[Jack Spret] Mes critiques en 2013

[Logan]

Bah il a mis 6,5 à police Story c'est pas pourri.

Comme Mark.

Qui est une asian Biatch.

Donc bon...



(Scalp je le sens tendu ce soir, si Alegas continue on peut le faire craquer )

[Jack Spret]

"Jackie Chan et Yuen Bio, deux flics de Hong-Kong, sont envoyés en mission à Tolyo sur les traces d'un grand criminel. A peine arrivés, ils tombent dans un piège tendu par le gang du mafieux et Yuen est kidnappé. Pour sauver Yuen, Jackie demande de l'aide à cinq copains d'enfance, expert en arts martiaux..."

Excuse moi du peu mais à moins de l'avoir déjà imaginé en rêve, quand je lis ça derrière le boitier, ça me donne envie alors j'achète.
Et pour rester vierge de toutes informations, je regarde le film sans lire d'avis.

Mais je sais à présent que ça n'est pas une bonne méthode pour du Jackie Chan

[Scalp]

Non je suis calme compte tenu que je dors pas, et puis si tu lis la critique de Jack il écrit que Police Story c'est pourri.

Va en falloir un peu plus pour m'énerver, mais vous pouvez toujours essayer

[Scalp]

"Jackie Chan et Yuen Bio, deux flics de Hong-Kong, sont envoyés en mission à Tolyo sur les traces d'un grand criminel. A peine arrivés, ils tombent dans un piège tendu par le gang du mafieux et Yuen est kidnappé. Pour sauver Yuen, Jackie demande de l'aide à cinq copains d'enfance, expert en arts martiaux..."

Excuse moi du peu mais à moins de l'avoir déjà imaginé en rêve, quand je lis ça derrière le boitier, ça me donne envie alors j'achète.
Et pour rester vierge de toutes informations, je regarde le film sans lire d'avis.

Mais je sais à présent que ça n'est pas une bonne méthode pour du Jackie Chan

Bein faut se renseigner surtout quand t'as Richard Ng dans le film, ça veut humour mongolito à fond.

[Jack Spret]

En fait il a pas mis son nom complet mais il s'appelle Richard Mongol

Vraiment, si Johnnie To était teubé, c'est le genre de film qu'il ferait.

[Jed Trigado]

Vraiment, si Johnnie To était teubé, c'est le genre de film qu'il ferait.

Le pire, c'est qu'il en a fait des films comme ça dans les années 80. Comme quoi, rien n'est joué d'avance.

[Mark Chopper]

Excuse moi du peu mais à moins de l'avoir déjà imaginé en rêve, quand je lis ça derrière le boitier, ça me donne envie alors j'achète.

Parce que tu crois encore ce qui est écrit sur les jaquettes ?

Comme toi, je suis allergique à l'humour gogol HK alors pour Jackie j'ai demandé lesquels étaient pour moi. C'est sûr que celui-là, Scalp n'allait pas le recommander : tu vois Sammo en pyjama jaune, ben tu fuis !

[Scalp]

Sammo en pyjama c'est pas le truc le pire du film

[Jack Spret]

Excuse moi du peu mais à moins de l'avoir déjà imaginé en rêve, quand je lis ça derrière le boitier, ça me donne envie alors j'achète.

Parce que tu crois encore ce qui est écrit sur les jaquettes ?

Un minimum, je m'attendais pas à ce que ça se transforme en "Un groupe d'attardés mentaux ayant passé leurs jeunesse dans un orphelinat spécialisé se retrouve quelques années plus tard pour un voyage organisé à Tokyo, sous la surveillance d'une infirmière sexy."

[pabelbaba]

Ta critique rappelle quand même celle du gars qui trouvait que Life Of Brian était pas une super adaptation de la Bible...

[Jack Spret]

Non mais là y'a un gouffre entre ce qu'on cherche à nous vendre et la réalité.
C'est presque une tentative vicieuse de violer mon cerveau avec des images débiles.

[pabelbaba]

Tu t'es fait avoir par le marketing. Initialement, ce n'est pas un film de Jackie, mais des Lucky Stars, à savoir la bande de mongols que tu n'aimes pas. Mais si tu veux du HK sérieux et de qualité qui tatane des tronches, vaut mieux se tourner vers Une Flic de Choc, Tiger Cage 2 et Le Sens du Devoir 1, 2 et 4

[Mark Chopper]

Le premier Tiger Cage est très bon aussi et bien sombre (aucun humour !).

[Jack Spret]

Un film aussi doux et sucré qu'un chocolat fondant sur un palais.

La comédie française, on a beau en faire le tour, elle arrive toujours à nous surprendre. Malgré les dizaines de films qui sortent tous les ans et qui tablent sur le registre comique (à défaut du dramatique), certains sortent du lot et gagnent à être connus. C'est le cas de ces Emotifs anonymes qui ne le sont pas tant que ça. Si le film aurait gagné en candeur et en profondeur avec des interprètes peu connus, il reste tout de même habité d'un charme fou du fait de ses deux interprètes aussi talentueux que peu exploités pour livrer des personnages tout en retenue (Poelvoorde en tête de liste).

Lorsqu'il ne prend pas la grosse tête, Poelvoorde peut être épatant.

Affublé d'un filtre d'époque qui n'est pas sans rappeler celui qu'on reverra en 2012 dans Populaire (ça se passe sans doute dans la même décennie ou proche), le film d'Améris étonne par sa relative simplicité et sa courte durée. 1h20 lui suffiront pour exploiter ses deux personnages aussi naïfs que sentimentalement affaiblis par leur timidité et leur inexpérience. Aussi touchants l'un que l'autre, ils ne sont jamais plus drôles que lorsqu'ils se donnent en spectacle, dans un ballet de quiproquos, de maladresse et de tendresse. Les scènes qui les font se rapprocher (le restaurant, le concours) sont celles là même qui définissent la raison d'être du film, bien loin des développements psychologiques des deux personnages.

Y'a du music-hall dans la chanson que murmure Isabelle Carré.

C'est d'ailleurs dommage que le cinéaste ne s'attarde pas sur leur manière d'appréhender le monde en solitaire. Si l'on voit Isabelle Carré tenter de briser le silence qui la foudroie dans des réunions d'émotifs anonymes et Benoît Poelvoorde se livrer à son psychologue, on ne se frotte que très peu à leur jeunesse, la naissance de cette timidité et les appréhensions passées ou les histoires d'amour ratés qui les définissent comme ces deux grands enfants qu'on aperçoit dans la chocolaterie. L'idée de leur faire se bouleverser leur quotidien dans un monde de chocolat est une idée agréable tant le goût et l'odeur de celui-ci représente parfaitement la manière dont il vivent cette romance, aussi sucrée et craquante, coupable et en même temps innocente.

Il n'y en a pas un pour faire le premier pas.

Les émotifs anonymes est une comédie douce-amère que l'on déguste et qui apporte un peu de gaieté et de renouveau dans la manière d'aborder l'amour dans le cinéma français. Rien d'exceptionnel dans tout ça mais ça dure si peu de temps que ça serait dommage de passer à côté de cette rafraîchissante histoire d'amour.

6,5/10

[Mark Chopper]

Tu le vends bien : je l'ajoute à ma liste