THE MACHINE
• CHALLENGE BOM MAI 2K14 •
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James Caradog (2014) | 5/10
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James Caradog (2014) | 5/10
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A vouloir prouver à ses spectateurs qu'il souhaite faire sien les préceptes des robots d'Asimov avec intégrité, James Caradog oublie d'insuffler à son propos sa propre sensibilité et livre à la place d'une relecture personnelle du genre un petit guide de la robotique pour les nuls. C'est dommage, son The machine possède un petit quelque chose qui le rend sympathique, mais on peine tellement à aller le terminer, la faute à un rythme bancal et des enjeux somme toute peu passionnants, qu'il est difficile de se laisser convaincre. A l'image de ce casting on ne peut plus volontaire qui peine à réellement à trouver le bon tempo, The Machine ne parvient jamais vraiment à dépasser son ambition de départ et reste à l'état embryonnaire. On y trouve de jolis préceptes qui ne sont jamais exploités même si l'on sauvera tout de même quelques fulgurances graphiques qui permettent à l'image d'être intéressante par moment.
Pas vraiment manqué, mais un peu trop timide, The Machine semble toutefois motivé par une jolie passion. On devine en effet une authentique envie de la part de James Caradog de communiquer à son tour, avec les moyens dont il dispose, les claques qu'il a reçu du prolifique monde littéraire de la science fiction. Peut être qu'il saura trouver encore plus de ressources pour faire de son prochain projet un film un peu plus solide afin d'aller enfin tutoyer les mastodontes du genre. Car c'est bien la faute aux Blade Runner ou AI, dont l'imagerie et la philosophie sont si maîtrisés, qu'un film comme The Machine, comme ça avait été le cas pour le fébrile Eva, ne semble qu'effleurer son pourtant si vaste sujet.
Pas vraiment manqué, mais un peu trop timide, The Machine semble toutefois motivé par une jolie passion. On devine en effet une authentique envie de la part de James Caradog de communiquer à son tour, avec les moyens dont il dispose, les claques qu'il a reçu du prolifique monde littéraire de la science fiction. Peut être qu'il saura trouver encore plus de ressources pour faire de son prochain projet un film un peu plus solide afin d'aller enfin tutoyer les mastodontes du genre. Car c'est bien la faute aux Blade Runner ou AI, dont l'imagerie et la philosophie sont si maîtrisés, qu'un film comme The Machine, comme ça avait été le cas pour le fébrile Eva, ne semble qu'effleurer son pourtant si vaste sujet.