euu non pas trop , pour un telefilm 80's ca reste tres semblable a tout ce qui se fesait en acting dans les polar cinoch du genre ou serie , miami vice ou des friedken c'etait pareil , bon c'est pas du grand acteur mais jamais ca connote le film nanard jtrouve
C'est clair. Bon y'a peut être la scène de danse qu'est toute pourrave (en plus, ils savent pas danser, il refont toujours les mêmes figures) et c'est surtout les personnages secondaires qui sont à la ramasse mais le casting principal s'en sort bien je trouve.
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
J'arrivais pas à trouver une affiche qui ressemble pas à celle d'un jeu vidéo...
Quand on la regarde, tout est dit: du vide avec quelques éclairs de violence, deux acteurs intéressants (mais pas ceux (in)visibles sur l'affiche) et un look tout droit sorti d'une PS3. Toujours propre que ce soit dans sa mise en scène clinquante ou ses décors sans âme (à l'instar de ses personnages), Gangster Squad se fout de la gueule du monde, à commencer par celle de Sean Penn: sa tronche caricaturale de youpin vénère est sacrément est une sorte de faciès en papier mâché, recraché et remâché pour le rendre immonde. Comme le scénario en fait qui reprend toutes les ficelles de celui des Incorruptibles sans jamais lui rendre un hommage. Ici, on joue clairement dans la catégorie des poids légers, à peine intéressant pour celui qui n'a jamais vu un seul film de gangsters de sa vie.
"- Vas-y, c'est comme ça qu'on fait pour avoir l'air cool ! J'ai vu ça dans Mafia 2 !"
Et pourtant, l’entreprise fait saliver car peu de gens s'intéressent à cette période. En même temps, celui qui s'y attelle passe forcément derrière de très grands noms comme Coppola ou De Palma et le niveau très élevé donne le vertige à celui qui se lance un tel défi. Mais Ruben Fleischer n'a pas peur. Ruben Fleischer, c'est un déglinglo qui additionne les trophées sur sa console en faisant à fond les niveaux de ses jeux vidéos préférés. Du coup, il a terminé plusieurs fois L.A. Noire avec toutes les fins possibles pour savoir comment on donne de la profondeur à son récit et qu'on montre la cité des anges dans les années 50. Et ça, pour nous la mettre profond, y'a pas mieux que lui...
Un enfant doit s'y retrouver vu que l'intrigue ressemble à une baston de cour de récré niveau CE2...
Insipide du début à la fin, le scénariste devait être doué en arts plastiques tant son calque du chef d'oeuvre écrit par Mamet ne permet aucun distinction avec le sien. Du coup, le producteur lui a tapé sur les doigts en lui disant que c'était pas bien de reprendre les devoirs des anciens élèves pour faire croire à un nouveau scénario. Il a donc changé le lieu de l'action, le nom des protagonistes (Al Capone devient Mickey Cohen) et mis des ralentis en argumentant que le bullet time, De Palma il sait pas l'utiliser et c'est passé comme une lettre à la Poste. Mais attention, les frais de port vont douiller. Parce que lâcher 10€ pour voir Gangster Squad, je prend ça comme un viol. Et ma rétine ne s'en est toujours pas remise tant les flashs de couleur, les tons criards des décors et des costumes et la netteté chirurgicale du film lui fait perdre toute humanité.
Emma Stone, 24 ans, rousse, femme fatale. Cherchez l'intrus.
Tout le monde est retouché: prothèses ou botox, maquillages ou lumières flatteuses. Ça ne m'étonne pas que Sean Penn trouvait des adversaires en tant que Mickey Cohen vu qu'on a envie de lui taper dessus rien qu'en le regardant. Emma Stone fait croire qu'elle est mystérieuse et qu'elle a vécu une longue vie et rencontrée plein d'hommes. C'est peut être vrai si son anniversaire tombe tous les 6 mois et qu'elle a commencé à avoir des relations sexuelles au lieu de la tétée. Ryan Gosling n'est présent que pour jouer le beau gosse de la bande qui fait roucouler le public féminin, âgé de 15 à 18 ans. D'ailleurs, Fleischer a vu juste car il lui a attribué toutes les répliques marrantes et les sous-entendus sexuels comme ça on croit qu'en plus d'être un bon acteur, il est trop cool. Nicolas Winding Refn avait vu juste en faisant de lui quelqu'un de mutique dans Drive car il a tellement une voix de fausset que ça en devient gênant lorsque Fleischer filme une discussion avec le cireur de chaussures de 10 ans et qu'ils sont de dos. On a du mal à reconnaître lequel des deux parlent. Les autres ne valent pas mieux, même si on est content de voir Nick Nolte et Robert Patrick le temps de quelques scènes.
