[Dunandan] Mes critiques en 2014

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Chute du faucon noir (La) - 8,5/10

Messagepar Dunandan » Sam 04 Oct 2014, 00:09

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La chute du faucon noir, Ridley Scott (2001)

La carrière de Ridley Scott oscille entre le meilleur et le pire, mais celui-là fait assurément parti de mes préférés. Il s'agit de son unique essai dans le genre du film de guerre, qu'il réussit pleinement à transformer, dans la droite lignée de l'âge d'or du genre par ce développement qu'il offre en intro aux personnages pour qu'on s'accroche à eux par la suite, et pour rendre clair le rôle et la personnalité de chacun. D'ailleurs, le casting est énorme, avec plein de têtes plus ou moins connues à l'époque (Hardy, Hartnett, Mc Gregor, et surtout Bana, Fichtner, Sizemore, et Isaacs qui ont une sacrée présence, de vrais bonhommes), doté d'une véritable égalité de traitement (on voit Harnett un poil plus que les autres, mais c'est tout).

Pour le reste, la poudre parle avec des séquences de guérilla urbaine presque aussi graphiques et nerveuses que dans Sauvez le soldat Ryan. C'est vraiment impressionnant, même si l'enchaînement des séquences ne m'a pas paru toujours très clair (il faut dire qu'on nous balade entre une bonne quinzaine de personnages au cheminement assez diversifié), mais vu que c'est l'histoire d'un chaos et d'une débandade généralisés de l'armée US, ça ne m'a pas trop gêné, d'autant plus que le scénario est très simple à suivre où les équipes de combat sont censées (du moins au début avant que ça pète de tous côtés) aller d'un point A à un point B. Et puis c'est un gros plaisir de suivre la chaîne de commandement, les ordres et manoeuvres tactiques, surtout l'équipe Delta qui déchire tout, mais aussi les courageux Rangers ou les soldats un peu plus maladroits qui se demandent parfois ce qu'ils font là au milieu de tout ce bordel où chacun finit par courir après les blessés et les postes retranchés. C'est aussi la claque en termes de découpage, de montage, de photographie, le tout accompagné par une excellente bande-son, puissante et nerveuse, mixant du rock et de la musique ethnique. Pas moyen de s'emmerder, ça progresse à un rythme d'enfer.

Bref, Ridley sait filmer la guerre, de par une immersion omniprésente, caméra à l'épaule, tout en conférant une bonne visibilité à l'action. La violence est souvent écoeurante, jamais fun, moche à voir, encore une fois c'est la guerre. Et c'est presque une joie de voir cette mission bien préparée qui vole en éclats par des rebelles qui fusent de tous côtés comme des insectes, la rage au ventre, pour bien montrer à leurs visiteurs qu'ils n'ont rien à faire là, que c'est leur territoire (les spectateurs américains ont du prendre cher, ils n'ont pas l'habitude de voir leur armée ainsi défaite). Enfin, malgré une noirceur qui fait plaisir, ce cinéaste sait aussi doter cette guerre d'un fond humain, apolitique (sans quoi ce ne serait qu'un bon gros film d'action), simple mais qui me fascine, où au fond s'il n'y a qu'un sens à lui donner, c'est de sauver ses potes (ce qui légitime quelque part cette défaite, où le commandant en chef semble plus préoccupé de ramener ses gars au bercail que de réussir sa mission). Bon, certains auraient peut-être voulu avoir plus de détails sur le conflit, et notamment le point de vue somalien (réduits pour la plupart à des êtres assoiffés de sang), mais ça aurait donné un film très différent, probablement moins viscéral, pessimiste, et surtout moins centré sur les personnages.

