[Alegas] Mes Critiques en 2013

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar zack_ » Mer 20 Fév 2013, 21:28

Si je couche ma critique il rentera dans le top :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar elpingos » Mer 20 Fév 2013, 21:29

Je t'invite donc à continuer sur ta lancée. :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar maltese » Mer 20 Fév 2013, 21:32

elpingos a écrit:
Alegas a écrit:mention spéciale à Kate Winslet touchante et surtout un Jim Carrey qui prouvait pour la troisième fois après The Truman Show et Man on the Moon son énorme potentiel de jeu dramatique. Un excellent film qui s'impose comme l'une des plus belles romances cinématographiques vues ces dernières années. En espérant que Gondry retrouve un jour un tel niveau de qualité.


Et comment ... :super:

Après, en plus chez moi, y a un pouvoir d'identification qui fonctionne à chaque fois (ce duo d'acteurs est génial), qui me rappelle un paquet de trucs, un gros bonus nostalgie qui me fait aimer ce film particulièrement... Mais ça c'est bien perso, et faut avoir vécu un peu pour connaître ça... :wink:


Je ressens le même truc :wink: ce film me parle, me touche directement... Lorsque je l'ai découvert, je crois que ça a été la seule fois depuis mon enfance que j'ai revu un même film quatre ou cinq fois en un mois...
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Mer 20 Fév 2013, 22:20

Ouais Zack balance ta critique, y'a moyen de le mettre assez haut celui là. Pour une fois qu'on aura une romance dans le Top 50. :mrgreen:

Et sinon ouais je conçois bien que c'est un film qui joue beaucoup sur l'identification (Logan aussi a l'air d'avoir ce rapport particulier avec le film), perso même si je m'y retrouve parfois je mentirais si je disais que c'est un film qui me parle totalement, du coup ça se ressent un peu dans ma note.
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Bounty (Le) - 6/10

Messagepar Alegas » Sam 23 Fév 2013, 01:32

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The Bounty (Le Bounty) de Roger Donaldson

(1984)


Vraiment déçu par cette réadaptation du dernier voyage du Bounty qui a le mérite de proposer une orientation clairement à l'opposé de ce qui avait pu se faire auparavant, et notamment en se basant sur des faits jusque là ignorés, à l'image de la fameuse relation entre Fletcher et Bligh qui, dans cette version, sont ainsi amis de longue date. Se voulant plus orienté sur une nuance psychologique prononcée, cette version a néanmoins le défaut de ne pas se donner les moyens d'arriver à ses fins. Ainsi, la courte durée du film (un peu plus de deux heures ne sont clairement pas assez pour un récit de cette ampleur) et le fait d'avoir vu la version de Milestone fait que le film perd véritablement en puissance. L'arrivée à Hawaï est faite après une demi-heure de métrage, et même cette adaptation a plus tendance à insister sur la mutinerie et ses conséquences, force est de constater que l'ensemble ne se distingue que par quelques séquences clés (le final notamment, lourd en symbolique et qui prend a contre-pied ce qu'on a l'habitude de voir ou lire sur la mutinerie, ou encore la violente séquence de Bligh qui découvre de nouveaux indigènes).


La mise en scène de Donaldson n'est pas mauvaise mais manque cruellement d'inspiration malgré des plans larges sublimes par moment et le score de Vangelis, en plus d'être anecdotique, sonne vraiment faux sur plusieurs séquences (en comparaison son travail sur le 1492 de Scott est bien plus réussi). Niveau casting, seul Anthony Hopkins tire réellement son épingle du jeu, Gibson je le trouve rarement mauvais mais là il avait vraiment pas la carrure pour jouer Fletcher et la comparaison avec Brando fait forcément mal (et puis Gibson est typiquement le genre d'acteur qui s'est amélioré avec l'âge) et on a Daniel Day-Lewis et Liam Neeson dans des rôles qui ne leur permette pas de montrer l'étendue de leurs talents respectifs. Un film bancal et inégal dans l'ensemble, vraiment dommage car les intentions étaient vraiment louables. A mes yeux, la version de Milestone est bien meilleure sur tout les points.


