[puta madre] Mes Critiques en 2013

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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Jeu 05 Déc 2013, 13:32

Quand on met la moyenne à Insaississable on peut pas parler d'exigence.
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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar puta madre » Jeu 05 Déc 2013, 15:35

On a tous nos moments de faiblesse...un peu comme toi avec L'Agence! :eheh:
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After hours - 6,5/10

Messagepar puta madre » Jeu 12 Déc 2013, 15:42

After Hours

Réalisé par: Martin Scorsese
1985

Résumé: Les aventures nocturnes d’un informaticien perdu dans le quartier de Soho…

6,5/10
pancarte_haut
SPOILERS
pancarte

Un Scorsese auquel je n’accroche pas outre-mesure.
J'aime beaucoup le concept de ce type ordinaire qui va vivre un véritable cauchemar éveillé alors qu’il voulait uniquement passer une nuit en agréable compagnie, mais le film ne m'a pas fait ressentir la descente aux enfers de son personnage.

After Hours apporte régulièrement la preuve de la maîtrise par Scorsese du medium cinéma. Lors de l’introduction, il lui faut juste deux minutes pour nous dire tout ce qu’il y a à savoir sur son personnage principal: les plans subjectifs de Paul (Griffin Dunne) observant ses collègues alors qu'on lui parle et celui le montrant devant l'immense grille à l'extérieur de son bureau avec du Bach en fond sonore nous révèlent son inadéquation dans son milieu professionnel et sa solitude dans le privé. Scorsese filme ça avec une concision qui force le respect.
Le film est émaillé de mouvements de caméra ou de plans qui viennent appuyer les sentiments ou les sensations de son protagoniste, notamment les nombreux travellings rapides ou travellings circulaires qui accentuent l’aspect insolite de la plupart des situations.
Le réalisateur utilise parfois sa mise en scène pour nous leurrer, comme avec le plan de Paul en train de masser Kiki, pendant lequel on croit que Kiki s'abandonne lascivement à lui, alors qu’en fait elle est en train de s'endormir en écoutant l'histoire qu'il lui raconte.
La façon dont il filme Soho la nuit, on s'y croirait.

La BO, qui marie Bach et musique punk n'est pas la plus spectaculaire de sa filmographie, mais j'aime beaucoup l'utilisation de la chanson pendant la scène de danse entre Griffin Dunne et Vera Bloom, qui renforce l'aspect tendre et apaisant de cette scène et qui contraste avec les événements délirants du reste de cette soirée.

Le film contient un bon nombre d’idées farfelues: le dialogue avec le videur de la boîte de nuit (apparemment tiré de Kafka), l’échange avec le caissier du métro, les pièges à rats disposés autour lit Teri Garr, l’écriteau "Dead person" que Paul accroche pour indiquer la présence du corps de Marcy, la description de la foule qui va casser du criminel, Teri Garr qui conduit un camion de glaces, le type moustachu qui croit que Paul veut coucher avec lui alors qu'il veut simplement utiliser son téléphone…

Griffin Dunne est parfait dans son rôle de monsieur-tout-le-monde, restituant à la fois sa solitude, son côté sympa mais aussi sa goujaterie, par exemple lorsqu'il abandonne Marcy parce qu'il croit qu'elle a le corps brûlé ou quand on le sent prêt à coucher avec la colocataire de Marcy alors qu'ils attendent cette dernière.
Comment interpréter le moment où, quand il retrouve le corps inanimé de Marcy, il veut vérifier s'il est brulé: simple curiosité? Veut-il savoir si la mort de Marcy a été précipitée par des présomptions erronées? Savoir s'il est passé d'un bon coup?
Ce personnage paraît assez imbu de lui-même car il est convaincu que la mort de Marcy a été provoquée uniquement par son comportement alors qu'il paraît évident que c’est une jeune femme psychologiquement perturbée.
Dunne est particulièrement drôle dans la scène où il raconte se déboires au moustachu. L’idée de le faire évoluer physiquement au fil du récit est bien vue: on le verra se dégrader progressivement pour finir complètement couvert de plâtre…à l’endroit exact où on l’avait rencontré pour la première fois!

Rosanna Arquette est, elle aussi, très bien, restituant à la fois la candeur, le sex appeal et le déséquilibre psychologique sous-jacent de Marcy. Elle s'en tire particulièrement bien dans la scène du diner où, en racontant sa nuit de noces, elle ne peut s'empêcher de répéter encore et encore la même phrase.
Je pourrais citer tous les acteurs tant le reste du casting ne démérite pas, campant pour la plupart des personnages secondaires hauts en couleur.

