[oso] Mes critiques en 2013

[Logan]

[Mark Chopper]

Attendez que je pose ma note

Pas moins de 7.5 j'espère . Tout ce qu'on pourrait reprocher finalement à ce film, c'est qu'il pique ses idées à droite et à gauche dans la littérature SF, mais c'est tellement bien agencé, sans oublier l'esthétique recherchée, l'interprétation, Emma Thurman , etc.

Emma Thurman ?

Sinon, tu as tout dit. Je me fais chier devant un film qui compile ce que j'ai déjà lu. Le parcours suivi par le réal' depuis me conforte dans l'idée qu'il est bien surestimé et qu'il a peu de choses intéressantes à dire.

[Scalp]

Alegas y met 10 parce qu'il s'IDENTIFIE !!!

[osorojo]

Non mais Mark, tu peux pas reprocher à Gattaca ses influences littéraires, c'est à mon sens sa force, de s'en inspirer sans limite. D'autres feraient bien d'en prendre de la graine, au lieu d'écrire des scripts avec un pauvre potentiel SF sans le développer.

Ce que je reproche au film à mon niveau, c'est un petit manque d'enjeux, d'ampleur. J'aime son côté intimiste, mais en même temps, il manque un peu d'ambition à mon avis. Et surtout, son gros point noir pour moi c'est Uma Thurman que je ne trouve pas spécialement convaincante, en tout cas pas au niveau des autres acteurs en présence.

Pour le reste, j'aime beaucoup, d'où la note (de GROS radin).

[Dunandan]

J'aime beaucoup Emma dans ce film, moi . Mais sinon ce défaut-là (si ça en est un) est composé par un traitement qui ne dit jamais : "regarde je t'en mets plein la vue et te fais croire que j'ai inventé la lune". Cette simplicité-là est très appréciable.

[Mark Chopper]

Mais c'est qui cette Emma

[Alegas]

[Mark Chopper]

Perso quand j'aime une fille, je retiens son prénom

[Scalp]

Le prénom c'est facultatif.

[Dunandan]

Perso quand j'aime une fille, je retiens son prénom

Rho je suis pressé c pour ça, Uma ok on a compris

[Mark Chopper]

Tu as fait le coup deux fois. Bah ça arrive quand on pense avec sa bite

Le prénom c'est facultatif.

Par chez toi, ça a moins d'importance que la place qu'elles ont dans leur congélo.

[osorojo]

J'aime beaucoup Emma dans ce film, moi . Mais sinon ce défaut-là (si ça en est un) est composé par un traitement qui ne dit jamais : "regarde je t'en mets plein la vue et te fais croire que j'ai inventé la lune". Cette simplicité-là est très appréciable.

Comme je le dis, j'aime aussi la simplicité du film, mais on sent quand même que NIccol ne voulait pas s'embarquer dans un récit plus approfondi. Il manque en effet à mon sens de précision, notamment au niveau de certains ficelles narratives qui m'empêchent de le considérer comme le chef d'oeuvre que vous vantez. Je trouve au final le cheminement du perso un peu facile par moment (le coup de la transfusion sanguine, évidemment le toubib est sympa etc). Ça ne m'empêche pas d'apprécier le film, mais au final je le trouve tout de même un peu cavalier par moment.

[Dunandan]

Oui je suis bien d'accord pour ces défauts que je compte également dans ma critique (par contre la gentillesse du toubib, la manière dont elle est amenée, je n'ai pas trop de problème avec, parce que faite de manière rigolote ^^).

[Alegas]

SANJURO

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Akira Kurosawa (1962) | 8/10
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Jolie récréation ce Sanjuro fait d'humour et de jeux psychologiques ludiques qui stimulent un spectateur amusé en permanence. Akira Kurosawa ne s’embarrasse pas ici des fondamentaux du genre avec lequel il joue et se contente d'en choisir les aspects qui peuvent servir son propos pour nous livrer une bobine didactique des plus divertissante. Peu de personnages sont mis en avant, deux finalement montent sur l'estrade et rythmeront ce jeu du chat et de la souris dont ils sont les meneurs. Tous deux dotés d'une armée d'homme, un groupe dont il vient de se proclamer le mentor pour le magnétique Mifune, une armée fournie en hommes pour le regard acéré de l'excellent Tatsuya Nakadai, ils se livreront une partie d'échec dont l'issue illustrera finalement la sagesse de la non violence.

Outre la puissance de persuasion dégagée par ses deux protagonistes, Sanjuro impressionne par ses qualités de mise en scène et de gestion de l'espace. Peu de lieux sont investis par AK, mais ils le sont pleinement, grâce à un oeil confirmé qui sait choisir le meilleur point de vue pour composer des plans d'une efficacité redoutable. De la première séquence, qui pose tout de suite le niveau du film, au duel final sec et sans compromis, Sanjuro nous imprime la rétine d'images qui forcent l'admiration. Un très chouette moment, fait de situations cocasses mais également d'effusions de sang radicales qui séduira tous les amateurs du genre ou tout simplement des belles images au service d'un moment léger mais raconté avec intelligence.

[Jack Spret]

Sanjuro, c'est avant tout un énorme charisme et un bretteur qui a pas besoin de montrer ses talents pour qu'on y croit.
Oh putain la note d'Alegas !
Je vais poster ma critique aussi histoire de faire grimper sa moyenne.