[angel.heart] Mes critiques en 2014

[angel.heart]

Yep, Vampire girl Vs. Frankenstein girl est bien fun. Et Machine girl est bien cool également.

Je n'ai pas encore reçu mon coffret contenant Helldriver mais je visionne ça dès réception.

Mutant girls squad et Zombie ass me font de l'oeil également. J'attends de les trouver à bons prix.

Pour le moment Gothic & Lolita Psycho est mon préféré du lot.

[angel.heart]

RoboGeisha - Noboru Iguchi

Ouais bah c'est pas terrible.
Le gros problème c'est que, en plus d'être totalement inconsistant, assez pauvre sur le plan technique ( c'est mal filmé et mal monté ), agaçant dans le jeux des acteurs et rarement drôle dans ses gags, c'est assez mal rythmé et étonnement avare en fight ( le long flashback, qui prend bien son temps à nous expliquer des origines dont on se fout royalement, est par moments assez pénible ). Certes, quelques séquences amusent gentiment ( la geisha-tank qui file à toute vitesse sur une variante du thème de Poledouris pour Robocop, le coup du sabre dans le cul, les coups des sabres qui sortent des culs, le final en mode Kaiju eiga... ) mais les nombreux défauts cités plus haut font que l'ensemble agace bien plus qu'il ne divertit.

4/10

[Dunandan]

Bon heureusement qu'il y a au moins trois autres bons films dans le coffret. Mais je serais bien capable de mettre (juste) la moyenne à celui-là, Wait & see .

[Dunandan]

Bons baisers de Pékin - Stephen Chow

Le meilleur James Bond-like que j'ai pu voir à ce jour. C'est mortel !

Bien évidement, le film vaut essentiellement pour la performance de Stephen Chow, comme toujours, en très grande forme, le mec sort ( et fait ) connerie sur connerie, c'est à se pisser dessus de bout en bout, mais s'apprécie également en tant que bobine d'exploitation, parfois bien nerveuse, où le sang coule quand-même pas mal et les civiles innocents sont régulièrement victimes de balles perdues.
D'ailleurs j'aime particulièrement la première scène où le perso de 007 doit affronter l'ennemi. On est dans l'action, le perso, qui jusqu'à présent nous a été présenté comme un bon gros incompétent, s'apprête à sortir les armes, on se dire alors que ça va être folklo... Et là, un petit flashback nous fait revivre une scène passée mais sous un angle différent, laquelle apporte finalement crédibilité à ses compétences d'espion, ce qui se confirmera très rapidement... La construction de la scène est assez classe, je trouve, le film étant particulièrement habile pour, dans ses ruptures de ton, jongler entre le sérieux et le loufoque. Sinon, bien évidemment le scénar ne vol pas bien haut, l'intrigue en elle-même n'étant pas des plus intéressante, mais le très bon rythme, laissant peu d'espace entre les rires du spectateur, fait sans problème passer la pilule.

8,5/10

[angel.heart]

Bon heureusement qu'il y a au moins trois autres bons films dans le coffret. Mais je serais bien capable de mettre (juste) la moyenne à celui-là, Wait & see .

Oui, dans le pire des cas, 3 films sont à sauver.

Je me fait HellDriver dans la semaine.

[Mark Chopper]

Vu Love on Delivery aujourd'hui, le premier film réalisé par Stephen Chow, c'est à pleurer par moments

[angel.heart]

Roh putain, j'étais déjà mort de rire au bout de 6 secondes...

Vais voir si j'arrive à choper ça...

[angel.heart]

Yakuza Weapon - Yudai Yamaguchi, Tak Sakaguchi ( 2011 )

C'est très mauvais et, contrairement à un Robogeisha qui, dans ses premières minutes, pouvait laisser espérer du bon, là c'est merdique d'entrée de jeux et ça sera constant dans la médiocrité durant les 1h40 de film, semblant en durer le double...
Le rôle principal est tenu par Tak Sakaguchi ( également co-scénaristes et co-réalisateur du film, autant dire qu'il n'y a pas de quoi se la péter... ), s'il m'est arrivé par le passé de trouver cet acteur relativement classe dans certains rôles ( celui de Versus en tête... ), j'avoue l'avoir trouvé ici totalement nul à chier, tendance insupportable ( ça ne me donne pas envi de revoir les Kitamura... ). Sans déconner, ce mec est nul, mais au moins il ne fait pas tâche dans décor, le reste du casting étant tout aussi insupportable que lui. Il est inutile de chercher la moindre consolation dans le scénario ( vraiment pénible à suivre ), le fun ( qui vire constamment au relou ) ou la mise en scène ( bien à la ramasse, proposant une caméra sans cesse en mouvement, comme si cela suffisait à la rendre ingénieuse, alors que celle-ci est incapable d'insuffler le moindre soupçon d'énergie à l'action... ), la qualité étant définitivement absente de ce métrage.

Une vraie merde !

1/10

[Dunandan]

Merci pour le crash-test, ça change de cet avis complètement opposé au tien (mais je pense qu'ils sont payés par les éditeurs, ce n'est pas possible autrement)

[Mark Chopper]

East Asia tu oublies... De manière générale.

J'ai eu une prise de tête avec eux sur Mad d'ailleurs (ils ont leur part je crois dans ce coffret, en tout cas ils rédigent le livret).

[angel.heart]

Ouais, j'ai lu cet avis ( qui a hautement contribué à me faire acheter cette daube )

De toute façon, avec le genre il est très difficile de ce faire un avis en cherchant des critiques sur le net. Il y en aura toujours pour crier au super plaisir coupable, même devant la pire des merdes. ( et pas que chez East Asia... )

[Mark Chopper]

Il y en aura toujours pour crier au super plaisir coupable, même devant la pire des merdes.

[angel.heart]

On est bien d'accord...

[zack_]

Ton enthousiasme pour le Chow me donne envie, allez je vais me le prendre

[angel.heart]

Les anges gardiens - Richard Rush ( 1974 )

L'odeur du bitume, les courses poursuites en bagnoles, nerveuses et destructrices, les personnages de flics aux méthodes plus que douteuses... Pas de doute, on est bien dans le polar urbain des 70's, dont la grande originalité est d'annoncer le Buddy movie tel qu'il se pratiquera en masse dans les 2 décennies suivantes. Malgré une légère tendance à surligner parfois un peu trop quelques notes d'humour, le duo Caan/Arkin fonctionne super bien, tant dans l'action que dans les quelques incursions dans leurs intimités. Drôle, complémentaire et adepte de la punchline qui bute ( les dialogues préfigurant ceux d'un certain Shane Black... ), celui-ci assure sans problème le show durant les 1h50 d'un métrage dont une des principales forces est d'arriver à maintenir sans cesse l'équilibre entre le brut de décoffrage, typiquement 70's, et la décontraction.

Une bien belle réussite, injustement méconnue !

8/10