Le dernier Chateau
7/10
Eh bien c’est fort divertissent ce thriller d’action carcéral ! 2h05 et on s’emmerde jamais , au contraire , après une tension bien construite pendant une grosse moitié du film , on se retrouve avec un film de siège vue de l’intérieur , le concept de prise de château , qui normalement empêche les gens de rentrer , mais celui les empêche de sortir , sur une stratégie moyenâgeuse fonctionne carrément tant les perso sont des figure model d’un autre age et totalement fonctionnel pour un récit qui se lâchera dans un long et généreux climax de plus de 30 minutes qui commence comme une émeute élaborer de façon très ludique et fini en guerre civil interne !
On dirait un peu un long métrage prison break avec multiplicité de personnages qui décrivent un vrai panel carcéral réaliste, avec leur conflit , leur mœurs , leur violence et dynamique social ( et pis y as brian goodman et moi j’adore brian goodman ) , en plus le faite que ce soit une prison militaire rend le truc un peu original autant coter détenue que sécurités , mais écrit par milius pour les thème et tonalites et réaliser par fuqua pour le réel plaisir de spectateur pris devant un divertissement a papa bien généreux en action explosive , univers viril et plein de bravoure ! c’est un peu la version actioner de luke la main froid , brubaker ( par rapport au stallone , c’est moins humaniser mais plus percutant avec la même dose de sentimentalisme un peu facile )
Alors oui le pitch est un peu ( beaucoup ) con con et les personnages servent facilement le propos du film , et puis si on gratte un peu l’écriture on peut accabler le film de tout les tort , mais ce serais prendre le film trop au sérieux , une tel improbabilités assumer de bout en bout et qui livre la marchandise autant sur le duel psychologique ( jeu d’échec a hauteur d’homme et d’armer improviser c’est bien sympas ) que sur le déferlement d’action sur la fin du métrage , ben moi ça me rappelle le remake de red dawn justement dans les intentions , sauf que la c’est quand même un peu plus riche en perso et enjeu , bref plus développer et puis on peut meme y voir un message post 9/11 avec la faillite militaire et l’hymne au petit soldat
Ca y va lourd sur les symbolique militaire, mais justement autant elles sont glorifier dans le camp de redford et ces prisonniers a l’honneur bafouer, autant elle sont bien maltraiter dans le camp de gandolfini et sa bande d’incapable qui ridiculise le drapeau et institution ricaine.
Donc oui, les personnages sont bien manichéens (les gardes c’est des gros facho, meurtrier et protéger par leur galons , et les prisonniers sont non seulement bien plus finot , de meilleurs soldat , mais aussi tout simplement des hommes meilleurs ! ) et facilite de prendre position mais il y a quand même ici et la des perso qui viennent nuancées les camp et apporter un dilemme moral certes qui vole pas haut mais fait avaler la pilule sans qu’on trouve le fond douteux .
Y a le débile de service ( clifton collins qui en fait beaucoup comme souvent ) qui se sacrifiera pour sa cause et fera fondre le général déchut ( redford ) et lui faire livrer une dernière bataille ( surtout après sa court martial qui fait un peu tache dans sa carrière parfaite ) mais il y a aussi le fils ( un mark ruffalo très bien ) du frères d’armes qui ne seras pas si facile que ça a recruter .
Evidemment le duel des têtes d’affiches on la part belle, redford est excellent en caricature du leader parfait, philosophie de la guerre et des troupes qui font mouche a chaque fois , il dégage une vrai sagesse et impose un respect communicatif et face a lui un gandolfini tout aussi génial , qui de prime abord ne sait pas trop comment réagir quand il accueille dans sa prison un de ces héros et modèle en tant que détenue . Le début du film sur cet aspect est traité de manière bien ambiguë et on est un peu dans l’inconnue, c’est bien. Ça se perd par la suite avec des enjeu très simplifier mais l’action fait sont apparition . Gandolfini passe du mec sans assurance , plein de doute , a une sorte de hulk en treillis , il montrera toute sa tyrannie quand il comprendras que sont héros n’a pas les même valeur que lui qui n’est pas un homme de terrain mais de protocole ( delroy lindo bien en remettre une couche la dessus ) et donc la rébellion se met en marche et le climax est vraiment bien torcher et s’étale bien et exaltant . Plusieurs forme d’assaut sont employer, c’est carrément pas timide , pis le film est bien R pour une production dreamworks c’est étonnant .
