Un film unique et incomparable , totalement optimiste , féerique , même si il s’inscrit dans la ligner et la tradition de fable humaniste et fantastique a la frank capra ( ouvertement citer via It’s a wonderfull life dans le film évidemment ) , cet authentique chef d’œuvre du feel good movie avec une réel profondeur philosophique est une expérience dont on en ressort bonifier en tant qu’être humain , et comme toujours , un film complètement a l’image de la personnalités et valeur de sont acteur principale a savoir , la simplicité d’un vie familiale faite du travaille ( ray est fermier ) , la poursuite d’un rêve démodes et personnel au-delà des obligation social contemporaine et puis ce qu’on ne découvre que tard dans le film : une relation paternel a la puissance émouvante foudroyante .
Field of dreams réussit a combiner un scénario passionnant offrant une sorte de jeu de piste, d’enquête nébuleuse, ou un héros doit recoller les morceaux de ces visions et voix, tout en piochant dans sont propre passer et la mémoire collective américaine avec sont hobby emblématique et favoris en background et fil rouge (le baseball ) qui relie les gens et destiner . Des destins qui ici n’on pas de barrière entre paradis et terre encore moins entre les époques, le mélange fluide et le glissement entre le fantastique et le rationnel se fait dans le naturel le plus enchanteur, aucun effet spécial clinquant, ici tout ce fait au même plan avec une mise en scène nous faisant tout comprendre et souligner par une ambiance visuel unique, une photographie posant un atmosphère ou tout est possible.
D’entrer de jeu il faut accepter bon nombre de signe du destin et élément surnaturel qui font du film une fable tout ce qu’il y a de plus positive, pas un poil de cynisme ne parcoure le métrage, on nage en pleine féerie qui grâce a la persévérance et l’enthousiasme de ray ( et puis ça commence directement , pas d’exposition sur explicative et le film dure juste 1h40 , parfait , allant droit au cœur de l’intrigue ) . Coster ici au début de sa carrière montre encore une fois ces énorme capacités a créer des personnage proche de gens simple, le « guy next door » au charme communicatif, dégageant une bonté et détermination qui convaincras tout ces futur compagnon dans sa quête qui pourrais quand même lui causer sa perte. Et la de manière très intelligente et subtile le script se permet de traiter de plusieurs autres terme grâce au contexte des perso et l’epoque. Les hippies des 60’s on grandi et doivent maintenant vivre comme des adultes productif ( le couple de ray au détour de scène conjugal apporte un commentaire suffisant pour traiter le sujet , de même que le risque de perde sa ferme ) , la société américaine aussi évolue et ces fantômes de joueurs déchut sont la pour nous faire passer ces messages bien plus profond que simplement venir jouer dans le champ de ray , bref la parabole du traditionalisme relayer par le baseball a travers les générations et l’americana est simplement magistrale .
A ce titre, chaque rencontre que ray fera sera un élément étoffant encore plus le fond du film tout en avançant dans sont idéalisme brisant toute les barrière de la réalités désabusé du quotidien de ray.
James earl jones interprète un écrivain militant célébrer puis reclus qui a laissé derrière lui ces convictions et les retrouvera au contact de ray. Pareil pour le magnifique Burt lancaster qui se voit offrir un role a la hauteur de sa classe et talent, sont charisme déborde de l’écran et il s’avère même très émouvant.
Il va de même pour un jeune ray liotta qui sera le passeur de témoin entre les esprits de ces joueurs à la réputation bafouer dans un rôle iconique qui élève constamment le film.
Sans en faire des tonnes dans le virevoltant, la réalisation est exemplaire, nous faisant croire et accepter toute les situations les plus farfelue et puis il y a vraiment un atmosphère unique qui se dégage de ces images, ces paysages, avec une lumières absolument divine qui enveloppe le tout de manière fascinante.
Evidement on peut très bien tomber amoureux du film sans aimer ou connaître le baseball, ici il ne sert que vecteur de valeur et idéaux mais si on apprécie un peu les codes fédérateur de ce sport au cinéma qui brise les barrière social et conviction politique alors ça n’est que plus jouissif surtout que ce terrain de baseball magique ne fera que de réhabiliter et soigner les âmes de joueurs et personnalités qui on tous eux leur travers, leur vice, leur défauts ayant tous perdue leur rêves.
James horner sort une partition inoubliable n’allant jamais trop dans le larmoyant lors des scène dramatique ni dans le jovial cul cul dans les moment de pure magie collective.
Bref, je me répète, mais un film unique, complètement a part , un prozac pour l’énergie positive intérieur ( on sourit spontanément de réel émerveillement assez souvent ) , un film culte aux états unis , entrer dans la culture national ( bien aider en étant adapter d’un roman sur adorer et nominer a l’oscar du meilleur film ) et constamment citer dans le monde du sport us , en France ou en Europe en revanche c’est inconnue mais compréhensible tant les thèmes sont profondément américain en surface mais dommage car c’est bien de l’humanisme universelle dans le fond qui prime, mais ça c’est trop dure a voir pour les non bouffeur de hot dog .
Une rare merveille , une vrai .