Quelle tristesse cet OM-PSG. Pendant que les premiers sont tétanisés par le non événement (car ça n'en est plus un) malgré leur supériorité numérique et à domicile en plus, les seconds se permettent de jouer à 10 et de l'emporter tranquillement sans forcer leur talent. Le reflet inéluctable de la nouvelle Ligue 1 à deux vitesses. Paris et Monaco vont pouvoir jouer au chat et à la souris sans encombre à présent.
Ah oui, j'allais oublier Turpin, dans le genre arbitre de merde qui fait du zèle, il se pose là celui là...