NOTE : 6/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Sam 23 Fév 2013, 07:43

a preciser que c'est david lean qui avait montrer et envisioner c'est nouvelle version cinematographique du bounty avec cette optique realiste et fidele des vrais faits , il a bosser dessus en resortant les archives pendant presque 10 ans et c'est donc rien de moin que robert bolt sont fidele scenariste ( jivago , lawrence d arabie , a man for all season ) qui c'est occuper du script que donaldson a recuperer .
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Flight - 8/10

Messagepar Alegas » Dim 24 Fév 2013, 21:56

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Flight de Robert Zemeckis

(2012)


Une fois n'est pas coutume, c'est encore une belle surprise que nous livre là Robert Zemeckis, qui s'impose une énième fois à mes yeux comme l'un des réalisateurs américains contemporains les plus intéressants à suivre. Car certes, le bonhomme n'est jamais à l'abri de faire un mauvais film, mais sa volonté de varier les genres est une qualité rare, tout comme sa façon d'aborder le cinéma de façon différente à chaque œuvre. Après son passage à la performance capture qui aura laissé trois films marquants chacun à leur façon, mais avec la motivation commune et avant-gardiste de prouver les capacités d'une telle technologie à l'industrie cinématographique, Zemeckis revient au film-live plus par contrainte financière que par véritable choix et entreprend finalement de ressortir son astuce éternelle pour retrouver le succès public, à savoir prendre les attentes du public à contre-pied pour mieux le surprendre. A la vision de la promotion de Flight, il était difficile de savoir de quoi allait parler exactement le film, mettant plus en avant le crash d'avion qui n'est finalement que l'élément déclencheur d'un récit beaucoup plus apocalyptique mais à petite échelle.


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Flight est donc avant tout l'histoire d'un homme face à son addiction, celle d'un pilote de ligne perverti par les vices de la vie et qui trouve le bonheur uniquement dans le fond d'une bouteille d'alcool. Le crash de son avion, et le sauvetage miraculeux de la majorité des voyageurs le remettront finalement en question dans ce qui va rapidement devenir un combat pour reprendre sa vie en main. Pourtant, Flight n'est pas seulement un simple script très américain dans l'esprit comme il y paraît à première vue. En effet, Zemeckis permet au film d'avoir un véritable thème sous-jacent avec l'intégration profonde de thèmes religieux qui donnent à repenser le récit comme celui d'une destinée ou d'un acte divin. Beaucoup trouveront ce choix douteux et encore plus seront déroutés par une tentative d'explication que pourtant chacun connaît au moins une fois dans sa vie, mais le fait est que Zemeckis donne à son film une profondeur sans pareille via cette décision risquée, et lui permet surtout d'atteindre une sincérité humaine qui se fait bien trop rare à l'heure actuelle dans les salles de cinéma. Le film est d'autant plus efficace que Zemeckis joue véritablement sur l'empathie entre le spectateur et le personnage présenté, changeant de position à chaque séquence et présentant le pilote à la fois comme une victime, un manipulateur, un manipulé, un incapable, un être abject et enfin comme un être humain à part entière. Un changement de point de vue qui en vient à toucher directement le spectateur qui, obligé de se remettre en question quand à la volonté de voir le personnage se sortir innocenté de ce bourbier, ressort grandi d'un film intelligent qui cache véritablement bien son jeu.


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Comme d'habitude, la mise en scène de Zemeckis se reconnaît à merveille, arrivant à s'effacer devant son sujet tout en livrant des séquences subtilement maîtrisées (la séquence de la découverte de l'autre chambre, qui joue uniquement sur la perception sensitive du spectateur et la symbolique d'objets du quotidien) ainsi qu'un climax monstrueux en début de métrage, où le cinéaste arrive à dépasser en terme d'immersion une situation qu'il avait déjà abordé avec son Cast Away, à savoir le crash d'un avion. Une séquence où le choix des cadrages devient essentiel, et où Zemeckis profite avantageusement du manque de budget pour faire ressentir au spectateur une tension ultra efficace. Enfin, difficile d'aborder un film comme Flight sans évoquer son casting. Denzel Washington livre là ni plus ni moins que sa meilleure performance avec une justesse vraiment étonnante, suivi de près par une galerie de seconds rôles excellente avec notamment John Goodman (qui a droit à une séquence vraiment étonnante par son aspect rentre-dedans), Kelly Reilly, Don Cheadle et Bruce Greenwood. Zemeckis oblige, la composition d'Alan Silvestri est de qualité. Une énième très bonne surprise de la part d'un cinéaste qui a encore beaucoup à revendre. En espérant que le succès de Flight lui permettra d'aborder à l'avenir des projets plus personnels et risqués.


NOTE : 8/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Dim 24 Fév 2013, 22:05

:super:
Je mettrais quand même un véto sur la performance de Goodman qui laisse à désirer.
A vouloir en faire trop, il atténue le côté dramatique des situations et ça rend le récit un peu trouble.