Note : 8.5/10
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Detective Dee 2: La légende du dragon des mers - 5,5/10

Messagepar Dunandan » Sam 04 Oct 2014, 23:12

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Detective Dee 2: La légende du dragon des mers, Tsui Hark (2013)

Depuis le premier Dee, Tsui Hark est passé par la 3D et les CGI. Résultat : c'est souvent moche et ridicule. Ainsi, les incrustations lors de la première attaque du monstre marin sont honteuses, et les combats perdent sacrément en impact et en énergie, où tout pue le fake (même les éclairages et les moustaches !). Et ce n'est pas le seul soucis. On se retrouve avec des acteurs qui sont loin d'afficher le charisme des anciens acteurs (avec en prime une belle plante verte, juste là pour faire joli), et une narration bourrée de tares, comme le talent de déduction du détective qui ressemble désormais au 6ème sens des Chevaliers du Zodiaque, et un mystère rapidement éventé qui laisse place à une amourette "belle et la bête" qui fait un peu pitié (ce costume en latex n'arrange pas les choses). Et encore, je me tais sur certains idées WTF/ridicules qui ailleurs, ferait partie du charme du WXP fantastique, mais paraissent ici de trop (le médecin hystérique, le cheval qui a les pieds marins...).

Il y a toujours eu un côté cheap dans les films de Tsui Hark, mais entre Green Snake et ses films fantastiques de 2010, il n'y a pas photo, au moins il compensait cela par une réalisation vénère proposant de purs moments de folie ou d'onirisme, ici trop sage et impersonnelle, au mieux tape à l'oeil (sûrement pour faire mumuse avec la 3D). Un défaut que j'imputais déjà au premier épisode, mais qui me semble ici exacerbé (et mine de rien, les SFX en dur avaient beaucoup plus de charme). En outre, on perd aussi en fantaisie avec beaucoup moins de diversité dans les coins visités (on reste beaucoup autour de la capitale), et on ne peut pas dire que les scénaristes se soient beaucoup foulés pour développer la relation entre Dee et l'impératrice ou son premier conseiller (en gros, qu'on ait vu ou pas le premier épisode ne change absolument rien).

Malgré tout, même si l'orientation mainstream d'un de mes réalisateurs HK préférés ne me plaît pas, j'y retrouve quelques beaux restes et une sincérité d'intention d'être toujours au top en termes d'idées et de technique (l'inventivité des transitions et des chorégraphies, bien qu'un poil maladroites dans l'exécution, en témoignent), signes d'un réalisateur qui veut se mettre en phase avec son époque. Et aussi, en préservant une certaine naïveté dans la forme, la narration, et les thèmes défendus que l'on trouvait dans le cinoche HK de la grande époque, cela me rend assez indulgent dans mon appréciation finale. Mais encore une fois, pas sûr que la logique bigger and louder fasse du bien à cette industrie où les effets «faits maison» et les acteurs «touche à tout» faisaient partis de leur charme si particulier, d'autant plus que le résultat est de qualité très disparate et qu'on perd également en termes de rupture de tons (dans le même genre, Journey to the West de Stephen Chow a bien mieux tiré son épingle du jeu, ce n'est donc pas tout à fait impossible).

Note : 5.5/10
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Rocky - 8/10

Messagepar Dunandan » Lun 06 Oct 2014, 02:35

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Rocky, John G. Avildsen (1976)

Plus qu'un film de boxe, Rocky est une touchante peinture des bas-quartiers de la ville de Philadelphie, dotée d'une belle et juste sobriété, et qui sonne juste, authentique. De mémoire, il y avait un peu plus de combats, mais en fait, si on excepte les courtes séances d'entrainements, il y en a que deux, d'une facture assez réaliste (ce qui ne sera pas forcément le cas des autres opus). Amateur de coups de poing dans la poire, passez donc votre chemin, on s'attarde plutôt sur cet arrière-fond social dont étaient dotés certains films des années 70, le tout avec une réalisation posée qui ne manque pas de caractère et de personnalité. Ainsi, le rythme est pépère, mais jamais ennuyeux pour peu qu'on s'attache à ce personnage qui a tout d'un symbole, un laissé-pour-compte qui a le coeur sur la main, et qui a l'occasion de se mesurer au champion du monde de boxe, une seconde chance pour se prouver à lui et aux autres qu'il est quelqu'un, qu'il n'est pas un looser.

