[Alegas] Mes Critiques en 2013

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Jed Trigado » Mar 21 Mai 2013, 18:43

Tout à fait d'accord avec Scalp, mais ça veut pas dire qu'il faille renier absolument tout les trucs qu'on a aimé jeunot. :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Mar 21 Mai 2013, 18:43

Bien sur que ça évolue, j'ai pas dit le contraire. Mais à lire Darktouch, il faudrait croire que Speed Racer est un film uniquement appréciable par les moins de 25 ans, et donc que les plus vieux ont forcément raison. Bref, un cliché auquel plus personne ne croît.
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Mar 21 Mai 2013, 18:48

Jed Trigado a écrit:Tout à fait d'accord avec Scalp, mais ça veut pas dire qu'il faille renier absolument tout les trucs qu'on a aimé jeunot. :mrgreen:


Je renie pas tout hein :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Logan » Mar 21 Mai 2013, 18:56

Non mais si je regarde mon top 100 d'y a cinq ans et l'actuel je dois avoir 30/40% de correspondance et je suis sérieux en disant ca, je me souviens même qu'un mec m'avais dis "tu vas voir ton top 100 restera pas pareil et évoluera beaucoup" j'ai du lui dire gentiment d'aller se faire enculer :mrgreen:



J'avais tort :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Mar 21 Mai 2013, 19:45

Ouais mais ton top, c'est celui de Benjamin Button.
Plus tu grandis et plus tu mets des films naphta :mrgreen:


"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Mar 21 Mai 2013, 19:45

:eheh:
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Lilo et Stitch - 4/10

Messagepar Alegas » Mar 21 Mai 2013, 20:34

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Lilo & Stitch (Lilo et Stich) de Chris Sanders & Dean DeBlois

(2002)


Pas revu depuis le ciné, et même à l'époque, du haut de mes 11 ans je trouvais ça pas génial. Néanmoins, vu l'appréciation générale autour du film et surtout le fait que ce soit le premier long-métrage de Chris Sanders (qui a depuis confirmé un réel talent chez Dreamworks) je me suis dit que j'étais peut-être passé à côté de quelque chose, et finalement non, c'est toujours un Disney bas de gamme. Je commence vite par les quelques qualités du film qui propose un très beau message sur la famille sur fond de revisite du vilain petit canard, ce qui donne clairement les meilleures scènes du métrage, Stitch est vraiment un personnage très sympa et le duo qu'il forme avec la gamine est vraiment attachant. Pour le reste, c'est soit très maladroit soit carrément affligeant. Tout ce qui touche aux extra-terrestres qui tentent de récupérer Stitch c'est d'une nullité affolante, et je ne parlerais même pas de la conclusion ultra facile ou encore du climax final facepalmant. Quand on voit ce film, on se dit que c'est une très bonne chose que Sanders ne soit pas resté plus longtemps chez Disney malgré ses collaborations prestigieuses.


NOTE : 4/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Waylander » Mar 21 Mai 2013, 20:41

Les goûts évoluent ouais bof. La cinéphilie évolue , tes connaissances mais tes gouts sont à peu près toujours identiques. En tout cas il y a une base qui ne bouge pas surtout si tu gardes ton âme d'enfant que certaines perdent malheureusement et depuis ils ne matent que des films chelous asiatiques catégorie 3.
Les gouts évoluent vraiment entre 10 et 25-30 ans après j'y crois pas trop.
















:mrgreen:
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Nomads - 2,5/10

Messagepar Alegas » Mer 22 Mai 2013, 00:08

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Nomads de John McTiernan

(1986)


