le diffusent. La tronche suffisante de la grecque ne me revient pas...et le "vous allez vivre une véritable expérience de cinéma" de la voix off me fout la gerbe. Faut bien rentabiliser l'abo.

[Dunandan]

J'ai eu de la chance d'être passé à côté du gros de cette promo. Bon, pas sûr que ça vaut tous les prix que ça a raflé, mais si tu as apprécié le film que j'ai cité, ça pourrait te plaire.

[Dunandan]

Planète des singes : les origines, Ruppert Wyatt (2011)

Second visionnage, et je revois considérablement à la hausse cette remise à neuf de La planète des singes. Certes, on reste loin de la force d'impact, et surtout de l'intelligence du tout premier opus de la saga. Mais tout de même, c'est bien shooté, la réalisation est dynamique, et quelques années après, les effets spéciaux sont toujours au top, prêtant à César, sans contexte l'attraction centrale de ce film, des réactions et des émotions bluffantes de crédibilité (Serkis semble être né pour faire le singe). Et d'ailleurs, l'idée du script, consistant en un médicament miracle contre l'Alzheimer, ayant des effets secondaires non prévus sur les capacités cognitives sur les porteurs, se prête assez bien à cette emphase sur notre espèce cousine. Ainsi, certaines séquences touchent, remuent, ou révoltent. Un divertissement efficace, bien rythmé, et qui ne s'encombre pas trop d'intrigues secondaires, le tout goupillé en 1h40, une durée digeste qu'on ne retrouve plus beaucoup dans les Blockbusters actuels.

Cependant, ce film n'a pas que des qualités, loin de là. Si les singes ont la part belle, les humains sont pour la plupart sacrément stéréotypés et caricaturaux, comme le voisin jamais content et cause systématique d'un rouage important dans le scénario, le patron de l'entreprise où sont faites les expériences qui est un business man et donc forcément ignorant des conséquences possibles de son produit, ou un membre d'un centre de rétention pour singes particulièrement méchant avec ces derniers. Bref, les mécaniques de la révolution en marche, et la façon dont sont traités les singes par certains humains, sont super balisées. En outre, certainement qu'on va parfois un peu rapidement en besogne (l'évolution du scientifique qui passe du naïf au consciencieux, et César du soumis en chef incontesté de sa tribu, et ce en quelques scènes très courtes), et que la réalisation vire parfois à l'esbroufe (l'amélioration des capacités de César file à grands galops). Mais au fond ce n'est pas plus con qu'un autre film du même acabit, et c'est quand même bien foutu. En tous cas, ces défauts n'entachent pas trop le plaisir de suivre l'évolution de César, conduit à affirmer sa voie, sa touchante relation avec son ex-maître et le père de ce dernier, et un final qui envoie la marchandise sans se prétendre être plus qu'un honnête début à un reboot qui s'annonce plutôt appétissant.

Note : 6.5/10

[Jimmy Two Times]

Tu viens du futur?

[Dunandan]

Ouais je me suis trompé, je vais corriger ça .