|La coupe du monde| des filmographies

[zack_]

Oulà je vote pas je connais pas assez son cinéma

[maltese]

1. Il était une fois en Amérique

Le mettre en gros lui rapportera pas plus de points!

Il le mériterait pourtant.

[puta madre]

Oulà je vote pas je connais pas assez son cinéma

Grosse, grosse lacune, mon cher zack

1. Il était une fois en Amérique

Le mettre en gros lui rapportera pas plus de points!

Il le mériterait pourtant.

Un grand film, en effet, mais je lui préfère Le bon, la brute... et Il était une fois dans l'Ouest.

Mon classement:
1. Le Bon, la Brute et le Truand
2. Il était une fois dans l'Ouest
3. Il était une fois en Amérique
4. Et pour quelques dollars de plus
5. Il était une fois la révolution
6. Pour une poignée de dollars
7. Le Colosse de Rhodes

[zack_]

Je sais, mais c'est surtout le genre qui me botte pas, même si j'en ai trois sous le coude.
Sinon c'est pour pour ton message

[puta madre]

C'est dommage que tu fasses un blocage à cause du genre, parce que Leone, c'est quand même du Cinéma avec un grand C.
Et merci, pour le message.

[osorojo]

Bon je joue parce que c'est aux membres de contribuer à la bonne ambiance. Et que j'aime Sergio en plus.

1. Le Bon, la Brute et le Truand
2. Il était une fois en Amérique
3. Il était une fois dans l'Ouest

4. Pour une poignée de dollars
5. Et pour quelques dollars de plus
6. Il était une fois la révolution

Bon je me rends compte qu'il est temps de me faire un cycle parce que j'ai peu de souvenir des 4 derniers finalement

Pas vu le mec de Rhodes ^^

[Dunandan]

1 - Il était une fois dans l'ouest : selon moi le plus maîtrisé le plus formellement, et aussi peut-être son plus beau film et le plus touchant (et quel magnifique portrait de la femme). Aucune scène est de trop malgré sa longueur (à cause de laquelle j'ai dû apprendre à l'apprécier, puis à l'adorer). L'un des mes 10 films préférés, assurément.

2 - Le bon, la brute, et le truand : son film spaghetti le plus abouti. Chacun de ses trois personnages sont excellents, et les répliques en VF sont tordantes. Vraiment un film que j'ai toujours adoré et qui m'a fait aimer le western bien avant le western classique.

3 - Il était une fois l'Amérique : un film que je redécouvre à chaque fois, et sûrement son oeuvre la plus ambitieuse. Il y a juste le dernier acte que j'apprécie un peu moins à cause des moumoutes affreuses des deux acteurs principaux (c'était bien fait pour l'époque mais à chaque fois ça tique chez moi).

4 - Et pour quelques dollars de plus. Très bon avec Volonté et sa boite à musique, et Van Cleef. Avec Clint en plus, quel casting de fou au charisme de malade. Pas aussi bon que sa suite mais très plaisant quand même.

5 - Pour une poignée de dollars. Un remake éhonté du film de Kurosawa (Yojimbo) mais réussi. Le style est déjà là, malgré quelques emprunts au niveau de la forme, et un fond qui diffère peu. Mais le ton spaghetti est bien sûr très présent. Le meilleur est à venir.

Me reste à voir Il était une fois la révolution, et so j'ai un moment de libre, je me tenterai "Le colosse de Rhodes" en mode "Angel/découverte de curiosités"

(Edit : puis j'oubliais, avant la mise en scène, le casting, et l'écriture des personnages, c'est la musique de Morricone qui m'a accroché aux films de Leone, comme le fut Hisaishi pour l'oeuvre de Kitano)

[puta madre]

Le Colosse de Rhodes, c'est très sympa dans le genre péplum italien, même si évidemment inférieur aux oeuvres ultérieures du cinéaste.

