Modérateur: Alegas
Les dernières productions franchouilles dont se gargarisent les petits thuriféraires de la subvention (Holy Motors, Après Mai, Camille redouble par exemple) et dont personne n’a entendu parler dès qu’on s’écarte un tout petit peu du milieu franco-français du cinéma, qui ne laisseront aucune trace dans la mémoire de personne, ces productions sont l’exemple type de cette « exception culturelle française » pourrie : on a soit des grosses productions consternantes de médiocrité (avec 1 ou 2 exceptions par an, ratio ridicule lié au hasard), soit des micro-productions chiantes comme la pluie à Dunkerque un mardi midi de février. Il n’y a plus rien au milieu.
francesco34 a écrit:Faut pas déconner quand même, y'a plein de films français qui restent ancrés dans les mémoires, dans le patrimoine, et même chez les cinéastes étrangers.
francesco34 a écrit:On s'exporte pas très bien, et alors? A part les Américains qui a un cinéma national destiné à l'export??? Tous les autres pays produisent avant tout pour leur marché national et leur propre culture
Mark Chopper a écrit:Elle commence à paraître loin cette époque, non ? Allons-y, depuis 2000, combien de vrais grands films ? Combien resteront ? Combien finiront projetés à la Cinémathèque ou édités par Criterion en somme ?
Mark Chopper a écrit:Ces derniers temps, j'ai maté du Carné, du Renoir, des polars avec Gabin et Ventura... Bah putain, ça c'était du cinéma. Rien que visuellement, ça en jetait.
Tarankita a écrit:La mise en scène: c'est affligeant: souvent caméra fixe, pas d'effet, pas de style.
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