[Mark Chopper] Mes critiques en 2014

[Mark Chopper]

Le doublage de Schwarzy le rend bon acteur, Stallone c'est le contraire.

[Dunandan]

Oui, bien trouvé comme comparaison, et tellement vraie.

[Scalp]

Et on venait me souler parce que je mettait 5 à 22jump

[Mark Chopper]

Toi-même tu sais que tu as surnoté cette merde.

[Scalp]

Les tronches de Tatum me faisait marrer et puis le générique final a appeler mon indulgence, sinon ouais c'est long, c'est pas rythmé, les gags sont pas drôles, mais y a Tatum (putain quand l'atout de ton film c'est Tatum c'est qu'il y a un soucis)

[Dunandan]

Je trouve Tatum bon dans les comédies, par contre il faut qu'il oublie les "purs" films d'action

[Eikichi Onizuka]

Kill Bill : Volume 1, de Quentin Tarantino (2003)

L'histoire : Une ancienne tueuse professionnelle décide de se venger de ceux qui ont tenté de l'assassiner le jour de son mariage, notamment un homme nommé Bill...

Un film qui a vu le cinéma de Quentin Tarantino gagner en ambition après douze années consacrées exclusivement au polar, en qualité de réalisateur et/ou de scénariste. Patchwork cinématographique unique, ce diptyque (ou plutôt ce long-métrage coupé en deux afin de faciliter son exploitation en salles) flirte ainsi avec différents genres appréciés par le réalisateur de Pulp Fiction : chambara, kung fu pian, western et, de manière plus générale, revenge movie. On sent ici une véritable boulimie, comme s'il s'agissait d'un dernier film, où se mêlent multiples citations, hommages et pompages (la frontière est souvent floue, comme avec Lady Snowblood). Le fait d'avoir scindé l'histoire en deux aurait pu se révéler maladroit mais sert finalement le métrage : une première partie centrée sur l'action, qui n'oublie pas pour autant de présenter les enjeux (une vengeance donc) et les principaux protagonistes (qui gardent toutefois, dans le cas de Bill, de Budd et de la Mariée alors anonyme, une part de mystère) et une seconde sur les origines du drame et sa résolution... Ce premier volume de Kill Bill s'impose surtout comme une démonstration de mise en scène : alors davantage reconnu comme scénariste et dialoguiste, Tarantino privilégie ici l'action au verbe et livre une séquence d'anthologie dans un bar/restaurant japonais fantasmé. Bien épaulé par Yuen Woo-ping à la chorégraphie, il filme à merveille l'affrontement Uma Thurman / Chiaki Kuriyama (l'impression jouissive de découvrir un manga live) et, surtout, la bataille contre les Crazy 88 (même si la contrainte du noir & blanc, pour des raisons de censure, me paraît aujourd'hui quelque peu parasite). Pour la profondeur, il faudra attendre la suite, bien plus bavarde...

Note : 9,5/10

[pabelbaba]

Je le kiffe ce passage animé. Bon, ok, la zique doit faire 75% du boulot, mais quand même...

Sinon pour le fight contre les Crazy 88, le truc le plus dingue c'est la qualité du montage, finalement assez cut et pourtant ultra-lisible. La preuve que l'on peut allier les deux.

Et pis je comprends pas qu'on ne se lâche pas davantage sur la note de se volume-là, c'est un putain de condensé bien jouissif de tout ce qu'on aime dans ce genre de film. 9 mini. Stoo.

[Alegas]

Ouais pour le coup je trouve la note un peu radine vu le peu de mal que tu dis du film.

Et puis le passage animé de Takeshi Koike surbute !

[Dunandan]

Mais on a le droit (ce n'est pas mon cas) de pas trouver ça très beau. En tous cas, le dessin est spécial et peut paraître grossier, surtout lorsqu'on est habitué aux mangas "standards".

[Alegas]

Ouais enfin c'est comme n'importe film d'animation en général : l'important n'est pas spécialement la beauté du dessin, mais son utilisation.
Car bon, clairement Koike son truc c'est pas de faire du "beau" mais d'avoir quelque chose d'unique une fois en mouvement, suffit de mater son long-métrage Redline ou même son segment dans Animatrix pour s'en rendre compte.

[Dunandan]

Oui, c'est exactement cet effet dynamique du mouvement dans l'action ou l'émotion véhiculée qui m'a intéressé, mais bon, la perspective est parfois vraiment bizarre, on dirait que les corps sont difformes ^^.

[Mark Chopper]

Et puis le passage animé de Takeshi Koike surbute !

C'est moche à en faire saigner les yeux. Redline, j'ai tenu dix minutes tellement je trouvais ça hideux.

Ouais pour le coup je trouve la note un peu radine vu le peu de mal que tu dis du film.

Je trouve deux chapitres à chier quand même, ça fait beaucoup.

Je trouve que vous surnotez tous, mais ce n'est pas grave. Matez Lady Snowblood sinon

[pabelbaba]

Et puis le passage animé de Takeshi Koike surbute !

C'est moche à en faire saigner les yeux.

T'es vraiment une petite nature.

[osorojo]

Ouais sur le coup, j'vois pas en quoi c'est moche. Mais si Mark préfère les animations typées Rox & Roucky, fair enough . Pour moi, c'est le summum de l'animation expressive ce genre de taff. Comme son segment dans Animatrix qui est d'une dynamique folle.