[Padri18] Mes Critiques en 2014

[osorojo]

Je l'ai aussi Non stop, j'me le réserve pour un lendemain de charge. Genre peut être lundi

[maltese]

Un peu du mal avec ce Slevin, j'avais trouvé ça sympa, mais le final surexplicatif m'avait plombé la séance

[padri18]

Je l'ai aussi Non stop, j'me le réserve pour un lendemain de charge. Genre peut être lundi

Vas plutôt regarder Wolverine toi

Un peu du mal avec ce Slevin, j'avais trouvé ça sympa, mais le final surexplicatif m'avait plombé la séance

C'est un peu trop surligné mais globalement ça me gène en rien et je vois toujours avec le même plaisir

[maltese]

Me souviens tout de même de pas mal de bonnes répliques du personnage de Morgan Freeman qui changeait un brin de registre pour une fois d'ailleurs.

[dagokhiouma]

aaah la belle critique que voilà pour ce bon petit film

C'est un peu trop surligné mais globalement ça me gène en rien et je vois toujours avec le même plaisir

[angel.heart]

Je sur-note probablement un poil...

Euh... Pas qu'un poil !

[padri18]

Peut-être... mais après quelques purges, ça fait du bien une bonne séance alors j'assume totalement les points potentiellement en trop

[angel.heart]

J'ai le souvenir d'un film divertissant mais totalement superflu et qui se croit bien plus intelligent que ce qu'il ne l'est réellement.

Du même réal j'avais préféré Gangster Number 1. Un peu plus trash...

[padri18]

Need for speed
de Scott Waugh (2014)

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4/10
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La voilà la réponse à la saga Fast and Furious ? Face au succès béton de cette dernière, Dreamworks a voulu sa part du gateau en adaptant le jeu vidéo Need for Speed sur grand écran. L'histoire du jeu ? Aucune puisqu'il s'agit simplement d'un jeu de course. L'idée d'adaptation n'est donc qu'un prétexte à pognon, soit.

Aaron Paul se retrouve vite engagé pour tenir le rôle principal, celui de Tobey Marshall, un mécano adapte de la course qui va se retrouver condamner à faire de la prison pour un accident qui a coûté la vie à un de ses amis, accident dont quelqu'un d'autre, Dino, est responsable. Aussi tôt sorti de prison, il va alors chercher à participer à la célèbre course "De Leon" pour se venger de Dino.

Pas besoin de chercher plus loin, le pitch en dit bien assez sur le métrage. Scénario basique et terriblement convenu pour un film qui laisse bien indifférent. Les personnages sont pour la plupart des clichés ambulants (le pire étant probablement celui du pilote qui se retrouve à piloter tout et n'importe quoi dans le film), les acteurs font le minimum syndical, sauf un Michael Keaton qui nous sort une prestation bien mauvaise (son rôle y étant pour beaucoup... on en vient à se demander ce que l'acteur fait ici).

Pas de (bonnes) surprises dans les scènes de courses, c'est assez quelconque mais c'est globalement bien shooté.
Bref, 2h05, c'est beaucoup trop long pour un film aussi convenu. Reste un casting sympathique qu'on aime toujours revoir (Aaron Paul et Imogen Poots) et quelques plans bien gaulés.

[padri18]

I'll follow you down
de Scott Waugh (2013)[/b]

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5,5/10
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12 ans après la disparition de son père, un jeune homme (Erol) va apprendre que ce dernier étudiait les voyages dans le temps et serait mort en 1946. Erol va alors étudier avec son grand-père un moyen d'empêcher la disparition de son père pour effacer toutes les conséquences tragiques de l’événement.

Un film totalement passé inaperçu, pas un poil de promo et une sortie VOD aux USA. Si une partie du casting attire l'oeil avec Gillian Anderson et Rufus Sewell, c'est surtout la présence de Haley Joel Osment qui pique la curiosité. Car si l'acteur a été révé enfant dans ses rôles du Sixième sens et de A.I., il faut avouer que depuis il s'est fait bien rare.
Sans être un rôle de composition, Osment se révèle convaincant dans ce drame intimiste saucé à la SF où un jeune homme doit faire face à la possibilité que son père, disparu depuis des années, puisse avoir voyagé dans le temps. Aidé par son grand père pour lui aussi reproduire ce moyen, il va vouloir empêcher ce drame familiale pour corriger les années d'absence et leurs tragiques conséquences. Néanmoins, en corrigeant le passé, le présent sera alors alterné et les bons côtés de ce dernier se retrouvent menacés de ne pas se reproduire à nouveau. Le personnage d'Erol doit alors peser le pour et le contre, à savoir, profiter du moment présent (une copine amoureuse et enceinte), ou doit-il risquer que tout cela disparaisse en modifiant le passé en empêchant son père de disparaître.
Les questions morales posées sonnent alors justes et à aucun moment la SF ne prend le pas sur le côté intimiste du métrage, le film s'évertue à dépeindre ses personnages et traiter du voyage dans le temps d'une manière scientifique sans pour autant se sentir obliger de l'expliquer à ses spectateurs (les grandes lignes sont données mais c'est tout, le film n'a pas pour but d'expliquer le pourquoi du comment, seules les raisons et conséquences du voyage importent).
Si globalement le film est réussit, il n'empêche une légère déception. Le film manque de bande son sur certains moments clés, et le spectateur manque d'empathie envers le personnage principal, ce qui atténue l'impact émotionnel. Dommage, avec un tel sujet, il y avait pourtant matière à faire.