Un classique non démérité que je revois donc avec plaisir, qui repose surtout sur ses personnages qui en ont dans le ventre, mais dont les tripes tardent à sortir, au détour de séquences qui leur laissent pleine latitude pour exposer ce coeur qui bat très fort. Il y a bien sûr certaines scènes cultes, maintes fois parodiées par la suite (l'entrainement fake dans la boucherie, la fameuse montée de l'escalier avec ce thème musical qui marque les esprits, ou ce visage tuméfié criant Adriaaan), mais ce que je retiens avant tout, ce sont tous ces gens de basse classe qui osent s'exprimer, aller jusqu'au bout, en dépit d'un cadre de vie pour le moins peu encourageant. Et puis ce film a plus d'un tour dans son sac, car en plus de donner à chacun un visage crédible et contrasté (ce ne sont pas d'emblée des personnages auquel on s'attache, avec Rocky qui est simplet sur les bords malgré son grand coeur, un ami et un entraîneur qui essaient de profiter de sa situation, une petite amie timide et coincée, ou un champion imbu de lui-même), il nous invite dans les arcanes sournoises de la boxe où il en faut peu pour tomber dans la routine, le complexe de supériorité, ou le piège de la célébrité, des pistes qui seront un peu plus exploitées par la suite, avec plus ou moins de réussite.

Bref, Rocky, tout en offrant à Sylvester Stallone le plus beau rôle de sa carrière en ce qui me concerne (il montre qu'il peut être un sacré acteur, et la VO est d'ailleurs obligatoire pour apprécier pleinement son jeu), incarne aussi une belle leçon d'opiniâtreté et d'intégrité mais sans tomber dans la facilité, à l'image de cet échec conclusif qui signifie énormément plus qu'une victoire qui aurait d'ailleurs été à côté de son sujet (donc, pas la boxe). Car avant d'être une grande victoire sur les autres, ce match représente plusieurs petites victoires sur lui-même (ce qui est donc une belle variante à l'American Way of life, tel qu'il est représenté par exemple par son adversaire). Cependant, il manque peut-être quelques séquences marquantes pour que je considère ce film comme ultime (à ce titre, la sobriété du traitement révèle ses limites). Mais en l'état, il s'agit d'un joli drame sur les bas-quartiers américains (très proche des premiers Scorsese par son approche semi documentaire), qui devrait parler à un large public par les thèmes universels qu'il aborde, et ses personnages plus vrais que nature.

Note : 8/10
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Jimmy Two Times » Lun 06 Oct 2014, 21:54

Tu te fais une rétro?
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Lun 06 Oct 2014, 21:56

Le seul défaut du premier, c'est l'évolution d'Adrian. Elle passe de demeurée moche comme un pou à fille baisable qui a du caractère d'une scène à l'autre, ça ne fonctionne pas :eheh:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar angel.heart » Lun 06 Oct 2014, 22:13

C'est pas (totalement) faux, mais je trouve que ça fonctionne quand-même. Et, la saga comporte déjà bien assez de montage pour les entrainements de Rocky, on ne va pas en plus s'en farcir un pour découvrir qu'Adrian s'est vu pousser des couilles...

Sinon, j'aime beaucoup l'évolution du perso au fil de la saga.
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Vie d'Adèle, Chapitres 1 et 2 (La) - 7/10

Messagepar Dunandan » Mar 07 Oct 2014, 00:37

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La Vie d'Adèle, Chapitres 1 et 2, Abdel Kechiche (2013)

Attiré par le petit buzz autour de cette petite Adèle (et de son joli petit cul), j'ai donc décidé de voir par moi-même ce qui en retourne. Avec moi ce ciné-vérité hérité de la clique de Truffaut, c'est vraiment du 50/50, mais j'avoue que la proposition d'Abdel Kechiche m'a globalement séduit, malgré quelques petits trucs qui m'ont gêné.

