[Jack Spret] Mes critiques en 2013

[Jack Spret]

Ah bon ? J'ai du louper la scène post-générique où J.J. Abrams expliquait toutes les incohérences alors...

[caducia]

1) Y'a un mec dans un volcan ! >> je n'y connais pas grand chose à star trek mais Spock vient de Vulcain, y a peu etre un rapport ...sinon il a une belle combi qui doit le protéger.
2) Le bad guy est tellement intelligent qu'il se fait avoir de manière tellement bidon que ça me fait doucement sourire >> il se fait avoir exprès pour mettre ses amis encapsulés au meme endroit.
3) Kirk balance des patates au bad guy mais aucune marque n'est visible sur son visage.>> c'est un surhomme, normal !
4) Le directeur de Star Fleet téléporte sa fille dans son vaisseau alors que juste avant, ils disent que les boucliers les protègent de toute intrusion et de toute tentative de téléportation.> le bouclier s'est cassé entre temps.
5) J'en passe et des meilleures

je ne vois pas d'autres explications...

[Jack Spret]

Creux et indigne d'un Lumet, ce Morning After ne vaut que pour la prestation de son duo glamour Fonda/Bridges. Si les dialogues sont très bons, l'intrigue est molle et ne comporte que peu de sursauts policiers, se contentant de voguer tranquillement sur la romance qui s'installe entre les deux personnages, nous faisant presque oublier le cadavre à la mort suspecte qui ouvre l'introduction (la meilleure scène du film). Le côté 80's très prononcé dans les musiques et les décors aux couleurs criardes amène un soupçon de nostalgie mais le film ne se démarque jamais de tous les autres films noirs sortis à la même époque. Passable.

5/10

[Jack Spret]

1) Y'a un mec dans un volcan ! >> je n'y connais pas grand chose à star trek mais Spock vient de Vulcain, y a peu etre un rapport ...sinon il a une belle combi qui doit le protéger.
2) Le bad guy est tellement intelligent qu'il se fait avoir de manière tellement bidon que ça me fait doucement sourire >> il se fait avoir exprès pour mettre ses amis encapsulés au meme endroit.
3) Kirk balance des patates au bad guy mais aucune marque n'est visible sur son visage.>> c'est un surhomme, normal !
4) Le directeur de Star Fleet téléporte sa fille dans son vaisseau alors que juste avant, ils disent que les boucliers les protègent de toute intrusion et de toute tentative de téléportation.> le bouclier s'est cassé entre temps.
5) J'en passe et des meilleures

je ne vois pas d'autres explications...

1) Y'a un mec dans un volcan ! >> je n'y connais pas grand chose à star trek mais Spock vient de Vulcain, y a peu etre un rapport ...sinon il a une belle combi qui doit le protéger. >> les mecs se branlent devant les technologies de cryogénisation datant de 500 ans alors qu'il peuvent aller faire une rando dans un volcan en éruption ? Y'a un problème là !
2) Le bad guy est tellement intelligent qu'il se fait avoir de manière tellement bidon que ça me fait doucement sourire >> il se fait avoir exprès pour mettre ses amis encapsulés au meme endroit. >> Je parlais du moment où il téléporte toutes les torpilles dans le vaisseau de l'amiral
3) Kirk balance des patates au bad guy mais aucune marque n'est visible sur son visage.>> c'est un surhomme, normal ! >> quand Spock le marave à Londres, il a des traces sur le visage: il perd ses pouvoirs entre temps ?
4) Le directeur de Star Fleet téléporte sa fille dans son vaisseau alors que juste avant, ils disent que les boucliers les protègent de toute intrusion et de toute tentative de téléportation.> le bouclier s'est cassé entre temps. >> Pourquoi il ne scanne pas le vaisseau à la recherche de Kahn afin de le téléporter alors ?
5) J'en passe et des meilleures

[caducia]

pour la N°4, je pense que quand ils scannent ils ne détectent qu'une présence mais ne peuvent pas l'identifier donc il a besoin de connaitre la position précise de la personne en question pour la téléporter c'est pour ça que Kirk lui a menti avant.
pour le N°3, il a peut etre des traces à cause de la méga explosion du vaisseau...je n'ai pas fait gaffe.

