Modérateur: padri18
dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs
noname007 a écrit:N'oublie pas de mettre ta cagoule avant de sortir ...il fait froid dehors . Si tu n'en as pas, je peux t'en louer une Avec, elles ne pourront pas te résister
Jeff Buckley a écrit:Je ne sors jamais sans cagoule voyons...
Toulouse: il se fait abattre de 46 balles dans le corps pour avoir demandé un « pain au chocolat »
C’est une histoire qu’on préférerait être une blague. Mais la tragédie, elle, est bien réelle. Hier aux alentours de 16H15, dans une boulangerie du centre-ville de Toulouse, Benjamin Malot, un jeune touriste parisien de 26 ans a été brutalement mis à mort. Son crime ? Avoir demandé à la boulangère un « pain au chocolat » et non une « chocolatine » comme on l’appelle dans le sud-ouest. Récit.
Un drame à cause d’une viennoiserie
Liliane, 52 ans a été le témoin privilégié de ce terrible fait divers qui s’est déroulé dans cette petite boulangerie située à deux pas de la basilique Saint-Sernin : « Le garçon est entré tout souriant dans la boulangerie. La boulangère était très gentille également. Très polie, comme à son habitude. Puis il a fait sa commande et c’est là que ça a dégénéré. »
Benjamin Malot demande alors un sandwich nordique, un canette de soda mais surtout demande un « pain au chocolat ». Ignorant qu’à Toulouse et dans la région, les habitants appellent ça une chocolatine. La boulangère entre alors dans une violente colère, comme le raconte Liliane : « Elle s’est mise à lui crier dessus, en lui disant « C’est à moi que tu parles ?! C’est à moi que tu parles ?! »
La patronne sort ensuite un pistolet semi-automatique 9mm et le décharge intégralement et à bout portant dans la poitrine du touriste parisien. Plusieurs minutes passent, la boulangère semble se calmer. Elle enchaîne même quelques commandes de clients entrés dans sa boulangerie entre temps.
Patrick fait partie de ces clients arrivés sur place après le début de l’incident : « On la sentait encore sous pression. Je lui ai demandé ce qui se passait. Elle m’a raconté le comportement de cet homme puis elle s’est à nouveau énervée et s’est remise à tirer sur lui alors que de toute évidence il avait l’air déjà mort. »
Sylvie, la boulangère enragée tire donc à nouveau sur le cadavre de Benjamin Malot. Les témoins affirment l’avoir vu recharger trois fois son arme et les policiers chargés de l’affaire ont également confirmé la présence de 46 balles dans le cadavre du jeune homme.
Une province qui se radicalise ?
Si cette nouvelle a semble-t-il indigné bon nombre de personnes, à Toulouse et dans le Sud-Ouest, on essaie de relativiser la gravité de ce crime : « On se renseigne un peu sur les traditions et les coutumes de l’endroit où on se rend. C’est comme si je décidais d’aller à la Mecque avec une caricature de Mahomet sur mon T-Shirt. Ce qu’il a fait là le gars, c’est plus de l’inconscience qu’autre chose. » commente un autre habitué de la boulangerie toulousaine.
Ce fait divers, même s’il devrait être classé sans suite par la justice toulousaine, pourrait bien porter à conséquence à l’échelle nationale. En effet, ce genre d’incidents semble se multiplier un peu partout sur le territoire et les pouvoirs publics se disent « vraiment très très inquiets ». On se souvient notamment qu’il y a 2 mois, une famille originaire de Lille avait été lynchée à mort sur la place de la Victoire à Bordeaux pour avoir appelé par mégarde une « poche » un « sac ».
La Rédaction
L’Urssaf arnaquée par... Durssafa
En ajoutant deux lettres au libellé de chèques destinés à l’Urssaf, les escrocs détournaient l’argent vers une société fictive. La technique leur a rapporté 18M€.
En ajoutant simplement deux lettres sur des milliers de chèques libellés à l’ordre de l’Urssaf, en charge de la collecte des charges sociales et fiscales d’entreprises, les escrocs sont parvenus grâce à détourner près de 18 M€ en l’espace de deux ans.
C’est, sans doute, l’une des escroqueries les plus simples, voire rudimentaires, jamais mises au jour par la police. Une arnaque de « bout de ficelle », mais une tromperie à la redoutable efficacité. En ajoutant simplement deux lettres sur des milliers de chèques libellés à l’ordre de l’Urssaf, en charge de la collecte des charges sociales et fiscales d’entreprises, les chefs de ce réseau sont parvenus grâce à la modification d’Urssaf en Durssafa à détourner près de 18 M€ en l’espace de deux ans.
« Et cette somme n’est pas exhaustive, estime un haut fonctionnaire. Ils ont multiplié les arnaques de ce type un peu partout en France. »
Trois hommes, soupçonnés d’appartenir à ce réseau d’escrocs chevronnés, ont été mis en examen, le 29 mars, par un magistrat à Lille (Nord), avant d’être écroués. Deux premières vagues d’arrestations, impliquant 13 autres suspects, avaient été lancées en novembre 2012 et février dernier. Sept d’entre eux avaient ensuite été placés en détention provisoire.
Après plusieurs mois d’investigations, les enquêteurs de la division économique et financière du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen (Seine-Maritime) ont remonté la piste de cette organisation structurée autour d’un ressortissant pakistanais, passé maître dans l’art de la falsification et du montage de sociétés écrans. L’homme avait déjà été arrêté à l’orée des années 2000 pour escroquerie.
