Le choix d’un titre est jamais anodin, il identifie un film en une phrase et le personnifie , et ici , clairement , « il était une fois dans l’ouest » a été conçue et nous renvoie a cette version mythologiser de l’ouest américain , on est pas dans un désire de description réaliste du tout , mais belle est bien dans un version fantasmer ou tout personnages est archétype et action emphatiser
C’est aussi un commentaire sur le western et même une célébration du genre en tant que tel , plein de références , de greatest hits , de réalisateurs phare … Ford , Stevens , Mann , high noon , searchers ect ect …
La conception d’il était une fois dans l’ouest est une toute différente bêtes que celle de la trilogie du dollars. La ou sa trilogie était construite autour d’un immense arc narratif fait de chasse au trésor , d’action , de trahison et rebondissement , de mercenaires cupide interférant avec la guerre civil en background , l’ultime western de Leone est lui bien plus simpliste et épurer , du moins en parlant purement du point de vue narration .
C’est donc tout simplement a propos de Jill ( cardinal ) , qui quitte sa vie de prostituer derrière elle et va marier le récemment veuf mcbain . Elle apprend a sont arriver que la famille a été massacrer pour laisse place au chemin de fer. Harmonica ( bronson ) lui est en chasse de Morton le boss du chemin de fer , et sont homme de mains , frank ( fonda ) , pour une vendetta personnel laisser mystérieuse par flashback . En périphérie de sa on a Cheyenne ( robards ) qui mène une troupe de bandit que frank a tenter de leur faire porter le chapeau pour le massacre des Mcbain . Bon , biensure le tout est un peu étoffer et personnifier par moult stratagème d’écriture et surtout idée formel , mais bien plus important que la narration , ici , c’est le style qui prime et prend les devants , faisant office de langage .
Apres 45 minutes , enfin les principaux protagoniste sont correctement et entièrement présenter , pendant lesquelles , dramatiquement parler , peut de chose se passe , change et évolue ( Bronson arrive en train , cardinal aussi , fonda tue les Mcbain , et robards boit du gin et se libère de ces menottes ) , et pourtant , tout hypnotise et chaque pièces se met lentement en place laissant entre apercevoir les enjeux communs .
La célèbre et au delà du tout perfectionnisme introduction du film est une extension de la création grandiose du style opter par leone pour sont final du bon et la brute , et ici ca ouvre sont film et finalement , tout le monde va plus ou moins se scruter de la même manière mais pendant toute la durer du film .
Alors oui c’est souvent taxer de western Opératique , leone lui-même préférait referez a sont film en tant que ballet avec la mort , tout cela montre bien l’orientation principalement artistique mit en avant sur la forme , et la volupté apporter au mouvement et ce partie pris aussi fou que merveilleux .
Il etait une fois dans l’ouest attire avant tout l’attention de plein gré sur ces artifice formel, et tout ça , pour mieux souligner sont appartenance a sont genre et donc on en revient a sa célébration du western .
Il n’y a aucun besoin narratif de faire traverser monument valley a claudia cardinal quand elle se rend a sweetwater ( une scène qui a coûter cher a la production mais que leone qualifiait de primordial , c’est dire ) , mais c’est la car ça représente ce que l’ouest était ( on revient au titre du film ) dans les film de john ford et c’était la volonté et vision de leone de la concrétiser a l’écran dans sont scope super mega widescreen et sa photographie divine .
Autre élément éloquent soulignant le choix de leone de monter et montrer des images avant tout hautement pictural et épurant le fond pour se concentrer sur sa mise en scène , c’est l’utilisation de la musique d’ennio morricone qui était tellement importante et central dans le récit , qu’elle fut composer en amont avant que n’importe quel images ne soit filmer , et qui était jouer sur le plateau pendant le tournage afin de chorégraphie de complexe mouvement de camera et cadrage se calant sur la musique elle-même comme architecture du montage !
Tout les perso sont donc des archétypes fantasmer , représentant un pan de la jeune histoire de l’ouest sauvage ( ben ouai , avant cela , c’était l’Amérique des natifs , les état unis , eux , ils avait quasiment aucune légende ni mythe ) qui a plus ou moins pris fin avec l’expansion du chemin de fer venant moderniser et acheminer plus de population , ce qui est donc bien souligner par le choix de faire de Morton le grand manitou diabolique qui est le bad guy du film .
Harmonica est tout aussi symbolique, la ou clint était appeler par diverse nom dans la trilogie , la , bronson est vraiment un man with no name ( a part les nom des victimes de frank qu’il citer , ce qui a aider a créer la théorie selon laquelle harmonica est mort , ou même la mort elle-même , venue juste pour chercher frank ) . Il survit après c’être fait tirer dessus a la gare et apparaît de façon surnaturel toujours dans le dos de ces ennemies au bon moment et intervient et entre dans des scènes ou il n’avait jamais été introduit ou attendue de façon logique.
Robards c’est le crassoux vagabond attachant récurrent de l’œuvre de Leone , il est le ugly au good qu’est bronson et le bad de fonda . Mais cardinal elle , elle est unique . la femme forte qui tient tête a l’ouest et ces mœurs , ces hommes sans loi , et pourtant , elle aussi n’est pas grande chose de plus que ce qu’évoque les quelque notes du thème « the whore with a heart of gold » .
Donc au final , les persos et le fond ne sont pas follement originaux , mais ici , tout est bien plus iconique , representatif et finalement percpicasse que n’importe ou ailleurs .
le background profondément classique américain et tempo poser du film , juxtaposer a une mise en scène et choix formel dépassent l’entendement , ainsi que toute l’irrévérence et la violence venu d’Italie éleve le film au rang de pièce intouchable et total de cinéma , et même si de nombreux très grand , voir immense western suivront ( clint , peckinpah et kevin ) , on a l’impression , ici , d’avoir été témoin du point final ou tout a ete dit avec la plus grande mæstria possible .