Malgré toutes ces qualités, After Hours n'a pas réussi à m'embarquer dans son délire. Les plans de Griffin Dunne en contre-plongée courant dans les rues, dans la dernière partie, sont symptomatiques: Scorsese arrive parfaitement à symboliser la folie à l'image, mais pas à la faire ressentir.
Contrairement à ce que j’ai pu lire sur le rythme du film, je ne l’ai pas trouvé si "speedé" que ça. Il prend quand même une petite heure à présenter ses multiples personnages et c'est à partir de ce moment là vraiment que le rythme va s'emballer.

Bien que satisfaisant à de nombreux égard (c'est sur ses petits films que Scorsese ose parfois le plus), After Hours n'atteint pas le niveau des meilleurs travaux du cinéaste et ne m'a que partiellement emballé.
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Messagepar angel.heart » Jeu 12 Déc 2013, 15:52

Je l'adore celui-la !

Et sa relecture française ( Grégoire Moulin contre l'humanité ) est franchement sympathique.
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Vendredi 13 VI : Jason le mort vivant - 6,5/10

Messagepar puta madre » Ven 13 Déc 2013, 09:41

Image Challenge critique de décembre Image

Vendredi 13 VI – Jason le mort-vivant

Titre original: Jason Lives: Friday the 13th Part VI
Réalisé par: Tom McLoughlin
1986

Résumé: Jason revient d'entre les morts...

6.5/10
Il était bien fun, ce Vendredi 13-là.
On sent la volonté du réalisateur-scénariste Tom McLoughlin de dynamiser la formule de la série en y injectant un maximum d'humour et en iconisant son boogeyman comme jamais auparavant.

Jason est présenté dès le prologue comme une machine à tuer indestructible: son look de mort-vivant est terrible et il est bien plus impressionnant que dans les films précédents. Il n'a jamais été aussi présent à l'écran et le réalisateur va chercher à l'iconiser dès que possible (cf. la parodie de la séquence du gunbarrel de James Bond, le plan où il se tient sur le camping-car renversé ou le plan sous-marin à la toute fin). Le film aligne les meurtres avec une régularité métronomique à peu près toutes les 5 minutes, le body count étant sûrement un des plus généreux jusqu'à présent.

L'ensemble baigne dans un second degré qui rend l'ensemble agréable à suivre, avec beaucoup d'humour que ce soit lors des meurtres (Jason qui transperce avec son bras le corps d'une victime pour en arracher le coeur, la décapitation de trois têtes d'un coup, le bras qui reste accroché à la machette) ou dans les dialogues: le "I've seen enough horror movies to know any weirdo wearing a mask is never friendly" prononcé par la directrice du camp ou les "we're dead meat" et "what were you gonna be when you grew up" échangés par deux gamins. Ce sixième volet se prend beaucoup moins au sérieux que les autres, et c'est tant mieux. Cela n'empêche pas le réalisateur de soigner ses séquences à suspense, avec quelques attaques de Jason qui m'ont fait sursauter.

McLoughlin a conconcté une véritable intrigue (une nouveauté pour la série), puisque parallèlement aux méfaits de Jason, on suit Tommy Jarvis dans sa traque du "monstre". On a même droit au crash d'un camping-car et à une mini poursuite en voitures. L'acteur interprétant Tommy est moins fade que l'interprète précédent. Jason trouve ici un nemesis à sa hauteur, une espèce de Baron Frankenstein qui va essayer d'alerter un shérif sceptique du danger qui menace la ville, ce qui apporte un peu de fraîcheur au schéma classique des Vendredi 13. Les personnages secondaires ont plus d'épaisseur qu'à l'accoutumée: Elisabeth "V" Cook amène un côté facétieux à son rôle de love interest et David Kagen incarne avec conviction son personnage de shérif.

L'ensemble avance à un bon rythme pendant la première heure, mais subit un gros coup de mou pendant le dernier tiers et le final sur un canot limite grandement les possibilités d'action. Parmi les qualités du film, on peut citer une photo soignée et une utilisation plus discrète et efficace de la musique de Harry Manfredini. La chanson du générique de fin interprétée par Alice Cooper est très sympa.

Malgré l'absence de continuité avec l'épisode précédent, ce sixième film s'avère emballant et constitue, après quatre films à la qualité toute relative, le meilleur épisode de la série.


