[Mark Chopper] Mes critiques en 2014

[Mark Chopper]

:mrgreen: Je le trashe pas non plus, mais bon, j'ai toujours eu du mal avec les gunfight où les mecs évitent toutes les balles ^^

[osorojo]

Ue voila, Néo je le tolère dans son environnement, quand il en sort, il me fait soupirer

[Dunandan]

Bah moi je trouve ça cool . Par contre ils n'évitent pas toutes les balles, mais ils encaissent bien, nuance.

[Mark Chopper]

Par contre, les mecs qui évitent les balles se la pètent toujours un peu trop.

[osorojo]

Bah moi je trouve ça cool . Par contre ils n'évitent pas toutes les balles, mais ils encaissent bien, nuance.

Ue fin qunad tu prends 1 balle alors que 30 mecs armés d'uzis te tirent dessus, t'amadoues l'esprit sain autant que tu encaisses hein

[Dunandan]

Ben je crois qu'il y a que dans les films de Woo (à l'époque en tous cas) où je voyais les mecs avec des vêtements tout tremp' de ketchup

Edit : je prends des notes pour ce Masato Harada qui est apparemment un autre nom à retenir dans le genre (au moins pour 3 films, avec Kamikaze Taxi et Bounce Ko Gals - j'ai fureté un peu partout pour recueillir ces infos -).

[Waylander]

Cette obsession pour les bridés....Aurais-tu viré philosushite ?!

[Dunandan]

J'aimerais rire mais je n'ai pas compris la chute de ta blague .

[Waylander]

Mark aime le Japon et regarde pas mal de films asiatiques : du coup j'ai joué mon psychologue et j'ai repris le terme "philosémite" pour philosushite (sushi = Japon). Le premier qui me sort "blague raciste" je le flingue.

[Mark Chopper]

Je n'aime pas les sushis.

je prends des notes pour ce Masato Harada qui est apparemment un autre nom à retenir dans le genre (au moins pour 3 films, avec Kamikaze Taxi et Bounce Ko Gals - j'ai fureté un peu partout pour recueillir ces infos -).

J'ai un ticket albanais pour Bounce Ko Gals si tu veux.

[Dunandan]

Oui, je veux bien

Je l'ai repéré pour pas trop cher, mais bon fo que j'arrête un peu maintenant ...

[Mark Chopper]

August in the Water, de Gakuryû (Sogo) Ishii (1995)

Mouais, rien à faire en ce qui me concerne... August in the Water me confirme que la période dite "psychédélique" de Sogo Ishii ne me touche pas. J'y ai cru pendant quarante minutes environ, lorsqu'il tenait de la chronique adolescente, puis le film est devenu un trip new age quelque peu autiste, dans la lignée de son court-métrage The Master of Shiatsu (visible ici), avec l'histoire de cette jeune fille qui, sortie du coma après un accident, parvient à communiquer avec la nature alors qu'un inexplicable virus fait rage dans une ville.

Alors oui, formellement, ça bute (on est loin du renoncement esthétique que constitue l'atroce Isn't Anyone Alive? sorti en 2012). Visuellement inspiré, gros travail sur le son. Des jeunes acteurs épatants aussi. Je peux comprendre que certains se laissent bercer / fasciner. Mais, pour ma part, je regarde ça avec un ennui poli, en jetant souvent un oeil au compteur de mon lecteur blu-ray.

Pas pour moi, tout simplement. Electric Dragon 80.000 V mis à part (à voir impérativement), le Sogo Ishii qui m'intéresse n'a plus fait de film depuis The Crazy Family (en 1984, tout de même).

Aucun référencement demandé, car il m'est tout simplement impossible de poser une note, de rationaliser en quelque sorte un trip dans lequel je ne suis pas rentré.

[Dunandan]

Bah c'est dommage car d'habitude tu références bien les trips auxquels tu es laissé de marbre, mais faut croire qu'il y en a plus difficiles d'accès que d'autres. Bon au moins ça me rappelle la présence d'un film indispensable ^^.

[Mark Chopper]

Girl Boss Revenge, de Norifumi Suzuki (1973)

L'histoire : Plusieurs délinquantes parviennent à échapper aux forces de police au cours de leur transfert dans un centre de détention. Elles se rendent ensuite à Osaka et se retrouvent confrontées à des yakuzas...

Voici le quatrième film de la franchise Girl Boss / Sukeban. Dernière participation de Norifumi Suzuki, il met de nouveau en vedette Miki Sugimoto et Reiko Ike. Sa particularité est d'abandonner l'humour qui était, jusqu'ici, l'un des traits marquants de la série, et de se révéler beaucoup plus sombre et violent. Ici, les hommes sont tous des raclures qui ne pensent qu'à trahir les femmes, à les exploiter, les frapper, les torturer, les violer, les faire tourner dans des films X vendus sous le manteau et/ou les prostituer. Les femmes, elles, comptent bien tout faire pour conserver leur indépendance et n'obéir qu'aux seules règles qu'elles se sont fixées : moins des règles à proprement parler qu'un nouveau code d'honneur, l'ancien étant tombé en désuétude du côté de la gent masculine.

Le ton sérieux de l'ensemble permet au film de gagner en profondeur comparé aux trois opus précédents et même de rendre l'habituelle histoire d'amour tragique assez touchante. Quant à Norifumi Suzuki, il se lâche (enfin) lors du final en mode ninkyo eiga, avec son décor pop qui rappelle les polars produits par la Nikkatsu au cours de la décennie précédente (les plus connus en France restant ceux réalisés par Seijun Suzuki), final qui voit toutes ces donzelles massacrer des yakuzas pour se venger. Pour le reste, pas de changement : de la nudité, des scènes de torture, un vent de liberté et un esthétique seventies comme je les aime tant, qui sublime les rues d'Osaka qui n'ont décidément pas attendu Ridley Scott et son Black Rain pour révéler leur cinégénie.

Malgré tout, quelques problèmes de rythme et, surtout, un côté répétitif (la saga suit d'un épisode à l'autre le même cahier des charges, avec peu de variations) ne permettent pas à Girl Boss Revenge de se hisser au rang des plus grandes réussites de la pinky violence.

Note : 6,5/10

[angel.heart]

Roh, tu déconnes ! Si peu d'écart dans les notes entre celui-ci et les ( franchement dispensables ) premiers volets !...

Sérieux, ça vaut bien plus que certains pinky auxquels tu as mis la même note.

J'ai l'impression que pour le Pinky on a pas vraiment les mêmes goûts et préférences...