par Eikichi Onizuka » Ven 03 Jan 2014, 00:49
Ben dès qu'il file au Groenland c'est le début du road trip, y'a une pause rapide et il repart. Selon moi, ça fait bien la bonne moitié du film. Le coté libérateur je l'ai ressenti. Ces espaces quasi vierges, purs, bruts, immenses ou l'homme n'a pas sa place et si il l'a, c'est sur une infime parti du territoire. Walter se trouve (sur place et lui même) dans un univers si différent de NY. C'est pas Into The Wild non plus. La partie NY je comprends qu'on ne puisse pas aimer (la romance, on pouvait pas y passer de toute façon), mais ça pause la base du personnage et ça permet à Ben Stiller de faire quelque chose de fun avec ses "absences".