par Dionycos » Ven 29 Aoû 2014, 09:05
Après une longue pause, je me suis remis à Mad Men avec la saison 2, terminée la semaine dernière (depuis, j’ai débuté la 3ème).
Cette deuxième saison était sans conteste supérieure à la première, qui restait trop froide et peu prenante à mon goût. Là, j’ai bien plus accroché, et notamment un épisode formidable, le 2.08 intitulé « A night to remember », qui traite avec brio de la place de la femme dans la société de l’époque. L’épisode traite à la fois de l’image de la femme dans la religion, dans le monde du travail et dans la vie de couple, respectivement à travers Peggy, Joan et Betty, probablement mes trois personnages préférés de la série.
Et oui, pas de Don Draper dans ma liste, qui est probablement le personnage que j’apprécie le moins… Là où beaucoup le trouvent fascinant, je le trouve juste agaçant. Rien à faire, je ne parviens pas à m’intéresser à ce type, ni à son mystère autour de son identité. Du coup, les quelques épisodes qui se passent hors bureau et qui se focalisent sur lui, j’ai beaucoup de mal (notamment un épisode assez casse couille en Californie sur la fin de saison).
En fait, j’aime Mad Men pour les personnages féminins (et tout ce que la série raconte sur la femme), et pour tout ce qui concerne les affaires de Sterling & Cooper. Le tout début de saison avec l’affaire American Airline, c’était génial. Adoré également le développement du service TV.
Mais rien à faire, au bout de deux saisons, ça coince toujours autant sur Don. J’aime pas ce type, j’aime pas ses choix, j’aime pas son comportement, sa vie privée, avec ses nombreuses conquêtes, ne m’intéresse pas, tout comme son passé. Bref, c’est pour ça que même si j’aime cette série, je suis encore loin de l’adorer. C’est dur de se passionner pour un show dont on se fiche du personnage principal.
Sinon, j’ai commencé la saison 3 (vu 3 épisodes), et passé un formidable season premiere, c’est assez mou. L’épisode 3 était assez pénible d’ailleurs, car hors bureau. Mais j’ai lu que cette saison démarre doucement et monte en puissance jusqu’à la fin. Je verrai bien.
Homeward bound. I wish I was