(Edit : puis j'oubliais, avant la mise en scène, le casting, et l'écriture des personnages, c'est la musique de Morricone qui m'a accroché aux films de Leone, comme le fut Hisaishi pour l'oeuvre de Kitano)

C'est vrai que l'identité du cinéma de Leone passe également par la musique de Morricone. La fusion image/musique aura rarement été aussi parfaite qu'avec leur collaboration. A se demander si le cinéma de Leone aurait été aussi puissant s'il n'avait pas croisé le chemin de ce compositeur...

[pabelbaba]

On peut dire la même chose de ses castings. Tu mets quelqu'un d'autre à la place de Clint, Volonte ou Wallach, ses premiers westerns n'auraient jamais été aussi réussis.

[Mark Chopper]

Pas de classement pour moi, je n'ai pas vu ses films depuis mes années d'étudiant...

[maltese]

C'est vrai que l'identité du cinéma de Leone passe également par la musique de Morricone. La fusion image/musique aura rarement été aussi parfaite qu'avec leur collaboration. A se demander si le cinéma de Leone aurait été aussi puissant s'il n'avait pas croisé le chemin de ce compositeur...

Finalement, il y a pas mal de réalisateurs pour lesquels on peut dire ça. On a souvent tendance à réduire le succès d'un film à son metteur en scène, mais effectivement, imaginer Star Wars ou toute la filmographie de Spielberg sans la musique de John Williams, les films des Coen sans la musique étrange de Carter Burwell, Leone sans Morricone, ça change déjà beaucoup. D'ailleurs le dernier Coen s'est fait sans Burwell et comme par hasard c'est un de leurs films les plus "'singuliers". Et encore, là, on ne parle que de musique, mais un film, c'est un tout, c'est clair.

[zack_]

Pas de classement pour moi, je n'ai pas vu ses films depuis mes années d'étudiant...

Ca sent le challenge à venir! Il me faut ça pour me booster

[puta madre]

C'est vrai que l'identité du cinéma de Leone passe également par la musique de Morricone. La fusion image/musique aura rarement été aussi parfaite qu'avec leur collaboration. A se demander si le cinéma de Leone aurait été aussi puissant s'il n'avait pas croisé le chemin de ce compositeur...

Finalement, il y a pas mal de réalisateurs pour lesquels on peut dire ça. On a souvent tendance à réduire le succès d'un film à son metteur en scène, mais effectivement, imaginer Star Wars ou toute la filmographie de Spielberg sans la musique de John Williams, les films des Coen sans la musique étrange de Carter Burwell, Leone sans Morricone, ça change déjà beaucoup.

C'est clair que ces films auraient perdu beaucoup sans la participation de ces compositeurs tant les musiques de Williams pour Spielberg et Lucas ou Morricone pour Leone "élèvent" les films qu'elles illustrent. Quand on pense à ces films, on pense autant à certaines images ou personnages qu'à leur musique.

On peut dire la même chose de ses castings. Tu mets quelqu'un d'autre à la place de Clint, Volonte ou Wallach, ses premiers westerns n'auraient jamais été aussi réussis.

Les films de Leone n'auraient, effectivement, pas été les mêmes sans les Estwood, Van Cleef, etc., mais sans vouloir minorer leur apport, je ne place pas leur participation au même niveau qu'un Morricone. Leone pensait sa mise en scène en fonction de la musique de Morricone, dont les thèmes étaient composés avant le tournage et qu'il faisait diffuser sur le plateau. C'est pour ça que je la considère comme un élément primordial de la mise en scène de Leone, avant même les acteurs.

[Alegas]

1- Il était une fois dans l'Ouest (Once Upon a Time in the West -- C'era una volta il West)
2- Il était une fois en Amérique (Once Upon a Time in America)
3- Le Bon, la Brute et le Truand (Il buono, il brutto, il cattivo)
4- Pour une poignée de dollars (Per un pugno di dollari)

[Waylander]

1965 : Et pour quelques dollars de plus
1971 : Il était une fois la révolution
1968 : Il était une fois dans l'Ouest
1984 : Il était une fois en Amérique
1966 : Le Bon, la Brute et le Truand
1964 : Pour une poignée de dollars