[Mark Chopper] Mes critiques en 2013

[Mark Chopper]

Oui, je reconnais que Donnie livre une de ses meilleures interprétations.

[Jack Spret]

Ça devait pas être bien compliqué

[Mark Chopper]

Quand on pense que Zeta-Jones joue bien dans la dernière merde de Sodo (le mec qui réalise des films qui font mal au cul), on se tait

[Jack Spret]

Elle a déjà bien joué au moins une fois dans sa vie contrairement à Donnie Baths

[Mark Chopper]

Je pense bien. Tu vois Donnie dans Wu Xia, il explose Zeta machin en jeu d'acteur sur toute sa triste carrière.

[Jack Spret]

No comment...

[Mark Chopper]

T'aime pas le ciné d'action HK, c'tout.

Elle déchire cette scène de Flash Point

[osorojo]

Mais ouais clairement, cette séquence de FP c'est du pur plaisir en barre pour tout mec qui apprécie les films de tatane. Créative, énervée, jouissive. Pfff jack, sur ce coup là, tu tapes sur le mauvais dude !

[Jack Spret]

Au contraire, j'aime beaucoup le ciné d'action HK.

Mais là, le mec il peine rien qu'à nettoyer son nez.
Alors pour le jeu d'acteur, on repassera.

[Mark Chopper]

Mais là, le mec il peine rien qu'à nettoyer son nez.

Ce n'est pas parce que tu t'es fait péter le tien deux fois que tu es un expert, hein

Tu cognes sur Jackie et son pyjama si tu veux, mais pas touche à Donnie sur mon topic.

[Jack Spret]

3 fois. Je te remercierai de vérifier tes statistiques avant
Et j'emmerde Donnie, vous êtes tous à vous toucher dessus parce qu'il sait faire 3 pirouettes et demi.

Le pire, c'est que j'ai rien contre lui mais le fait de vous voir tous monter au créneau dès qu'on en dit du mal, ça me donne envie d'être méchant avec lui

[Mark Chopper]

Continue comme ça et ce sera 4

Tu réalises que je viens de mettre 4,5 à un de ses films ? Je ne suis pas aveugle. Et on est tous d'accord pour dire qu'en tant qu'acteur, jusqu'à très récemment, c'était très léger.

Mais il a passé un cap ces dernières années, que ce soit dans ce film, Ip Man ou Wu Xia où je le trouve excellent.

En plus d'être le seul à HK depuis une décennie à nous offrir des bons films de tatanes.

Donnie, c'est la classe. Fact

[Jed Trigado]

Je rejoins Jack dans le sens où Donnie a profité d'une pénurie de nouveaux talents martiaux a Hong Kong, lui le second couteau à la gueule de taré mais qui effectivement n'avait rien d'un premier rôle est devenu par chance la star locale après avoir été longtemps dans l'ombre de son mentor Yuen Woo-Ping. Après si on rentre dans le débat du "faut-il être un bon acteur pour être un bon tataneur ?", là je serais plus de l'avis de Mark : dans Ip Man, il m'a pleinement convaincu sur sa capacité à se fondre dans un rôle au lieu d'être Donnie le swagman, mais dans l'absolu ce n'est pas ce que je regarde quand je mate un film HK.

Personnellement dans la nouvelle vague de fighters, je préfère de loin Jacky Wu Jing, plus sobre et traditionnel même si sa gueule le condamne à des rôles de méchants.

[Mark Chopper]

Quatre garçons pleins d'avenir, de Jean-Paul Lilienfeld (1997)

L'histoire : Arnaud, Axel, Johan et Breitling sont quatre amis étudiants en droit à la faculté d'Aix-en-Provence. Arnaud, qui vient de rater sa première année pour la troisième fois consécutive, accepte d'accompagner ses trois amis à une fête. Les galères commencent...

Avis express pour ma comédie française préférée des années 1990 avec Le Dîner de cons. Comme ce dernier, il est mis en scène comme un téléfilm lambda, mais peu importe : parfaitement rythmé, ce long-métrage a le mérite de me faire toujours rire et d'éveiller une certaine nostalgie. Je pense vraiment qu'il s'agit d'une œuvre générationnelle et que toute personne qui a découvert ce film à sa sortie et qui était à la fac au même moment ne peut que sourire en entendant certaines expressions ou devant les looks des personnages (le style vestimentaire des 90's vieillit mal...). L'écriture est de premier choix : les personnages sont bien caractérisés (de quoi favoriser l'identification) et les péripéties s'enchaînent à un rythme d'enfer. Et les seconds rôles viennent booster le tout : Thierry Lhermitte en flic corrompu, Roland Giraud en prof de fac accro à son chien et même Patrick Sébastien (si, si !) en voisin alcoolique et homo refoulé. On sent bien que Quatre garçons pleins d'avenir a été conçu dans la bonne humeur et celle-ci est communicative. Un feel good movie, tout simplement. On l'a oublié aujourd’hui, mais peu de temps après le succès du premier American Pie, certains films français, opportunistes et navrants, ont tenté d'en reproduire la formule. Ils n'ont rencontré qu'un échec mérité et souffrent de la comparaison avec cette rare réussite du teenage movie à la française (car ces étudiants sont des adulescents), qui s'inscrit dans son pays et son époque plutôt que de singer une pseudo-formule américaine... Le qualificatif hilarant, ici, ne me paraît pas usurpé.

Note : 8/10

[Scalp]

Ah Le porc le porc le porc !!!!