Découverte de ce premier long-métrage de John McTiernan et c'est aussi le premier mauvais film que je découvre dans sa filmographie. On aura beau dire qu'un premier film est rarement parfait, et qu'il est normal, même pour un très bon cinéaste, de faire des erreurs en début de parcours, mais le fait est que ce Nomads est tout simplement une œuvre où il est vraiment difficile de trouver des qualités. Alors certes, on est loin d'être devant une purge totale, mais le film se suit sans véritable intérêt et s'oublie très vite après la vision. Nomads est le premier et dernier travail de McTiernan à l'écriture de script et cela se révèle véritablement désastreux avec une histoire sans aucun enjeu et une pseudo-fascination du personnage principal totalement incompréhensible. Le film est même souvent drôle de façon involontaire, Pierce Brosnan (dont c'est la pire performance) et sa femme jouant un couple de français parlant américains. Résultat : les passages parlés en anglais se révèlent largement plus compréhensibles que ceux en français, et on a souvent l'impression que Brosnan parle une langue inventée. Sur la forme, le film est pas trop mal avec un cachet 80's qui lui permet d'avoir une ambiance sympathique sur quelques séquences (encore que la musique a tendance à gâcher le tout), mais difficile d'y trouver le futur grand réalisateur qui allait réaliser les deux années suivantes Predator et Die Hard, le seul plan marquant du film étant un passage en vue subjective qui permet de découvrir le visage de Brosnan. Clairement pas un film à conseiller, il n'intéressera véritablement que les aficionados du réalisateur, et encore.


NOTE : 2,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Pathfinder » Mer 22 Mai 2013, 16:30

Jamais vu mais putain v'là les notes qu'il se paie!
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Président (Le) - 7/10

Messagepar Alegas » Mer 22 Mai 2013, 19:28

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Le Président de Henri Verneuil

(1961)


Un poil déçu étant donné que j'attendais de ce film l’œuvre ultime sur la politique en France, donc forcément je me suis retrouvé face à quelque chose d'assez différent même si Le Président se classe facilement parmi les meilleures œuvres sur le sujet (et peut-être même la meilleure étant donné que je n'ai pas d'autres exemples concrets qui me viennent à l'esprit). Le Président, c'est avant tout la collaboration de trois talents, à savoir Henri Verneuil à la réalisation, Michel Audiard aux dialogues et Jean Gabin dans le rôle titre, et comme un peut s'y attendre le mélange donne clairement un résultat de qualité. Le seul gros défaut à l'horizon vient finalement du récit lui-même, qui revit les instants d'un grand homme politique fictif qui, au fil des années, se retrouvera confronté à celui qu'il considérait comme son plus digne successeur. Hélas, l'histoire manque singulièrement d'humanité et donne toujours l'impression d'une distance vis à vis du spectateur qui empêche de se faire une réelle opinion sur les protagonistes qui nous sont présentés.

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Henri Verneuil à la mise en scène, cela donne un visuel de qualité qui ne cède pas à la facilité malgré les apparences. Car si le bonhomme est moins adepte du mouvement de la caméra par rapport à quelqu'un comme Jean-Pierre Melville, le fait est qu'il y a un véritable sens du cadrage, et une volonté d'isoler les personnages dans le champ, comme en témoigne la séquence du parlement (qui prouve par ailleurs que l'on peut filmer les débats politiques en les rendant captivants de bout en bout). Cette même séquence est par ailleurs l'exemple ultime du talent d'écriture d'Audiard, avec des répliques qui font mouche et surtout un monologue inspiré, et qui gagne nettement en intérêt lorsqu'il sort de la bouche d'un acteur aussi charismatique que Jean Gabin qui trouve là l'une de ses plus belles performances. A défaut d'avoir un très grand film, Le Président est clairement une œuvre très recommandable pour son trio de talent qui vaut largement le détour.


NOTE : 7/10
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Trance - 6/10

Messagepar Alegas » Mer 22 Mai 2013, 19:46

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Trance de Danny Boyle

(2013)


Nouveau petit thriller survolté et sympathique de la part de Danny Boyle qui décide enfin d'arrêter ses films ciblés pour les Oscars pour se concentrer sur ce qu'il sait faire de mieux, à savoir du bon divertissement à forte tendance expérimentale. On retrouve donc ici la douce folie qui transparaît par la caméra de Boyle, au service d'un scénario torturé dont les seuls véritables défauts sont un final trop explicatif et un concept finalement un peu trop sous-employé et qui consiste rapidement à seulement perturber le spectateur pour discerner le vrai du faux dans ce qu'il voit. Pour le reste, l'hypnose au sein d'un thriller fonctionne vraiment très bien, aidé par un trio d'acteur en forme et qui forme un véritable triangle à forte tendance destructrice. Danny Boyle, une nouvelle fois, se lâche totalement sur la mise en forme du film sans toutefois abuser des effets de style inutiles qui parsemaient son 127 Hours. Cela donne donc un visuel léché et très appréciable puisqu'il est entièrement au service du concept qui permet plusieurs folies visuelles. Pour le reste, pas grand chose à redire, si ce n'est que c'est très certainement le meilleur film de Boyle depuis Sunshine. A voir si le film pourra supporter une seconde vision.


