jetblack a écrit:Pour les évadés de l'espace, il n'y a une deuxième version DVD disponible en france dans le coffret SanKuKai, le film contient la VO uniquement, et niveau de l'image c'est le dernier master japonais !
Merci de l'info !
jetblack a écrit:Pour les évadés de l'espace, il n'y a une deuxième version DVD disponible en france dans le coffret SanKuKai, le film contient la VO uniquement, et niveau de l'image c'est le dernier master japonais !
Jed Trigado a écrit:Période "Yakuza"
1968 : Kamikaze Club - 5/10
1969 : Le Caid de Yokohama - 7,5/10
1970 : Three Mad Dog Brothers - 7,5/10
1971 : Guerre des Gangs à Okinawa : 9/10 Le polar qui m'a fait aimer Fukasaku
1972 : Okita le Pourfendeur - 7,5/10
1972 : Under the Flag of Rising Sun - 9/10
1973 : Combat Sans Code d'Honneur - 7/10
1973 : Yakuza Papers : Deadly Fight in Hiroshima - 8/10
1973 : Yakuza Papers : Proxy War - 6/10
1974 : Yakuza Papers : Police Tactics - 7/10
1975 : Police contre Syndicat du Crime - 5/10
1975 : Le Cimetière de la Morale - 10/10 Son chef d'oeuvre ad vitam aeternam
1975 : New Battles Without Honor or Humanity - 7/10
1976 : New Battles Without Honor or Humanity 2 - 5,5/10
1976 : Tombe de Yakuza et Fleur de Gardénia - 4/10
1976 : Violent Panic ! The Big Crash - 8/10
1977 : Hokuriku Proxy War - 7/10
Période dite "commerciale"
1978 : Doberman Cop - 7/10
1978 : Le Shogun et le Samurai - 9/10 L'art et la manière d'utiliser son style nerveux pour apporter du neuf au chambara
1978 : Les Evadés de l'Espace - 2/10 Une horreur
1980 : Virus - 6/10
1981 : Samurai Reincarnation - 8,5/10 Un des meilleurs (seuls ?) chambara 80's
1982 : Fall Guy - 6/10 Une fausse comédie sur les coulisses du show-bizz assez bizarre mais dont la violence du ton m'a plu
1984 : La Légende des Huit Samourais - 6/10 Assez impersonnel et kitsch, mais ça se laisse voir si on est client de l’esthétique San Ku Kai
1986 : House on Fire - 8/10 Une petite perle qui offre l'un des meilleurs rôles de Ken Ogata !
1987 : Sure Death : Revenge - 6/10
1988 : Rage of Love - 3/10 Une boursouflure assez indigeste où Fukasaku marche sur les plates-bandes des fresques féministes de Hidéo Gosha, rien que ça.
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