[Mark Chopper] Mes critiques en 2013

[Mark Chopper]

Une vie sans rapport humain digne de ce nom ? Mais ce n'est pas une vie : c'est un échec.

[Waylander]

Dans ta conception de la vie et de l'homme.
Et l’écrivain tente justement de l'expliquer dans son œuvre voir même de souligner ses propres contradictions pour livrer un message inverse qui serais justement de "casser" sa façon de voir. Je ne sais pas je ne connais pas le livre mais voilà.

[Mark Chopper]

Eh bien si c'était le cas, ce livre serait toujours un échec à mes yeux.

[Killbush]

Mais que vaut la vie si on ne l'a partage pas avec les autres, et inversement ?

Vous avez 4 heures

[Mark Chopper]

4 heures, c'est la durée des deux Happy Feet pour en parler ?

[Waylander]

Mais que vaut la vie si on ne l'a partage pas avec les autres, et inversement ?

Ça vaut pas de ne pas se faire emmerder, de ne pas avoir tout le temps à se justifier de ses idées et de ses choix, d'éviter de s'attacher et d'en souffrir plus tard, d'éviter la trahison, d'éviter le conflit et les débats qui n'amènent à rien, d'éviter l'idéalisation de ses amis et d'en attendre beaucoup d'eux alors qu'ils ne nous doivent rien, d'éviter d'avoir à accepter et tolérer les avis des autres, d'éviter de trop se reposer sur les autres, d'éviter d'agir pour satisfaire les autres, d'éviter d'agir pour le regard des autres....

[Mark Chopper]

+

[Alegas]

Infernal Affairs II, d'Andrew Lau & Alan Mak (2003)

L'histoire : Celle-ci se déroule quelques années avant les événements évoqués dans Infernal Affairs. Suite à la mort d'un chef de triades, son fils lui succède et provoque certains bouleversements...

Avis express... Saluons le courage d'Andrew Lau & Alan Mak qui auraient pu, suite au succès du premier Infernal Affairs, se contenter de livrer une suite copier/coller, sans prise de risques. Mais non, ils ont accouché d'une préquelle, sans les acteurs principaux du précédent film. Au final, ce Infernal Affairs II préfigure beaucoup le travail accompli par Johnnie To sur le diptyque Election : à savoir présenter une succession à la tête d'une triade et nous faire comprendre son fonctionnement, ses évolutions... Et, à travers elles, celles connues par Hong Kong à la veille de la rétrocession. Malgré tout, ce long-métrage souffre rétrospectivement de la comparaison avec les chefs-d'oeuvre de To : moins bien rythmé (l'histoire n'est pas toujours passionnante) et surtout moins bien interprété. Passer d'interprètes talentueux et charismatiques comme Tony Leung Chiu-wai et Andy Lau à un flan comme Shawn Yue et surtout à cette tête de con d'Edison Chen, voilà une bien mauvaise idée. Et au risque de m'attirer le courroux de ses fans qui voient en lui l'un des meilleurs acteurs de HK, je ne trouve pas Francis Ng très convaincant dans son rôle de mafieux avec son allure de comptable et son sous-jeu à la Ryan Gosling. Finalement, les moments forts de cette préquelle sont ceux qui mettent en avant Eric Tsang (son meilleur rôle, et de loin) et Anthony Wong. A travers leurs parcours, leurs souffrances et les saloperies accomplies, ils livrent de grandes performances et font de ce long-métrage une réussite. Inférieur au premier volet à mes yeux, mais différent et intéressant.

Note : 7,5/10

[Scalp]

Et c'est moi l'aigri....

[Mark Chopper]

Tout le monde sait que tu surnotes un film HK une fois sur deux.

[Scalp]

Bein pas celui là !!!!!!!

[Mark Chopper]

Tout le monde met la même note à part toi, c'est la preuve (d'habitude, tu attribues la note inférieure).

Même Logan, alors qu'on dirait du Johnnie To.

[Scalp]

Preuve réfuté !!!!

[osorojo]

D'accord avec Mark Imagine Scalp, un 7.5 de Bisounours !!

[Scalp]

Je vous envoie mon avocat, il va vous dérouiller à coup d'argument d'irréfutable.