NOTE : 6/10
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Gatsby le Magnifique - 8/10

Messagepar Alegas » Dim 26 Mai 2013, 19:05

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The Great Gatsby (Gatsby le Magnifique) de Baz Luhrmann

(2013)


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"Gatsby believed in the green light, the orgastic future that year by year recedes before us. It eluded us then, but that's no matter - tomorrow we will run faster, stretch out our arms farther... And one fine morning - So we beat on, boats against the current, borne back ceaselessly into the past."


Il aura fallu cinq ans pour voir enfin le cinquième long-métrage de Baz Luhrmann, une période riche en déceptions et mauvaises nouvelles puisqu'elle aura été le témoin de l'annulation pure et simple de la trilogie Australia qui devait retracer l'histoire du pays à travers des récits et personnages différents, mais aussi le témoin de la séparation de Baz Luhrmann à son producteur/distributeur qui l'avait jusque là toujours soutenu, à savoir la Fox. L'adaptation de The Great Gatsby a toujours été plus qu'une simple envie dans l'esprit de Luhrmann, au point que le roman de Fitzgerald hantait certaines thématiques de sa carrière, et forcément on ne pouvait que ressentir de l'appréhension face à un cinéaste qui décide de livrer sa version d'une histoire fondamentale dans son œuvre. Rajoutons à cela un marketing des plus déstabilisants (qui loupe totalement le coche soit dit en passant) et un report de presque six mois pour une raison inconnue et cela donnait un film qui, même pour un aficionado du travail du cinéaste, représentait autant un fantasme qu'un risque non négligeable, surtout après un film comme Australia.


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N'ayant pas lu le livre d'origine ni vu l'adaptation avec Robert Redford et Mia Farrow, je ne jouerais pas le jeu de la comparaison, mais toujours est-il que le fait d'avoir découvert le film vierge de toute information sur le récit a sûrement joué sur l'effet de surprise. Là où les bande-annonces mettaient l'accent sur une représentation assez particulière de la folie du New-York des années 20, on se retrouve finalement plus devant une tragédie intimiste qui prendra de l'ampleur uniquement sur sa symbolique. Car oui, The Great Gatsby est clairement une œuvre qui joue, à la manière de son récit, sur un jeu d'apparence et là où beaucoup verront un simple mauvais goût dans la façon de filmer les festivités du film, il y a pourtant un réel travail sur ce qu'elles représentent réellement, à savoir une énième façon pour les hommes d'oublier le monde décadent dans lequel ils vivent, un reflet évident de la société contemporaine. Mais là encore, le film se permet même d'aller plus loin en offrant une véritable réflexion sur les faux-semblants d'une époque, ce qui rapproche clairement le récit de celui de Moulin Rouge du même réalisateur avec qui il offre plusieurs traits communs assez troublants (vision fantasmée d'un monde qui se révélera être à la fin du film d'une atrocité et mocheté sans nom, héros sombrant dans la dépression en découvrant que ses idéaux n'ont aucune place dans une telle société, etc...). Buchanan devient alors le seul véritable humain du film, le seul qui s'assume comme tel et qui ne produit pas une façade malgré ses jeux de manipulation. Quand à Jay Gatsby lui-même, il se révèle être derrière son profond mystère un personnage idéaliste et naïf, prêt à tout pour croire encore à l'espoir d'un amour passé, en cette fameuse lumière verte que jamais il ne touchera, ce qui offre au récit un véritable côté tragique qui prend tout son sens dans le dernier acte d'une beauté simple et touchante. Quand à Nick Carraway, il se révèle être le véritable personnage central du film puisqu'il est finalement le seul auquel le spectateur peut s'identifier de façon totale, à tel point que sa désillusion en devient particulièrement poignante dans un univers où l'on se refuse à regarder la vie telle qu'elle est.


