Jeff Buckley a écrit: Le parallèle c'est juste pour le cadre, la vie dans les bidonvilles, ça va pas chercher plus loin. Le propos des 2 films est différent meme si Slumdog n'est pas exempt d'une belle dose de violence exacerbée et théatralisée, parfois avec brio.
En filigrane, on fait référence avec Way à la polémique qui a suivi la sortie de Slumdog poussant certains habitant du quartier (que Boyle a choisi comme toile de fond de son film) à se liguer contre la production estimant qu'on donnait une image faussée de leur "monde". Bon on sait qu'ils voulaient juste recuperer un peu de blé.
Comme l'a dit Way, Boyle a choisi de mettre l'accent sur le conte et non sur le réalisme. Son projet est raté à mes yeux mais j'avais mal appréhendé ses objectifs. Je croyais que le coté "conte" n'était que de la guimauve pour enrober un univers ultraviolent qu'il se refusait à dépeindre à l'était brut..
OK ca se tient. J'suis d'accord avec toi du coup. Le côté "conte" n'a pas pris sur moi. Mais je reconnais des qualités visuelles certaines qui m'ont plu.