EDIT: je viens de m'apercevoir que j'avais posté ma critique un...vendredi 13!!!
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Messagepar elpingos » Ven 13 Déc 2013, 09:56

puta madre a écrit:EDIT: je viens de m'apercevoir que j'avais posté ma critique un...vendredi 13!!!


Quel talent ... :super:
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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar puta madre » Ven 13 Déc 2013, 09:57

Même pas fait exprès! :mrgreen:
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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar padri18 » Ven 13 Déc 2013, 10:25

J'ai beau ne pas être très amateur des Vendredi 13, j'avoue que ta critique me donne bien envie (le screen a de la gueule en plus).
Je met ça dans ma watch list. :super:
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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar angel.heart » Ven 13 Déc 2013, 11:19

Celui-ci est un des meilleurs de la saga.

( quel exploit ! :mrgreen: )

( m'enfin moi je dis ça mais je les aime presque tous, pour différentes raisons... :oops: )
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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Ven 13 Déc 2013, 11:34

Je confirme, un des meilleurs.
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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar puta madre » Ven 13 Déc 2013, 12:58

@Padri: je ne suis pas non plus fan des Vendredi 13 (je crois qu'il faut les avoir découvert jeune pour les apprécier), mais celui ci vaut le coup d'oeil si, comme moi, tu apprécies les films d'horreur 80's ;)
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Wicker man (The) (1973) - 8/10

Messagepar puta madre » Lun 16 Déc 2013, 09:28

The Wicker Man

Réalisé par: Robin Hardy
1973

Résumé: Un policier se rend sur une île pour enquêter sur la disparition d’une jeune fille…

8/10
Avant d'être un film de Robin Hardy, The Wicker Man est surtout un scénario d'Anthony Schaffer, le scénariste de Frenzy d'Hitchcock et du Limier de Mankiewicz, dont on reconnaît ici le goût pour les faux-semblants, les machinations tortueuses et les fins-surprises.

Le sergent Howie (Edward Woodward) est envoyé sur l'île de Summerisle, au large des côtes écossaises, pour enquêter sur la disparition de la jeune Rowan Morrisson. Fervent Catholique, Howie découvre avec stupéfaction que les habitants de l'île célèbrent des rites païens ancestraux et que personne ne semble avoir jamais entendu parler de Rowan...

Curieux mélange d'énigme policière, d'horreur, de comédie musicale et d'érotisme, The Wicker Man va développer dans sa première partie une ambiance légère, à la photographie lumineuse, tout entière bâtie sur l'opposition entre les convictions religieuses de Howie et les coutumes locales. A Summerisle, les pratiques et rituels sont tous dédiés à la célébration de la sexualité: déniaisement de jeunes hommes par la fille du tenancier du pub, orgies nocturnes à ciel ouvert, saut de jeunes filles au-dessus de flammes pour favoriser la fertilité…

Or, Howie est un catholique bigot qui souhaite rester vierge jusqu’au mariage, et tout ce dont il est témoin sur l'île va à l’encontre de ses convictions profondes. Il faut le voir lorsqu’il découvre que l’enseignante apprend à une classe de jeunes filles la signification du mot phallus! Les réactions outragées du policier contrastent avec l’apparente innocence des habitants lorsqu’il les questionne sur leurs coutumes, qui leur paraissent le plus naturel au monde. Edward Woodward livre une excellente prestation: l'aspect intolérant, autoritaire et suffisant de son personnage s’oppose au caractère sympathique et enjoué de Lord Summerisle, interprété par Christopher Lee. Le policier est clairement décrit à son désavantage pendant toute une partie du métrage.
Il règne sur l’île une atmosphère festive, accentuée par l’utilisation de passages chantés entraînants (la scène du mât de mai) ou envoûtants (la scène de danse dénudée, où Howie doit résister au chant de la sirène Britt Eckland).

Petit à petit, des indices vont laisser apparaître que les habitants cachent un lourd secret. L'ambiance va s'assombrir, devenir plus angoissante, et ce qui paraissait joyeux et innocent va prendre une tournure inquiétante. On assiste alors à une inversion des rôles: l'attitude des insulaires va devenir suspecte tandis que l'on va s’identifier à Howie, dont la frustration et la soif de vérité devant le mur de silence auquel il est confronté vont aller croissantes. Le rythme assez lent jusque-là va s'accélérer pour nous conduire jusqu'au final.
Un final particulièrement pessimiste et cruel, qui va renvoyer dos à dos les deux religions présentées dans le film. Un final qui témoigne de la construction implacable du scénario de Schaffer, puisque les indices qui nous y auront conduits ont été disséminés tout au long du récit. Personnellement, il s'agit de l'une des fins les plus puissantes qu'il m'ait été donné de voir (même si son impact s'amoindrit à la troisième vision):
l'effroi ressenti par Howie lorsqu'il rencontre l'Homme d'Osier est parfaitement palpable et le sort peu enviable qui lui est réservé finit par consolider l'empathie que l’on a pour lui.
Le soleil couchant qui réapparaît dans l'ultime plan n'a rien de rassurant, le malaise des derniers instants étant encore bien prégnant, et c'est la gorge serrée que l’on regarde le générique de fin défiler à l'écran.

