Pierre angulaire de la carrière de john milius , l’adieu au roi c’est un peu ou tout ce rejoint au niveau de ces influences , de ces valeurs , de sont expérience acquise jusqu’alors après ces réalisation et scénario et élever au rang de film somme , ce qui est fait sont film le plus riche , le profond , le plus intelligent aux cotes du lion et le vent , Conan lui était légèrement a part ( mais biensure pas moins bon , bien au contraire ) car bien qu’étant totalement réapproprier et traiter par la patte de sont réalisateur , il en avant tout encrer dans sa propre mythologie ( et hop , je place rapidement mon top 3 du mec ) .
Milius on le répète a chaque fois, c’est avant tout un conteur hors pair, fasciner par le simple fait de bien raconter une histoire, la transmettre. Ces influence littéraire et choix de carrière vont toujours dans ce sens , Conrad et sont cœur des ténèbres raconte un voyage qui deviendra le chef d’œuvre de Coppola , de même que kipling dans le film adapter par huston ( tout 2 ouvertement citer dans l adieu au roi ) , les nombreux récit de Roosevelt et biensure le conan de howard ou encore sa semi autobio dans Big Wednesday .
Ca transparaît toujours dans la construction et narration de ces films et script. Il y mélange déclaration factuelle encrant ces personnages dans un contexte réaliste, souvent historique bien définit , et développe autour tout un tas de détails et information qui nous sont délivrer a l’écran de la même manière que la lecture d’un roman , élargissant ainsi la mythologie de ces histoires ( flagrant sur jeremiah johnson et rough riders ).
L’adieu au roi c’est donc comme je le disait la boucle qui est boucler chez milius , il c’était a la base déjà inspirer du roman de schoendoerfer pour la narration de conan ( que milius auto cite en retour dans l’adieu au roi ) et de huston pour sont lion et le vent ( ou il jouait un rôle en passeur de témoin ) et ici évidemment milius fait sa version de l’homme qui voulut être roi avec sont identités bien personnel et une forte dose d’apocalypse now ( l’homme blanc , ex militaire carriériste , au plus profond de la jungle régnant sur une communauté et rejetant la folie de la civilisation , et ici milius assouvit le fantasme de millions de fan qui était un peut rester sur leur faim sur le coter trop mystérieux de Kurtz , du coup ici on a presque une fausse suite qui nous développe beaucoup plus les intention et état d’esprit de personnage de brando qui est bien plus qu’un parallèle avec celui de nolte ) . Ainsi le film s’ouvre comme presque toujours sur une citation, et le film est développer via des procéder tel que la voix off omnisciente du soldat anglais et en alternance de nolte lui-même.
Et puis au sain même du récit, le personnage du roi s’assoie quelque instant pour raconter lui-même, sa propre histoire et la flashback démarre, non seulement pour compléter sont background mais aussi pour la transmettre aux soldat anglais sur place. Au delà de toute description rationnel et pragmatique, milius laisse traîner encore une fois ici des petite réflexion philosophique rendant ces personnage légendaire, mythique a travers une iconographie divine et paradisiaque ici personnifier par le roi et sont destin final qui laisse court a l’imagination après sa liberté et de nouvelle aventures qui l’attende apres une scene final d'une beaute sans nom , Life english ! . (on a en plus l’ennemis montrer comme des fantômes mangeur de mort renvoyant a conan notamment , mais aussi le rite indien et retour a la sauvagerie de red dawn ) …
Qui dit milius , dit dialogue , et la c’est du nectar ou chaque mot a un sens . Non seulement ça sonne bien cool a l’oreille (il manie la punchline et caractérisation des personnage par leur déclaration comme personne ) mais c’est aussi très subversif au plusieurs niveau de lecture .
- What dou you want ?
- Freedom
- Anything else ?
- Yes , guns , so they can’t take the freedom away
- ok , I’ll see what I can do
- Oh , and mine , grenades and mortar , so they can’t take our guns away
On peut très bien voir le film comme une superbe aventure guerrière tropical digne de ces modèle de l’age d’or traditionaliste hollywoodien ( tout comme le lion et le vent ou rough riders , qui sont de vrai divertissement qui plaisent, comme du ford , du lean , que cite encore une fois milius dans l adieu au roi mais qui recèle une virulence portant tout les thème de leur auteur ) mais en profondeur rien n’est anodin dans les mot choisit et l’anarchiste zen comme il s’auto proclame est projeter a travers le personnage du roi , prêt a tout pour avoir la paix , plaire autour de lui , mais quand il s’agit d’imposer ces idées , le messages est clair et direct comme un balle ( tout les dialogue de note sont a double sens et hautement métaphorique , c’est le panard ).
