[Mark Chopper] Mes critiques en 2014

[Mark Chopper]

C'est ce que j'ai fait pour la suite de 300

Mais là, on a quand même plusieurs scènes

[Jimmy Two Times]

J'avais raté ta critique des Affranchis et c'est fou comme je me retrouve dans tes mots. Je me le garde comme cerise sur le gâteau, pour effacer le souvenir de ces temps ciné douloureux.

[Mark Chopper]

Predator :

Après une énième vision, toujours 10/10.

[padri18]

Celui là pas besoin de revisionnage, je suis déjà d'accord avec cette note

[Dunandan]

Celui-là aussi c'est toujours mon chouchou (et je souscris entièrement à ta critique)

Je vais d'ailleurs bientôt découvrir son dernier film, normalement je devrais pouvoir le pardonner de ce qu'il m'a fait subir.

[padri18]

Mouais Basic c'est pas non plus transcendant. De mémoire c'est sympa mais sans plus.

[Alegas]

C'est très bien à la revision Basic. Pas du niveau d'un Usual Suspects c'est certain mais c'est clairement sous-estimé (je suis effaré de voir par exemple sur Mad que beaucoup le considèrent comme un navet).

[Mark Chopper]

Mais là-bas certains défendent Rollerball

[Mark Chopper]

The Snow White Murder Case, de Yoshihiro Nakamura (2014)

L'histoire : Un journaliste enquête sur l'assassinat d'une séduisante jeune femme qui a été poignardée et brûlée. Son documentaire, diffusé à la télévision, oriente les soupçons vers une collègue discrète de la victime...

Après Tetsuya Nakashima (Confessions) et Kiyoshi Kurosawa (Shokuzai), c'est donc au tour du réalisateur de Fish Story d'adapter un écrit de Kanae Minato, romancière à la mode au Japon. Au programme : une enquête journalistique (plus que policière) sur un meurtre violent qui reprend la structure bien connue de Rashômon : points de vue différents sur un même événement, témoins qui se contredisent et frontière trouble entre vérité et mensonge... Problème : cette enquête hésite sans cesse entre étude de personnages (hypocrisie dans le monde du travail, jalousie entre collègues, blessures de l'enfance) et critique des médias et des réseaux sociaux qui ignorent la présomption d'innocence. Tout ceci est ambitieux, trop peut-être. A tel point que Nakamura finit par survoler son sujet plutôt que de le traiter... Difficile de reconnaître sa patte, tant pour la direction d'acteurs (très fades) que pour l'utilisation de la musique (habituellement son point fort). On pouvait espérer que sa maîtrise des ruptures de ton fasse ici la différence et apporte un peu de souffle et d'humanité à l'univers misanthrope de la romancière, mais cette maîtrise n'a pas été conviée : reconnaissons-le, il signe une commande en faisant le strict minimum. Qui plus est, on ne peut pas dire que la représentation du monde médiatique et des utilisateurs des réseaux sociaux fasse dans la finesse. Au final, le film échoue en tant que divertissement (on s'ennuie poliment) et en tant que satire : il confirme ainsi le caractère inégal de Nakamura qui, sorti des films sympathiques qu'il signe avec Gaku Hamada (comme The Foreign Duck, the Native Duck and God in a Coin Locker ou See You Tomorrow, Everyone), donne de plus en plus souvent l'impression de signer des téléfilms de luxe et certainement pas du cinéma.

Note : 4/10

[Dunandan]

Il n'y a pas beaucoup de réalisateurs japonais qui ont une constance qualitative ces dernières années, c'est vraiment au bonheur la chance .

[Mark Chopper]

Je commence à me lasser de faire le tri... Je vais laisser Third Window faire le job. Mais le niveau est bas de manière générale au Japon ces temps-ci

J'attends quand même Crows Explode, Tokyo Tribe, The World of Kanako et les deux suites de Rurouni Kenshin.

[Mark Chopper]

Avis express...

Les Tortues nagent plus vite qu'on ne le croit, de Satoshi Miki (2005)

Imaginez Eric Rohmer qui tenterait de singer Wes Anderson et vous aurez une idée du massacre. Je sais : c'est difficile à imaginer... Mais mieux vaut s'y résoudre que de se l'infliger.

Note : 1/10

22 Jump Street, de Chris Miller & Phil Lord (2014)

En dehors de la scène du repas avec Ice Cube et surtout du générique de fin, j'ai trouvé cette suite longue (2h00 tout de même pour ça...), poussive et jamais drôle. Je pensais regarder une comédie policière comme le premier, je me suis retrouvé avec une bromance molle du genou

Note : 2,5/10

Rocky, de John G. Avildsen (1976)

Moins le film caricatural sur la boxe que ceux qui ne l'ont pas vu se plaisent à imaginer qu'une peinture des quartiers pauvres de Philadelphie (qui évite le piège du misérabilisme), une histoire d'amour touchante et, surtout, une belle leçon d'opiniâtreté. Des personnages cultes, des acteurs toujours justes et une musique mythique pour un classique que ses suites parfois douteuses et nanardesques ne sauraient écorner.

Note : 8/10

[Dunandan]

C'est surtout la VF qui a donné un drôle de statut à Rocky, à mon sens... En tous cas, j'ai bien envie de me lancer dans un petit cycle l'un de ces jours ^^ (captures à l'appui).

[Mark Chopper]

Vu pour la première fois en VO, ça change. Faut avouer que le doublage français de Stallone et de son entraîneur est une atrocité.

[Dunandan]

Le seul Stallone que je regarde encore en VF, c'est Rambo 3, car de toutes façons son potentiel nanardesque est déjà élevé sans, alors autant pousser le bouchon jusqu'au bout