Un objet filmique singulier, à l'intrigue minutieusement construite, qui repose sur un équilibre fragile entre différents genres et dont la noirceur du final fait froid dans le dos. A voir de préférence dans sa version Director's cut qui replace les scènes dans le bon ordre et rend la narration plus fluide et cohérente.


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Maîtresses de Dracula (Les) - 8/10

Messagepar puta madre » Mar 17 Déc 2013, 08:37

Les Maîtresses de Dracula

Titre original: Brides of Dracula
Réalisé par: Terence Fisher
1960

Résumé: Dracula est mort, mais ses disciples rôdent toujours...

8/10
Un excellent Hammer Film.

Contrairement à ce que son titre laisse présager, il n’est ici nullement question de Dracula, puisque le film va s’attarder sur les méfaits d’un disciple du Prince des Ténèbres: le Baron Meinster, incarné par le blondinet David Peel. Un acteur qui déploie un charme suave dans les scènes de dialogue mais qui s'avère complètement figé lorsqu'il attaque ses victimes toutes canines dehors. Face à lui, un Peter Cushing impérial reprend le rôle de Van Helsing qu’il tenait déjà dans Le Cauchemar de Dracula. L’indispensable touche féminine est assurée par Yvonne Monlaur, qui s'acquitte bien de son rôle d'ingénue sans jamais tomber dans l'agaçant.

Le scénario adopte une structure atypique, puisque dans la première demi-heure, nous allons suivre la victime féminine potentielle plutôt que le héros incarné par Cushing. Une introduction qui permet de se plonger dans l’univers délicieusement rétro du film, entre villageois craintifs et jeune jouvencelle égarée dans la demeure du vampire, et qui va nous tromper sur l’identité du véritable méchant, Meinster étant tout d’abord décrit comme une créature pathétique soumise à la cruauté de sa mère.

Au terme de cette première demi-heure, Van Helsing va faire son apparition et le combat avec le vampire va véritablement commencer, dans une intrigue sans temps morts qui alterne passages obligés (les scènes de séduction, la résurrection/élimination d'une victime du vampire) et idées originales (Van Helsing qui se cautérise après avoir été mordu ou bien la manière dont il se débarrasse de Meinster).
Narrativement, le film n’est pas exempt de défauts: ainsi, on aperçoit au début un homme à l’apparence menaçante dont on n'entendra plus jamais parler par la suite, les maîtresses du titre sont trop peu mises en avant, notamment lors du final, pendant lequel elle restent spectatrices alors que leur maître se bat contre Van Helsing.

Des défauts somme toute mineurs, compensés par les qualités plastiques de l’œuvre. La réalisation de Fisher, dans le style des premiers Hammer, est tout simplement sublime, avec une très belle photographie et des associations de couleurs entre décors, costumes et éclairages qui flattent constamment la rétine. Techniquement, le film a admirablement bien vieilli, que ce soit au niveau des décors (le moulin où se déroule la conclusion est splendide et a sans aucun doute inspiré Tim Burton sur Sleepy Hollow), des effets spéciaux (mis à part une chauve-souris au rendu douteux) ou de la musique tonitruante de Malcolm Williamson.

Un film formellement superbe, entaché de quelques défauts d’écriture, mais qui s’avère bien supérieur aux "véritables" Dracula que la Hammer produira par la suite.
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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar angel.heart » Mar 17 Déc 2013, 13:52

puta madre a écrit:Un film formellement superbe, entaché de quelques défauts d’écriture, mais qui s’avère bien supérieur aux "véritables" Dracula que la Hammer produira par la suite.


Pas totalement d'accord avec ça. Dracula, prince des ténèbres étant selon moi le meilleur Dracula de la Hammer.

Mais pour le reste j'approuve cette critique, ainsi que celle de The Wicker Man. :super:
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Re: [puta madre] Mes Critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Mar 17 Déc 2013, 14:06

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Ah pardon, on parle d'un autre film ? :mrgreen:
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