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Sur le plan formel, le film divisera clairement dans le sens où on est bel et bien en face d'un film marqué par la patte de Baz Luhrmann. Certes, la plupart des folies excentriques habituelles du réalisateur sont toujours là, mais le fait est que The Great Gatsby est de loin le film le plus sage de son auteur avec Australia, puisque tout est concentré durant la première heure afin de laisser l'histoire prendre le dessus petit à petit pour aboutir sur un final qui montre quel niveau de cinéma peut atteindre Luhrmann lorsqu'il s'en donne les moyens. Pour ce qui est de l'utilisation du relief, on notera tout de même une petite déception tant Luhrmann avait de quoi impressionner sur ce point, mais on se retrouve avec des idées certes bonnes mais déjà vues ailleurs par le passé. En ce qui concerne la bande-son, les ajouts anachroniques se révèlent finalement assez mineurs comparés à la longueur du métrage, on notera surtout une composition de Craig Armstrong qui arrive très bien à distiller l'ensemble. Enfin, malgré le fait que beaucoup de personnages se révèlent sacrifiés malgré un puissant potentiel (Jordan Baker st surtout le couple Wilson), on se retrouve avec un casting de grande qualité mené évidemment par le duo DiCaprio/Maguire dans une relation entre timide complicité et profond respect mutuel qui permet au métrage d'atteindre une vraie force émotionnelle dans sa dernière scène. A défaut d'avoir un chef-d’œuvre, Luhrmann revient ici e grande forme après un très moyen Australia. The Great Gatsby est, à mes yeux, clairement un film qui gagne en intensité à la revision malgré quelques défauts (notamment quelques incrustations CGI pas fameuses) qui l'empêcheront d'être parfait sur tout les points. Reste à voir comment Luhrmann va continuer sa carrière après une telle œuvre.


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NOTE : 8/10
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Sunshine - 9/10

Messagepar Alegas » Dim 26 Mai 2013, 23:43

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Sunshine de Danny Boyle

(2007)


Le meilleur film de Danny Boyle à mes yeux, tout simplement. Après avoir remis au goût du jour le film de zombies en le dépoussiérant, Boyle se lance tête baissée dans un film de science-fiction au script trompeur. Là où beaucoup à l'époque avaient fait le parallèle avec Armageddon, Sunshine est finalement une œuvre bien plus intelligente qu'il n'y paraît, privilégiant le suspense et la profondeur psychologique à l'action pure et simple. En l'espace de quelques minutes, tout est mis en place, que ce soit la mission, l'équipage ou encore la remarquable architecture d'un vaisseau très bien pensé sur tout les points. Boyle livre alors ce qui n'est ni plus ni moins qu'un des plus grands films de science-fiction depuis des décennies, car en voulant rendre hommage à l'illustre 2001, A Space Odyssey, Boyle conçoit finalement un film qui possède une atmosphère qui lui est propre, magnifié par une réalisation minutieuse et des effets visuels de toute beauté.

ImageImageImage


Alors certes, on pourra toujours regretter le final typé slasher qui donne l'impression que Boyle ne savait pas comment finir son récit, mais le fait est que tout le trip métaphysique autour du Soleil ainsi que sa réalisation atypique tient plutôt bien la route à la seconde vision. La grande force du métrage, c'est bien évidemment ses personnages plus vrais que nature, chacun réagissant tels de véritables scientifiques dans une situation de crise, ce qui donne des dialogues vraiment travaillés et des confrontations passives qui permettent à Sunshine de posséder un rythme soutenu malgré l'action peu présente. La totalité du casting est excellent, mentions spéciales à Cillian Murphy, Chris Evans et Cliff Curtis. Enfin, la bande-son de John Murphy est une tuerie sans nom, l'une des plus belles musiques de film jamais faites. Sunshine, rien de moins que l'un des meilleurs films de science-fiction de ce début de siècle, si ce n'est le meilleur.


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NOTE : 9/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Waylander » Lun 27 Mai 2013, 07:51

Alegas a écrit:Enfin, la bande-son de John Murphy est une tuerie sans nom, l'une des plus belles musiques de film jamais faites.


Tu dis ça souvent pour les bo que tu kiffes. :mrgreen:
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