[Jack Spret]

Premier vrai long métrage de Joe Dante, cette collaboration avec Roger Corman n'est pas uniquement synonyme de déception. En parodiant Les dents de la mer de Spielberg, ce dernier va s'enticher du tout jeune réalisateur et lui proposer ce qui sera son plus grand succès: Gremlins. Si Piranhas n'a pas de patte particulière, il permet déjà de se rendre compte que Dante a de l'humour et une envie d'en découdre avec l'autorité. Sous son sous-texte politique ridicule, il clame haut et fort un amour immodéré pour la comédie mâtinée d'horreur, sans arriver à rendre véritablement attachant ses personnages. Il faut aussi compter sur les débuts du magicien des effets spéciaux Rob Bottin qui voit son travail gâché par des plans qui ne mettent jamais en avant la menace. Se devant de mettre sa dose de sexe et violence, Dante nous gratifie d'une paire de plans boobs complètement gratuits, uniquement présents pour satisfaire au cahier des charges. Heureusement pour lui qu'on lui aura tout de même laissé sa chance grâce à cet essai.

4/10

[Scalp]

Oh putain j'avais mit la moyenne !!!

[angel.heart]

Moi j'aime bien. Plus que que Aja...

[Dunandan]

Adapter une légende chinoise séculaire sous forme de comédie fantastique, c'est bien. Mais pondre un film qui était déjà daté le jour de sa sortie, c'est mal. Lorsque le kitsch est utilisé à bon escient, il ne me pose aucun problèmes (il suffit de voir les De Palma pour s'en rendre compte). Derrière le côté opéra de Green Snake avec ces décors qui évoluent sans cesse comme sur une scène, on retrouve quelque chose de terriblement hermétique. J'avais l'impression de voir un nô tellement Tsui Hark livre un film dépouillé de toutes pistes artistiques pour les Européens que nous sommes. Je ne vais pas lui faire le procès de ne pas être un réalisateur nationaliste mais il est difficile d'entrer dans la psyché de ses personnages.

Cependant, c'est également ce côté spectacle du pauvre qui fait tout le charme du film. Hark fait preuve d'ingéniosité pour rendre son budget le plus conséquent possible par une économie de moyens qui font sourire, voire tout simplement rire. Les ballets aériens des acteurs sont rares mais suffisants pour me faire comprendre que j'ai vraiment du mal avec cette technique de mise en scène. Heureusement que les musiques sublimes sont là pour apporter de la force au film qui, ajouté à la beauté de ces deux interprètes féminins, parvient avec peine à se hisser dans mon estime.

Conte pour enfants constamment coincé entre drame et comédie, on aurait aimé pouvoir s'attacher davantage au moine en quête de perfection spirituelle ou au destin funeste du professeur, charmé par des serpents à forme humaine. Piochant dans divers mythologies pour finalement les survoler et rendre un final aux effets spéciaux atrocement ridicules, le mélange entre l'univers Bollywood (l'actrice dansant avec la danseuse au début, c'est juste terriblement excitant) et les histoires de fantômes chinois ne prend pas chez moi, même si je constate que le travail de titan fourni par Hark est incontestable.

5/10

[Scalp]

Je vais faire comme si j'avais rien vu, mais t'en dis des conneries.

[Jack Spret]

Ça va être marrant au BOMcast si tu n'acceptes pas la critique lorsqu'on touche à ton chouchou.
Si Tsui Hark était un réalisateur qui touche à l'universalité et que tout le monde kiffe, ça se saurait.

[Scalp]

Non mais faut pas dire n'importe quoi, entre powers rangers, conte pour enfant, sérieux vous avez que ça comme argument.

[Mark Chopper]

Cette légende a déjà été adaptée dans un dessin animé pour enfants au Japon. Mais le traitement de Hark ici est clairement adulte, jamais enfantin.

Et on ne peut pas reprocher à un cinéaste de ne pas s'adapter au manque de culture du spectateur occidental. Et à vrai dire, ne rien connaître à cette culture n'empêche en rien de se laisser porter.

[Jack Spret]

Ça jongle sans cesse entre comédie et drame, avec une forte tendance pour le premier genre quand même.
Et tu remarqueras que je n'ai jamais employé le terme de Powers Rangers.
Les mecs qui volent, c'est culturel, j'ai rien à redire dessus.
Et je ne sais pas si on peut qualifier de manque de culture le fait de constater que ce film est relativement mauvais dans son traitement.
C'est facile comme bouclier la culture mais c'est aussi à double tranchant.
Parce que c'est justement la Chine, alors à la non-pointe de la technologie en terme d'effets spéciaux, qui rend ridicules les scènes d'"actions".
Si tu ne peux pas te permettre des SFX sans rendre ridicule ton film, n'en mets pas...

Et bientôt on va me sortir que Le roi singe, c'est pas un conte...

[Logan]

Roh putain je sens qu'y va être épique ce Bomcast, je vais faire une bonne nuit de sommeil avant pour être en forme