Ce film, ce sont d'abord des tranches de vie sur les émois et déceptions amoureux, du Lycée jusqu'à la vie active. Ainsi, c'est le genre de cinéma où le spectateur se retrouve happé ou pas par cette évocation d'une vie ordinaire et banale, qui ressemble à toute autre, ce qui en fait aussi quelque part son universalité. Or, selon moi, l'aspect le plus réussi du film est justement lorsque Kechiche ballade sa caméra de façon à saisir la tentation des corps, le désir amoureux, ce regard où l'on se cherche, ou bien où il ne s'y passe rien, au détour de séquences intimistes à l'érotisme torride où les deux actrices se livrent pleinement dans leur élément le plus naturel, au point où on peut se demander où est la limite entre le simulé et le réel. Un parti-pris artistique peut-être gratuit à la longue (je veux bien pour les scènes de sexe, mais celle de la douche est limite), mais qui permet entre autres de ressentir leur alchimie tant physique qu'affective. D'autre part, les références à la littérature, l'art, et la philosophie, peuvent paraître didactiques dans la forme (mais néanmoins stimulantes et en parfait raccord avec les tourments existentiels adolescents qui est l'un des grands thèmes du film), et le script joue parfois un peu trop avec les clichés et les clivages sociaux (les repas pour en évoquer la différence et faire le lien avec la sexualité n'est en effet pas très subtil), il demeure qu'il y a un brin de vérité derrière, et que cela nous aide à immerger dans un environnement familier, voire sympathique. Bref, de peu qu'on accepte ces petites facilités ou choix de traitement, ce film réussit très bien à refléter les aléas de cette fille un peu à l'ouest qui se cherche au travers des autres, et qui connaît un coup de foudre qui ne s'explique pas avec cette fille aux cheveux bleutés (ce plan circulaire signant leur première rencontre est génial), se transforme en passion amoureuse, et lui permettra d'avancer un peu dans sa vie en proie aux doutes et à l'inquiétude, tant dans sa vie sentimentale que professionnelle à venir. Adèle c'est donc ça, un film sur la relation amoureuse naissante, le grand Amour (qui va donc plus loin qu'un film sur l'homosexualité), mais aussi et surtout un portrait d'une femme en devenir qui se démarque par une fraicheur de ton rappelant Malick (via cette caméra en quête de l'émotion du moment présent), et une description qui confine à un réalisme certes légèrement artificiel en y prêtant attention, mais contient des moments extraordinairement lumineux et touchants (surtout le début de la relation et la rupture).

Seulement, 3h00 peuvent paraître bien longues lorsque le script s'évertue à tourner autour de cette petite Adèle, sa moue boudeuse, et son quotidien qui finit par être morne et répétitif, où on nous montre toujours les mêmes types d'évènements, et où elle apparaît rarement contente dès qu'elle s'éloigne trop de sa compagne dont elle semble souffrir d'une jalousie possessive et maladive, ou qu'elle se mesure à un milieu où elle se sent pleinement larguée. Heureusement il y a plus, et c'est très intéressant de voir comment Adèle et sa copine finissent par s'éloigner par la force des choses, l'une destinée à exister à travers les autres, et l'autre à s'épanouir en puisant en elle les instruments de son bonheur (même si elle a aussi besoin de modèles, d'inspirations, de muses, de piédestal pour avancer). Mais quand même, on a parfois envie de la secouer un bon coup pour qu'elle trouve (enfin) confiance en elle. D'autre part, je trouve que le temps n'est pas toujours très bien géré lorsqu'on passe à la seconde partie. Il y a en effet de sacrées ellipses qui cassent selon moi l'évolution du personnage et du couple, et ceux qui gravitent autour paraissent aussi effacés (les parents en première ligne, qui ont pour unique fonction de faire vivre le cadre dans lequel ils vivent, surlignant au passage leurs différences culturelles de manière pas très fine). Malgré tout, ce film demeure très pertinent dès lors qu'on revient à ce petit bout de femme qui fait son bonhomme de chemin dans la vie, et apprend dans la douleur qu'il faut un peu plus qu'une intense alchimie pour former un couple durable et épanoui. C'est peu sur le papier, mais comme je l'ai dit, Kechiche a le chic de faire exister ses personnages principaux (servis par deux actrices au top, et je ne parle pas que du physique) au point qu'ils nous collent à la peau (littéralement, par l'image), qu'on est en mesure de les comprendre et de partager leurs joies et leurs peines, malgré (encore une fois) un sous-texte sociologique sur les classes assez pesant.