« Cette arnaque repose sur une manipulation d’une rare simplicité, poursuit la même source. Sur chaque chèque rédigé à l’ordre de l’Urssaf, les aigrefins ajoutaient un D devant le nom de cet organisme, et un A derrière, pour obtenir le libellé Durssafa. Ils avaient préalablement créé une société éponyme. Il ne leur restait plus qu’à encaisser les chèques falsifiés sur les comptes de cette entreprise qui n’a jamais eu ni salarié, ni activité réelle. »
Pour récupérer suffisamment de chèques, le principal commanditaire, âgé de 50 ans et domicilié à Viry-Châtillon (Essonne), avait recruté un complice, spécialisé dans le vol de lettres dans les sacoches des facteurs. « Il ciblait les postiers qui effectuaient des tournées sur l’esplanade de La Défense (Hauts-de-Seine), siège de nombreuses grandes entreprises, détaille un enquêteur. Il piochait, tous les jours, une dizaine de courriers, au hasard. L’Urssaf est la principale victime. Ils sont même parvenus à dérober une lettre de change d’une valeur d’un million d’euros avant de l’encaisser après l’avoir modifiée. Ils achetaient aussi des chèques volés dans le quartier Château-Rouge à Paris. »
Pour éviter d’être démasqués, les faussaires ont décliné le nom Durssafa en Durssafa.com ou Durssafa.bat. Ces entreprises étaient, tour à tour, spécialisées dans le commerce de gros de composants et d’équipements électroniques, la pose de vitres ou bien encore le BTP. Une vingtaine de sociétés « coquilles vides » ont ainsi été identifiées. « Ce réseau était capable de créer une société écran par semaine, souligne un proche de l’affaire. Ceux qui en avaient la charge percevaient 3000 €. Les petites mains missionnées pour récupérer l’argent détourné après divers transferts entre entreprises touchaient 500 €. » La majeure partie des 18 M€ a probablement été transférée vers le Pakistan.
Source: Le Parisien
comICS-soon a écrit:Toulouse: il se fait abattre de 46 balles dans le corps pour avoir demandé un « pain au chocolat »
C’est une histoire qu’on préférerait être une blague. Mais la tragédie, elle, est bien réelle. Hier aux alentours de 16H15, dans une boulangerie du centre-ville de Toulouse, Benjamin Malot, un jeune touriste parisien de 26 ans a été brutalement mis à mort. Son crime ? Avoir demandé à la boulangère un « pain au chocolat » et non une « chocolatine » comme on l’appelle dans le sud-ouest. Récit.
Un drame à cause d’une viennoiserie
Liliane, 52 ans a été le témoin privilégié de ce terrible fait divers qui s’est déroulé dans cette petite boulangerie située à deux pas de la basilique Saint-Sernin : « Le garçon est entré tout souriant dans la boulangerie. La boulangère était très gentille également. Très polie, comme à son habitude. Puis il a fait sa commande et c’est là que ça a dégénéré. »
Benjamin Malot demande alors un sandwich nordique, un canette de soda mais surtout demande un « pain au chocolat ». Ignorant qu’à Toulouse et dans la région, les habitants appellent ça une chocolatine. La boulangère entre alors dans une violente colère, comme le raconte Liliane : « Elle s’est mise à lui crier dessus, en lui disant « C’est à moi que tu parles ?! C’est à moi que tu parles ?! »
La patronne sort ensuite un pistolet semi-automatique 9mm et le décharge intégralement et à bout portant dans la poitrine du touriste parisien. Plusieurs minutes passent, la boulangère semble se calmer. Elle enchaîne même quelques commandes de clients entrés dans sa boulangerie entre temps.
Patrick fait partie de ces clients arrivés sur place après le début de l’incident : « On la sentait encore sous pression. Je lui ai demandé ce qui se passait. Elle m’a raconté le comportement de cet homme puis elle s’est à nouveau énervée et s’est remise à tirer sur lui alors que de toute évidence il avait l’air déjà mort. »
Sylvie, la boulangère enragée tire donc à nouveau sur le cadavre de Benjamin Malot. Les témoins affirment l’avoir vu recharger trois fois son arme et les policiers chargés de l’affaire ont également confirmé la présence de 46 balles dans le cadavre du jeune homme.
Une province qui se radicalise ?
Si cette nouvelle a semble-t-il indigné bon nombre de personnes, à Toulouse et dans le Sud-Ouest, on essaie de relativiser la gravité de ce crime : « On se renseigne un peu sur les traditions et les coutumes de l’endroit où on se rend. C’est comme si je décidais d’aller à la Mecque avec une caricature de Mahomet sur mon T-Shirt. Ce qu’il a fait là le gars, c’est plus de l’inconscience qu’autre chose. » commente un autre habitué de la boulangerie toulousaine.
Ce fait divers, même s’il devrait être classé sans suite par la justice toulousaine, pourrait bien porter à conséquence à l’échelle nationale. En effet, ce genre d’incidents semble se multiplier un peu partout sur le territoire et les pouvoirs publics se disent « vraiment très très inquiets ». On se souvient notamment qu’il y a 2 mois, une famille originaire de Lille avait été lynchée à mort sur la place de la Victoire à Bordeaux pour avoir appelé par mégarde une « poche » un « sac ».
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