[padri18]

Mission
de Roland Joffé (1986)


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9/10
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Découverte de cette palme d'or de 1986 et j'ai été totalement conquis.
Pourtant pas spécialement intéressé par les faits historiques, et encore moins par la religion, j'ai été happé par cette histoire où des jésuites se retrouvent en pleine Amérique du Sud pour construire une mission au sein de tribus indigènes, indigènes menacés par la suite par l'Espagne et le Portugal qui revendiquent leurs terres.

Véritable aventure humaine, le film démarre par une magnifique intro boulversante, où l'on voit les indiens mettre dans le fleuve un homme attaché sur un croix, qui finira par tomber d'impressionnantes chutes d'eau. Quelques minutes plus tard, c'est Jeremy Irons que l'on verra tenter l'ascension de la falaise a côté de cette même chute, ascension périlleuse pour une personnage qui se révèle par cette occasion déterminé et ne reculant devant rien pour accomplir son devoir de religieux, à savoir aller au contact des indiens en question.

C'est là bas qu'il fera la rencontre d'un autre personnage clé, celui de De Niro qui incarne un mercenaire qui traque les indiens pour les revendres à des esclavagistes. Le film se focalise alors temporairement sur ce personnage qui va tuer son frère par jalousie et sombrer dans le remords le plus total. Reclu, il va se voir une chance de se repentir et de faire la paix avec lui même en accompagnant les missionnaires et en embrassant leur cause.
De Niro sort une prestation exemplaire et arrive à nous convaincre de la bonne foi de cette homme qui embrasse une nouvelle cause. On retiendra la scène de l'ascension où il se force à porter ses lourdes anciennes affaires de mercenaire, prenante, mais également celle où il fond en larme lors de sa rencontre avec les indiens qui l'acceptent.

Malgré ces deux heures, le film n'ennuit pas. On passe la première heure focalisée sur les deux personnages principaux et leur évolution parmis les indiens, pour ensuite traiter du conflit avec les espagnols et portugais, conflits poussant les jésuites à se révolter et prendre la défense des indiens. Certains choisiront la révolte pacifique (Irons), tandis que d'autres choisiront les armes (De Niro), nous donnant ainsi une dernière partie de film pleine d'affrontements et d'horreurs.

Roland Joffé nous délivre un film plein d'images sompteuses, et filme la nature avec une passion qui rappelle les plans à la Malick. Cascades d'eau impressionnantes, forêts denses, la nature est sublimée dans le métrage, appuyée par une magnifique composition musicale d'Ennio Morricone.

[dagokhiouma]

Le seul et unique bon film que l'éducation nationale m'ait fait découvrir...

je suis jaloux de ta capacité à dire tout ou l'essentiel en trouvant les mots justes et en restant concis.

faut que je m'achète un cerveau

[padri18]

Merci mais j'aurais pu mieux faire, je trouve toujours que je n'exprime pas correctement tous mes ressentis mais c'est le jeu de l'exercice de la critique, il faut en faire pour s'améliorer donc je ne perds pas espoir.
Je tenais néanmoins à écrire un quelque chose avec quelques screens car le film m'a vraiment touché. J'en attendais pas spécialement grand chose mais j'ai vraiment pris mon pied.

[padri18]

Quelques avis express :


Pirates des caraïbes 2 : 8/10
Du blockbuster estival qui fait plaisir, Depp fait toujours aussi bien le mariolle, et le film enchaîne les morceaux de bravoure (la poursuite en cage du début, ou bien encore le duel à 3 qui se termine dans une roue géante). De la pure séance détente


Pirates des caraïbes 3 : 7/10
D'abord déçu à la découverte au ciné, je trouve qu'il se bonifie avec le temps.
Malgré un nombre trop exagéré de trahisons entre les personnages principaux, le film bénéficie néanmoins d'une réal béton (et les visuels de la jonq avec les étoiles qui se reflettent sur l'eau, ou bien encore la bataille navale finale).


L'inspecteur Harry ne renonce jamais : 6/10
Moins bon que les deux premiers volets mais pas une purge pour autant. Moins bon à cause d'un propos moins percutant et de bad guys franchement douteux, reste néanmoins un plaisir indéniable à revoir ce bon vieux Eastwood jouer de la gâchette.


Mafia Blues : 5,5/10
Comédie franchement dispensable qui ne vaut que pour son duo Crystal/De Niro. Certains trouveront De Niro pathétique dans ce rôle, moi j'ai trouvé ça passable (sauf quand il pleure, là c'est franchement mauvais). Les répliques font cependant parfois mouche (même en VF où le doublage de l'époque osait encore les gros mots). Par contre de tête, la suite est franchement pas terrible, je vais probablement vérifier ça dans les jours qui viennent.

[Dunandan]

Si tu as mis 6 au troisième Dirty Harry, nul doute que tu vas bien l'apprécier le suivant . Je vais bientôt revoir le dernier de la série, et à part la course-poursuite des mini autos je ne me rappelle de rien ^^.