Revenu de Musilac !
J'ai pas fait la journée de Vendredi mais j'avais pas le choix sinon demain, j'allais au boulot en lunettes de soleil
C'est con parce que j'aurais bien maté Jamiroquai et revu The Hives.
Alors petit récap sur ce que j'ai pu voir avec mon entorse qui m'a empêché de jumper comme un taré:
Blondie: Putain, elle a pris un sacré coup de vieux et le lifting aide pas à la maintenir fraîche. En plus, elle était venue sans sa voix donc vraiment dommage que d'entendre ses chansons cultes dans de telles conditions
Michael Kiwanuka: Posé avec son petit bédo ou sa binouze, ça passe vraiment bien. Une sorte de Eric Clapton black mais sans le charisme.
Saez: Mis à part les 15 kilos en trop (j'ai eu du mal à le reconnaître
) et son manque cruel de motivation (il lisait les textes de ses paroles sur une feuille A4), il envoyait bien le bois quand il fallait et ça fait toujours plaiisir d'entendre ses textes anarchistes entouré de centaines de paumés.
C2C: Même si mater des DJ, c'est pas vraiment ma tasse de thé, le spectacle était au rendez-vous. Les jeux de lumière étaient excellents, les sons envoyaient grave, l'ambiance était présente (on se marchait littéralement dessus) et ils nous ont fait une petite
battle des familles bien stylée. Du lourd dans la programmation.
Thirty Second To Mars: Bon là on a à faire à du lourd, il rentre dans mon TOP 3 du festival. Jared Leto est un putain de show-man, un brin mégalo, mais qui assure le spectacle et joue avec son public entre chaque chanson. Très très bon !
Azealia Banks: Alors elle, je me demande comment elle a réussi à s'inscruster dans la programmation. C'est de la merd een conserve ! Du rap inintelligible couplé à de l'électro coincé entre les années 80 et le début des années 1990. Aucun investissement sur scène (elle est arrivée 10 minutes en retard et s'est barré 15 minutes avant la fin en se targuant d'un "Thank you" avant de se barrer fissa dans les coulisses). Une honte !
The Vaccines: Bon petit groupe qui dépote. Bien sympa à écouter en faisant le tour des stands du festival.
Stephan Eicher: Il aurait mieux fait de nous laisser déjeuner en paix...
Asaf Avidan: Encore peu sûr de sa présence scénique, Asaf envoie du très lourd et met tout le monde d'accord. C'est l'un des artistes les plus intéressants du festival en terme d'éclectisme et d'investissement.
Phoenix: Un groupe qui carbure au Diesel. Après un démarrage très lent (malgré 2 gros tubes en début de concert), ils ont pris un rythme de croisière pour enjsuite éclater tout sur leur passage. Spectacle sons et lumières, bain de foule du chanteur qui s'est laissé porter pendant un intermède musical de 15 minutes et qui est revenu vanné sur scène, bonnes vibes ! LE concert du festival (y'avait un monde de fou furieux)
Klaxons: Un groupe électro pop/rock qui est coincé dans plusieurs styles sans vraiment s'en sortir. Dommage car ils ont du potentiel en terme instrumental.
Paul Kalkbrenner: Beaucoup trop hardcore pour mes oreilles