*2014* Classement annuel des BoMiens

[Val]

Ouais c'est vrai, mais je ne lis que rarement les synopsis (et puis, à ce moment là, on pourrait y rajouter ce que l'on y veut).

[francesco34]

C'est pas tant que ça explicité dans le film à part dans l'énigmatique intro.
Et puis les raisons pour lesquelles elle capture des hommes sont obscures. Moi j'ai pas eu l'impression qu'elle le faisait pour elle mais devait remplir une mission pour le compte d'une entité supérieure. d'ailleurs elle n'a jamais de sexe avec ses victimes, ne les dévore pas, elle se contente de les amener dans cet étrange lieu qui les "digère" pour les assimiler. Et puis y'a les autres créatures (les motards) qui la surveillent et font le ménage derrière elle par moment, puis la cherchent à la fin quand elle a fugué... C'est là qu'on découvre que la prédatrice est en fait extrèmement faible et vulnérable.

Je suis mitigé, j'ai pas été fasciné, j'ai plutôt trouvé ça long, mais j'ai pas détesté l'expérience non plus.

[Velvet]

Enemy: 5,5/10
Villeneuve s'est fait plaisir mais c'est loin d'etre fameux. C'est dommage, il y avait quelque chose à proposer, mais il n'a peut etre pas la subtilité, le talent suffisant. Entre le coup de la clé qui rappelle Mulholland Drive et le coup des séances fétichistes à la Eyes Wide Shut, les influences sont trop lourdes à porter. Ca manque d'enjeux, de fulgurances, d'intéret. Un film jamais angoissant malgré quelques scènes qui fonctionnent en vain (les scènes avec l'araignée). Le film est soigné (mise en scène, bande son, Jake Gyllenhaal) mais trop linéaire pour marquer. Un exercice de style en demi teinte, trop balisé mais pas déplaisant.

[Dunandan]

La vie rêvée de Walter Mitty : 7/10

[zack_]

Vous faites vos critiques ici maintenant
Velvet au mot près et avec ta note je suis d'accord

[Dunandan]

C'est vrai que les dernières critiques de Nico présentes ici pourraient largement se retrouver sur son topic ... Courtes mais ça dit l'essentiel.

[Velvet]

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Velvet au mot près et avec ta note je suis d'accord

C'est pas vraiment des critiques, juste des petits eclaircissements perso sur le film. Bah ça permet de pas trop tomber dans l'enfilade de notes.

[Wauwau]

• Under the Skin
de Jonathan Glazer
6,5/10

[Waylander]

Supercondriaque : 4/10
Le crocodile du Botswanga : 7/10

[maltese]

Jersey Boys : 7,5/10 (voire un peu plus, je me tâte)

3 faits avant d'expliquer la note :
1) je suis un inconditionnel de Clint
2) je n'avais pas vu de film depuis deux semaines
3) je n'avais pas été au cinéma depuis janvier

Bref, ce film, j'avais envie de l'aimer avant de le voir, même si je n'osais pas en attendre grand chose. Et pourtant, ça a été une très bonne "surprise"; oui, Clint n'invente pas l'eau chaude avec ce film, mais je me suis complètement laissé emporter par cette histoire, mélange étonnant de succes-story musicale et de rise and fall scorsesien. La narration croisée, avec les différents intervenants qui parlent directement à la caméra, racontant le parcours des Frankie Valli et de ses comparses depuis les petites combines dans la rue jusqu'au sommet de la gloire, joue pour beaucoup dans l'intérêt du film. Eastwood reste fidèle à son style, sobre et classique (hormis à la toute fin, il ne faut pas s'attendre à des morceaux de grand spectacle façon comédies musicales - on et c'est tant mieux j'ai envie de dire, je ne voyais pas trop Eastwood là-dedans); le travail de Tom Stern à la photo est toujours remarquable, la reconstitution d'époque est très sympa, et le ton du film est étonnamment drôle (plus tellement l'habitude de voir ça chez Eastwood). Enfin, les quatre acteurs principaux, que je ne connaissais pas du tout, sont impeccables - mention spéciale à Vincent Piazza.

Eastwood a 84 ans, le sommet de sa carrière est probablement définitivement derrière lui, mais il continue de se faire plaisir, filmant l'époque et la musique de sa jeunesse, et le ton enjoué du film m'a conquis. Et il effectue une petite citation discrète mais qui satisfera tous les clintophiles

[Val]

C'est pas tant que ça explicité dans le film à part dans l'énigmatique intro.
Et puis les raisons pour lesquelles elle capture des hommes sont obscures. Moi j'ai pas eu l'impression qu'elle le faisait pour elle mais devait remplir une mission pour le compte d'une entité supérieure. d'ailleurs elle n'a jamais de sexe avec ses victimes, ne les dévore pas, elle se contente de les amener dans cet étrange lieu qui les "digère" pour les assimiler. Et puis y'a les autres créatures (les motards) qui la surveillent et font le ménage derrière elle par moment, puis la cherchent à la fin quand elle a fugué... C'est là qu'on découvre que la prédatrice est en fait extrèmement faible et vulnérable.

Je suis mitigé, j'ai pas été fasciné, j'ai plutôt trouvé ça long, mais j'ai pas détesté l'expérience non plus.

Voilà, c'est comme ça que je l'avais compris, d'où ma critique.

[Mark Chopper]

Tu développes Maltese et tu tiens ta première critique

Allez on y croit et on ne fait pas sa timide.

[Alegas]

Même là en l'état je trouve que ça se tient pour être référencable.

[maltese]

Bon allez, je développerai peut-être un peu alors

[osorojo]

Même là en l'état je trouve que ça se tient pour être référencable.

Ue, c'est largement référençable en l'état