Au final, malgré tous mes griefs (sociologie poussive à la Kechiche, seconde partie redondante et trop larmoyante à mon goût), voilà une jolie évocation à la fois légère, moderne, et touchante de ce que peut être une femme aujourd'hui, dans ses doutes, émois, et déceptions par rapport à l'amour et la vocation, le tout servi par une réalisation sensitive et un duo éclatant d'actrices qui rencontrent certains moments de grâce.

Note : 7/10
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Messagepar Dunandan » Mar 07 Oct 2014, 01:57

Jimmy Two Times a écrit:Tu te fais une rétro?

Yep, rien de tel pour se refaire une santé :mrgreen: (petite envie de classiques solides)

@ Mark : ben ouais, Rocky l'a bien décoincé comme il faut :chut: (m'enfin elle reste quand même timide, je trouve, bien qu'elle ait gagné en affirmation)

@ Angel : ah ouais je ne l'avais pas vu comme ça, finalement il y a bien assez d'entraînements dans ce film :eheh:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Mar 07 Oct 2014, 09:22

Jolie critique pour Adèle, les 3h me bloquent mais devant tous ces avis positifs, il va bien falloir que je m'y colle, et puis y a du gros bonus boobs à priori, ça compensera :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar padri18 » Mar 07 Oct 2014, 09:26

osorojo a écrit:et puis y a du gros bonus boobs à priori, ça compensera :mrgreen:

Les scènes en question sont trouvables à part hein. :mrgreen:
Perso aucune envie de mater ça même si justement les scènes en question sont pas trop mal (m'enfin ça fait plus film érotique qu'autre chose pendant ces scènes)
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Mar 07 Oct 2014, 09:29

J'pensais être high level en salacerie, mais y a pire, tu me rassures :eheh: Je sais pas, ces scènes seront plus stimulantes dans une histoire, l'érotisme en mode gonzo, ça fonctionne pas :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Rockatanski » Mar 07 Oct 2014, 09:37

C'est typiquement le genre de film qui ne m'attire pas du tout.
Et puis l'homosexualité est tellement partout en ce moment - on dirait presque que ca devient une mode - que je frôle l'overdose.
Sans moi, pour le coup.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Mar 07 Oct 2014, 09:39

C'est clair, il y a des gays dans au moins 1 film sur 100 maintenant, difficile d'éviter ça.

Moi, ce sont les noirs qui me gênent... Ils sont partout ! Une vraie mode bordel. Et ne me lancez pas sur les chinois !
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Rockatanski » Mar 07 Oct 2014, 09:47

Mark Chopper a écrit:C'est clair, il y a des gays dans au moins 1 film sur 100 maintenant, difficile d'éviter ça.


Je ne oparlais pas spécialement du cinéma.... :roll:

Mark Chopper a écrit:Moi, ce sont les noirs qui me gênent... Ils sont partout ! Une vraie mode bordel. Et ne me lancez pas sur les chinois !


Mais qu'il est bête.... :lol:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Mar 07 Oct 2014, 09:51

Dans la vraie vie tu veux dire ? Ils sont partout autour de toi et te font des choses ?
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