Modérateur: padri18
Insolite : il paie avec un faux billet de 30 euros
Arrêté en Allemagne, un homme venait d'effectuer ses achats avec un billet de 30 euros, oui oui, de 30 euros, pas de 20 ni de 50...
Âgé de 41 ans, l'escroc a trompé la caissière d'une enseigne de Dülmen en Allemagne. Au moment de régler sa commission, il a utilisé un billet de 30 euros, très ressemblant avec les billets de 20 euros. La caissière a encaissé et rendu la monnaie au client sans se rendre compte de la supercherie dont elle venait d'être victime.
Quelques instants plus tard, l'employée a compris la mégarde. Immédiatement prévenue, la police est intervenue et a interpellé l'arnaqueur.
Une enquête a été ouverte, le suspect prétend avoir trouvé le billet.
Sud Ouest, 15 mai a écrit:L’imprimante 3D, ce n’est plus du cinéma
Florent Pitoun et Matthieu Saint-Denis ont créé Fabzat, le premier atelier d’impression 3D en Aquitaine, pour les particuliers, professionnels et éditeurs de jeux vidéo.
Les fondateurs, anciens d’In-Fusio, ont acquis une machine américaine. Seuls 250 exemplaires existent à ce jour dans le monde. (PHOTO Quentin SALINIER)
Nom de code : ZCORP 650. Attention gros bébé. Prix d’achat : plus de 100 000 euros. Voici la première imprimante 3D en Aquitaine. Ses deux papas, Florent Pitoun et Matthieu Saint-Denis font partie des rares 250 propriétaires à en posséder une dans le monde et comptent bien gagner leur vie avec leur nouveau joujou.
Ils viennent de créer Fabzat, parce que ça fait penser à « Fabrique ça », disent-ils. Avec cet atelier d’impression 3D, ils ont lancé deux activités. La première s’adresse aux particuliers et aux professionnels. Vous rêvez d’avoir la maquette de votre future maison, une statuette à votre effigie, refaire une pièce détachée ? C’est désormais possible. Cette opportunité devrait notamment intéresser les architectes et ingénieurs pour leurs prototypes.
Figurines de jeux vidéo
À partir de fichiers 3D, les deux responsables de l’atelier créent des objets à base de résine minérale. Ce qu’on voyait encore comme de la science-fiction il y a quelques mois devient réalité. En quelques minutes, voire quelques heures pour les pièces plus complexes, l’imprimante fabrique des produits en couleur (360 000 au total). Seule contrainte : ces objets ne peuvent dépasser une taille maximale de 380x230x200 millimètres.
« Nous fabriquons des pièces uniques à la demande, en flux tendu, donc sans perte de matière et sans stock », explique Florent Pitoun.
Les prix, eux, dépendent de l’objet souhaité, mais semblent raisonnables : « de 20 à 100 euros », précise le cofondateur.
Très prochainement, Fabzat va lancer sa seconde activité. La société s’est associée à une dizaine d’éditeurs de jeux vidéos et va proposer aux joueurs de créer des figurines sur mesure avec leur nom ou leur pseudo et leur score réalisé. Les Bordelais de BeTomorrow qui ont créé le célèbre jeu Rocket Bird se sont, par exemple, associés avec eux.
« Dans le même créneau, nous allons créer des T-shirts et des coques pour smartphones », indique Florent Pitoun.
Expérience solide
Les fondateurs de Fabzat, passionnés de jeux, ne sont pas étrangers au monde du numérique. Tous les deux ont travaillé et se sont connus au début dans les années 2000 chez In-Fusio, société spécialisée dans la création de jeux vidéo sur téléphone portable à Bordeaux.
Florent Pitoun et Matthieu Saint-Denis avaient précédemment travaillé dans d’autres entreprises numériques. Le premier a aussi créé Webwag, société dédiée à la convergence des services Web et mobile et le développement d’applications.
Soutenus par la technopole Bordeaux, ils ont aujourd’hui installé leur atelier à l’Auberge numérique dans les locaux de l’AEC (agence des initiatives numériques en Aquitaine) dans le quartier de Bacalan. Une première étape avant de prendre leur envol. « Nous sommes, avec l’imprimante 3D à l’aube d’une nouvelle révolution industrielle », assurent-ils.
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