"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ?
- Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Dim 24 Fév 2013, 22:06

C'est un perso cliché et très forcé, je pense que c'est clairement voulu, surtout quand on voit sa dernière séquence.
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Passion - 2/10

Messagepar Alegas » Dim 24 Fév 2013, 22:44

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Passion de Brian De Palma

(2012)


Un film indigne de son auteur, tout simplement. On pouvait espérer de ce Passion un minimum de qualité, étant donné que le film était la possibilité pour De Palma de revenir à plusieurs de ses thèmes fétiches. Et pourtant, force est de constater qu'il nous livre ni plus ni moins qu'un de ses pires films. Visuellement, Passion est d'une laideur stupéfiante, lorgnant clairement vers le téléfilm de mauvais goût qui tente des expérimentations de lumière foireuses, le script fait tellement pitié que ça donne presque envie de voir le film original de Corneau histoire de vérifier si c'est possible de faire pire, et le casting est totalement à la rue, mention spéciale à Noomi Rapace qui a droit à la scène la plus ridicule du métrage (je la décris même pas tellement c'est évident). De Palma est à un niveau tellement bas qu'il en vient à se parodier sur toute la longueur du film. On a donc le droit au twist de Femme Fatale multiplié par cinq (autant dire que l'effet en devient comique), au remake de la fin poussive de Dressed to Kill, à de la double focale qui ne sert à rien et à un split-screen qui ne fait que dissimuler vainement une fausse révélation que l'on voit venir à des kilomètres. Bref, un ratage total qui en devient involontairement drôle. RIP Brian De Palma.


NOTE : 2/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Kareem Said » Dim 24 Fév 2013, 23:06

Donc Femme Fatale (jamais vu) vaut le coup ?
Je dégouté pour Passion, mais je le verrai surement en vidéo.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Dim 24 Fév 2013, 23:44

Femme Fatale ouais c'est bien, on est pas mal à l'apprécier ici alors qu'il a une réputation pas géniale.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Kareem Said » Lun 25 Fév 2013, 01:11

Va falloir que je lui donne sa chance alors. Jusque là il ne m'intéressait vraiment pas.
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Public Enemies - 7,5/10

Messagepar Alegas » Lun 25 Fév 2013, 15:58

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Public Enemies de Michael Mann

(2009)


Seconde vision et je revois clairement le film à la hausse alors que j'en avais un souvenir assez moyen. Michael Mann qui touche au film de gangster, cela avait de quoi nourrir les fantasmes les plus fous, surtout quand il s'attaque à un personnage tel que Dillinger. Pourtant, comme à son habitude, Mann frappe là où on ne l'attend pas et propose un film qui peut véritablement étonner à première vue, le métrage entier étant bourrés de partis-pris qui en rebuteront plus d'un. Tout d'abord, comme souvent chez Mann, on est plus devant le portrait d'une époque que celle d'un homme. Ainsi, Dillinger est avant tout une façon comme une autre pour Mann d'intégrer le spectateur dans un univers aussi particulier, et c'est finalement deux relations, celle entre Dillinger et Purvis et surtout entre le même Dillinger et Billie, qui sont au centre du film. Le script, très classique dans l'écriture et le déroulement, est pourtant plus subtil qu'il n'y paraît puisqu'il décide de reléguer au second plan plusieurs personnages (dont Purvis) pour se concentrer sur la mythologie autour du personnage de Dillinger, ce qui a clairement le mérite d'apporter des séquences très réussies (tout le final et notamment la vision de Dillinger face à un film où il se retrouve totalement en tant qu'homme) et une véritable psychologie au personnage qui en fait à la fois un être attachant et repoussant.


ImageImageImage


Mann fait ici un de ses choix de mise en scène les plus risqués puisqu'il décide Public Enemies avec sa caméra Viper, ce qui a tendance à donner un rendu qui s'oppose particulièrement à l'époque représentée. Un rendu étonnant mais qui, par les choix de cadrage de Mann, trouve un intérêt tout particulier, arrivant à retranscrire un dynamisme qu'il aurait été difficile de trouver avec une caméra classique. Par ailleurs, Mann continue son expérimentation du montage avec des séquences d'action pas forcément lisibles mais totalement immersives. A ce titre, la séquence de fusillade dans les bois est un gros morceau de réalisation, avec une caméra plus proche que jamais des visages, le style de Mann poussé dans son extrême, pour le pire comme pour le meilleur. Johnny Depp en Dillinger était pas forcément le choix le plus évident, et pourtant l'acteur livre là une excellente prestation face à Christian Bale qui souffre vraiment d'un manque de scènes pour exister totalement. Même Marion Cotillard se débrouille vraiment bien en livrant sa meilleure prestation américaine. Un film extrême qui souffre un peu des redites thématiques de son auteur qui a déjà fait bien mieux sur les mêmes sujets, néanmoins Public Enemies est une œuvre indéniablement plaisante malgré son apparence mineur dans la filmographie de Michael Mann.


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NOTE : 7,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Lun 25 Fév 2013, 16:02

tu trouve quoi comme scene de fussilade pas trop visible dans le film ?
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