milius balance ces messages avec un intelligence et talent rare et ces autres modèles ( red dawn qui est devenue le film pop corn 80’s a double tranchant par excellence ou encore flight of intruder , faux top gun complètement détourner par la hargne milusiene . Dommage que sont script sur Geronimo soit malmener , car on y aperçoit tout ces élément , l’historique , le belliqueux et le légendaire via une narration romanesque , film a revoir et réévaluer tout de meme pour ma part même si le point de vue a complètement ete changer ) que sont entre autre peckinpah et ça se récent complètement dans la construction du film .
La dualités paradoxale des thèmes et valeur aussi bien cinématographique de milius ( un pied dans le classique conservateur , et un pied dans l’anarchie provocatrice ) que idéologique offre toujours des films très riches et ici on a un panel complet de la nature humaine , de la guerre et composer de scène de pur cinéma ( oui ça parait con a dire mais milius c’est un mec qui fait du pur cinéma , comprendra qui pourra , ou la narration et image prime ) . Concrètement une première heures faite de noblesse, compréhension et découverte tissant notamment une belle histoire d’amitié, et après un raid aérien japonais , Nolte demande des guns et un support militaire aux anglais et c’est partie pour 1 heure de commando dans la jungle car il lui fallait bien un conflit guerrier a milius ! (et personnellement j’y voit une énorme filiation dans le rambo 4 de stallone, tout est la l'ideologie , le paradoxe , les intention , le complexites . Le message , la forme . j'y est jamais trop penser ni vue le reprochement ou filliation . Les valeurs , le personnage de rambo , sa place dans le monde et ou on le decouvre au debut du film , sa relation avec les autochtone , et puis le personnage Nolte et sont parcoure .....l'intervention des soldat anglais dans le film de milius , leur alliance avec le roi nolte , dans se cadre exotique , barbare , retour a la sauvagerie , la guerre , l'enemies japonais , le commando ..de l'autre coter , les interventioniste humanitaire qui demande l'aide a rambo et se heurte a la milice birmane .... la construction des films )
La fleure de bananier au fusils , les indigènes s’entraîne au fusils tout souriant , les femmes sont l’égal des hommes au combat defendant leur foyer et progeniture , et la militarisation de la tribus est vue comme leur seul salut face a la menace ennemis ( thème principale de red dawn passer loin au dessus de la tête de la critique ) .
Pour un tel film porter par un tel personnage il fallait une performance de haut vol , et nolte est magistrale , rien de moins , chaque étape de sont personnage est bluffant , sa genèse quand il court dans la jungle en hallucinant , fuyant sont escouade , c’est du lourd . On le sent totalement investit dans sa tribu et sont règne , rapidement on se met a la place du soldat anglais avec cette cause qu’on fait notre . et quand Le roi decide de ne plus lever la main sur un autre hommes apres une scene de massacre estomacante , et bien on sent la sagesse et sincerites parler .
Et puis tout le reste suis , basil poledouris reste fidèle a sont amis et sont score est somptueux , exotique et épique aux sonorités proche de goldsmith ( rappelant le lion et le vent ) et jarre soulignant encore plus l’héritage de david lean dans ce film en particulier ( river kwai biensure ! ) , d’ailleur Poledouris devant faire le score de danse avec les loups après que costner est craquer sur Lonesome dove ( scorer par poledouris donc ) mais fut retarder sur ce film ( ou peut etre bien intruder je sais plus trop ) , mais les 2 cinéaste se partageront le DP de la fameuse épopée westernienne culte , et ainsi Dean semler après avoir shooter lonesome ( et évidemment mad max 2 entre autre ) ira insuffler sont sens du panorama , du cadre et profondeur de champ avec un naturalisme exaltes old fashion , aussi bien a l’adieu au roi qu’au chef d’œuvre de costner , tout les lien sont boucler , et sur la forme le film est somptueux . C'est l'un de ces films ou la jungle prend vie . ( dommage que le dvd soit juste correct , pas moche mai y a moyen avec un improbable blu ray , d’avoir une image a tomber ).
2 heure de grand cinema . intelligent , prenant , visceral et puissant dans l'emotion ( la derniere scene c'est superbe , une conclusion aussi belle de sens et formel que celle du lion et le vent ) aventure , guerre , evasion , phylospohie , c'est merveilleux