C'est bon, tu loupes pas grand chose pour la suite du film
Par contre, mettre Iron Man 3 et Man of Steel dans le même panier, c'est très dangereux
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
bon, c'est pas difficile quand la compétition consiste en Iron Man 3 et Man of steel
Fais gaffe, tu vas te faire sabrer toi
SInon, j'suis deg, j'me suis fait jeter de la salle après 1h de film de ce wolverine, je reste bien sur ma faim du coup vu qu'elle était sympa cette première partie :/
J'avoue avoir fait un peu de provoc facile mais qui traduit mon opinion sur ces deux films. Si tu t'étais fait jeter une demi-heure plus tard, t'avais aucun regret à avoir: la dernière demi-heure est très en deçà du reste.
Jack Spret a écrit:Par contre, mettre Iron Man 3 et Man of Steel dans le même panier, c'est très dangereux
Je suis loin d'être un spécialiste de Jerry Lewis, mais tu peux commencer avec l'excellent Le Tombeur de ces dames. Le titre est trompeur car, là où l'on pourrait s'attendre à l'histoire d'un pseudo Don Juan, le film suit un personnage incarné par Lewis qui travaille comme factotum dans une pension pour jeunes femmes. C'est un festival de gags quasi ininterrompu (le plus drôle étant celui que j'ai mis en extrait), où l'on se rend compte de tout ce que Jim Carrey doit à Lewis. Et, en plus, c'est super bien mis en scène, avec une façon de filmer un décor unique qui préfigure Wes Anderson (cf. image ci-dessous).
Sinon, Dr Jerry et mister Love est une valeur sûre. En duo avec Dean Martin, Arstistes et modèles est excellent et Un vrai cinglé de cinéma est très sympa (mon visionnage de ce dernier remonte à quelques années).
Ce week end, je devrais normalement aller voir Un galop du diable toujours en duo avec Martin.
Ce n'est pas un Don Juan dans le sens où on l'entend communément mais dans le fait qu'elle sont (ou tombent) toute son charme / humour d'où le titre...
en fait en ces temps reculés du cinéma, la pudeur est de mise et le burlesque et le vaudeville de bon goût, vive les années 60, et son talent pour l'improvisation derrière ou même devant la caméra avec des grimaces dont il a, seul, le secret. Il se déchainera chez les cinoques mais rien ne vaudra la valse des pantins avec un binome Scorsese / de Niro au top en plus. (11/10) l'humour prédomine mais Lewis n'est pas adepte de love story (à ce moment) et la délicatesse et l'espièglerie l'emporte, ce qui fera son succès.
Euh...oui. Faut surtout dire qu'une love story classique n'aurait pas collé avec l'image de grand gamin asexué que Lewis s'est forgé au cours de sa carrière: les love story sont donc chastes et l'objet de son affection une femme qui a un côté innocent, voire virginal. Mais il y a bien une love story dans chacun de ses films que j'ai vus jusqu'à présent.
Fais-moi plaisir est la preuve que la comédie est un genre exigeant qui n'est pas à la portée du premier venu... Le scénario, pas pire qu'un autre, aurait pu donner naissance à une bonne petite comédie s'il avait été traité convenablement. Mais, entre les mains de Emmanuel Mouret, on frise la catastrophe. Faisant office à la fois de réalisateur et d'interprète principal, il cumule les tares: en tant qu'acteur, il joue faux en arborant en permanence un air abasourdi; en tant que réalisateur, outre l'aspect téléfilmesque de l'oeuvre, il n'arrive jamais à lui imprimer aucun rythme. On s'ennuie donc ferme devant les 90 petites minutes que dure le film. A sauver tout de même: la prestation de Deborah François, mignonne tout plein, les plans fesses/boobs de Frédérique Bel et le retournement de situation final.