On a beau dire que pendant la crise, le peuple se rend dans les salles obscures, le cinéma subit bien celle qu'on ne nomme plus. En tout cas, les réductions de budgets sont évidentes. Et les délocalisations se multiplient dans l'industrie hollywoodienne. C'est le phénomène qui a touché Barbarella et a fait partir Rodriguez du projet, c'est celui qui touche à présent Bioshock - The Movie et qui pourrait bien faire fuir Gore Verbinski.
Alors que l'on vient d'annoncer Wentworth Miller comme vraisemblable héros, le réalisateur des Pirates des Caraïbes prévient qu'il n'est plus sûr de tenir la barre. Il a pourtant refusé le quatrième volet de la franchise pour ce projet.
"Le point crucial est que ça doit être tourné en dehors des Etats-Unis pour des raisons de budgets et cela pourrait coincer avec mon emploi du temps, explique Verbinski. Il y a un scénario génial et une distribution très intéressante. Tout vient du modèle financier maintenant. On ne peut tout simplement plus tourner de gros films aux Etats-Unis. Je suis en train de voir si je peux me rendre en Grande-Bretagne, en Australie ou un de ces autres pays où les taxes sont moins élevées pour un an et demi."
La crise va devenir la conjoncture idéale pour les petits réalisateurs qui veulent faire leurs preuves à force d'enlever les projets des mains de ceux dont le talent est reconnu.
Alors que l'on vient d'annoncer Wentworth Miller comme vraisemblable héros, le réalisateur des Pirates des Caraïbes prévient qu'il n'est plus sûr de tenir la barre. Il a pourtant refusé le quatrième volet de la franchise pour ce projet.
"Le point crucial est que ça doit être tourné en dehors des Etats-Unis pour des raisons de budgets et cela pourrait coincer avec mon emploi du temps, explique Verbinski. Il y a un scénario génial et une distribution très intéressante. Tout vient du modèle financier maintenant. On ne peut tout simplement plus tourner de gros films aux Etats-Unis. Je suis en train de voir si je peux me rendre en Grande-Bretagne, en Australie ou un de ces autres pays où les taxes sont moins élevées pour un an et demi."
La crise va devenir la conjoncture idéale pour les petits réalisateurs qui veulent faire leurs preuves à force d'enlever les projets des mains de ceux dont le talent est reconnu.
source: dvdrama