J’ai bien aimer la photo grisâtre au ton bleuter et puis ça reste cadrer et filmer de façon classique et lisible , ici la forme est en relation au fond old school , aucune effet de style ou montage post moderne , c’est en scope et jerry goldsmith sort un score comme a l’époque de patton !
On dirait un peu un long métrage prison break avec multiplicité de personnages qui décrivent un vrai panel carcéral réaliste, avec leur conflit , leur mœurs , leur violence et dynamique social ( et pis y as brian goodman et moi j’adore brian goodman ) , en plus le faite que ce soit une prison militaire rend le truc un peu original autant coter détenue que sécurités , mais écrit par milius pour les thème et tonalites et réaliser par fuqua pour le réel plaisir de spectateur pris devant un divertissement a papa bien généreux en action explosive , univers viril et plein de bravoure ! c’est un peu la version actioner de luke la main froid , brubaker ( par rapport au stallone , c’est moins humaniser mais plus percutant avec la même dose de sentimentalisme un peu facile )
Alors oui le pitch est un peu ( beaucoup ) con con et les personnages servent facilement le propos du film , et puis si on gratte un peu l’écriture on peut accabler le film de tout les tort , mais ce serais prendre le film trop au sérieux , une tel improbabilités assumer de bout en bout et qui livre la marchandise autant sur le duel psychologique ( jeu d’échec a hauteur d’homme et d’armer improviser c’est bien sympas ) que sur le déferlement d’action sur la fin du métrage , ben moi ça me rappelle le remake de red dawn justement dans les intentions , sauf que la c’est quand même un peu plus riche en perso et enjeu , bref plus développer et puis on peut meme y voir un message post 9/11 avec la faillite militaire et l’hymne au petit soldat
Ca y va lourd sur les symbolique militaire, mais justement autant elles sont glorifier dans le camp de redford et ces prisonniers a l’honneur bafouer, autant elle sont bien maltraiter dans le camp de gandolfini et sa bande d’incapable qui ridiculise le drapeau et institution ricaine.
Donc oui, les personnages sont bien manichéens (les gardes c’est des gros facho, meurtrier et protéger par leur galons , et les prisonniers sont non seulement bien plus finot , de meilleurs soldat , mais aussi tout simplement des hommes meilleurs ! ) et facilite de prendre position mais il y a quand même ici et la des perso qui viennent nuancées les camp et apporter un dilemme moral certes qui vole pas haut mais fait avaler la pilule sans qu’on trouve le fond douteux .
Y a le débile de service ( clifton collins qui en fait beaucoup comme souvent ) qui se sacrifiera pour sa cause et fera fondre le général déchut ( redford ) et lui faire livrer une dernière bataille ( surtout après sa court martial qui fait un peu tache dans sa carrière parfaite ) mais il y a aussi le fils ( un mark ruffalo très bien ) du frères d’armes qui ne seras pas si facile que ça a recruter .
Evidemment le duel des têtes d’affiches on la part belle, redford est excellent en caricature du leader parfait, philosophie de la guerre et des troupes qui font mouche a chaque fois , il dégage une vrai sagesse et impose un respect communicatif et face a lui un gandolfini tout aussi génial , qui de prime abord ne sait pas trop comment réagir quand il accueille dans sa prison un de ces héros et modèle en tant que détenue . Le début du film sur cet aspect est traité de manière bien ambiguë et on est un peu dans l’inconnue, c’est bien. Ça se perd par la suite avec des enjeu très simplifier mais l’action fait sont apparition . Gandolfini passe du mec sans assurance , plein de doute , a une sorte de hulk en treillis , il montrera toute sa tyrannie quand il comprendras que sont héros n’a pas les même valeur que lui qui n’est pas un homme de terrain mais de protocole ( delroy lindo bien en remettre une couche la dessus ) et donc la rébellion se met en marche et le climax est vraiment bien torcher et s’étale bien et exaltant . Plusieurs forme d’assaut sont employer, c’est carrément pas timide , pis le film est bien R pour une production dreamworks c’est étonnant .
J’ai bien aimer la photo grisâtre au ton bleuter et puis ça reste cadrer et filmer de façon classique et lisible , ici la forme est en relation au fond old school , aucune effet de style ou montage post moderne , c’est en scope et jerry goldsmith sort un score comme a l’époque de patton !