Son personnage est sympathique mais Gosling n'arrange rien à l'affaire...
Etant donné que j'étais complètement sorti du film après une heure de tournante subliminale, je me suis attardé sur la musique et les mouvements de caméra. Et il faut reconnaître que même si le réalisateur de ZombieLand a cru bon de faire un HollywoodLand, il arrive tout de même à nous gratifier de quelques bons moments comme ces plans séquences nerveux ou des bouts de fusillades pas trop mal torchés (quand Gosling et Brolin sont à couvert). On reprochera quand même la platitude des personnages qui agissent comme des attardés mentaux ("Allez les gars, on va attaquer le casino de Mickey Cohen sans préparation et sans connaître les lieux.") ou qui ne se posent jamais de questions (ils brûlent un paquet de pognon sans même cligner de l'oeil: ça, c'est des vrais incorruptibles...). Et quand ils s'en posent, Fleischer fait abstraction des déboires de ses personnages pour se concentrer sur l'action (l'expert en renseignement flanche, on lui tape sur l'épaule, il est reparti de plus belle: un vrai coucou suisse).
Sean Penn a longuement médité au musée Grévin pour savoir comment il allait jouer Mickey Cohen.
Je vais rester généreux car comme je le disais, les tentatives de se heurter au monde de la pègre des années 50 se comptent sur les doigts d'une main. Mais si vous recherchez du vrai cinéma, retournez voir vos classiques. Et pour les fans de séries télé, tournez-vous plutôt vers Boardwalk Empire.
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
ben bravo , superbe choix d'image et j'aime bien tes legende en dessous mon western number one , LE film qui le merite le plus :
Merci Je crois que c'est mon premier Approved, tu m'as dépucelé
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
Je vais devoir inventer un nouveau barème pour noter Kurosawa !
Véritable radiographie déshabillant le Japon d'après guerre, Les salauds dorment en paix est une critique sociale glaçante avant d'être un véritable film noir. Axant son intrigue sur une histoire de vengeance mise en parallèle avec la véritable intention du cinéaste qui est de dénoncer ouvertement les hautes sphères de la finance, le film s'avère relativement sobre dans sa mise en scène, accentuant la théâtralité de l'ensemble par des choix de décors et de montage qui sortent du cadre ordinaire du genre. Moins grandiose que ses autres oeuvres dans bien des aspects, Kurosawa pâlie ce besoin de centrer son récit sur un microcosme grâce à un scénario aussi tortueux que peaufiné (5 scénaristes étaient alloués à son écriture).
Kurosawa ne nous laisse avoir aucune pitié pour les fonctionnaires.
Sortant ouvertement du chemin balisé par le film noir, le cinéaste choisit de livrer un long métrage où les cols blancs représentent les gangsters et où leurs seules armes sont des livres de compte. Un violent coup de pied dans la fourmilière bureaucratique qui prend à l'époque du tournage des répercussions sérieuses, le Japon étant alors dans une période d'épanouissement économique. La guerre, véritable éponge sanguinolente ayant endetté le pays, laisse un écho fantomatique persistant dans le climat social des années 50. L'oeuvre de Nishi ne représente ni plus ni moins que le spectre de la défaite.
L'escalade du pouvoir est un jeu qui ne se fixe aucunes règles.
Ce petit jeu du chat et de la souris institué par Nishi (Toshiro Mifune tout en force et en rage contenue) prend des atours diaboliques et pervers. Tel des bouts de fromage abandonnés dans le labyrinthe hiérarchique de son entreprise, il sème des indices troublants une fois les coupables des honteux forfaits reconnus. Et pour se faire, Kurosawa choisit un prologue de près de 25 minutes où le cynisme côtoie la farce, le tout emballé dans une scène de mariage décryptant tous les enjeux et les personnages de la pièce qui se joue sous nos yeux, drame shakespearien en diable (idée qui sera reprise par Coppola pour le premier opus de sa trilogie mafieuse).
Un destin banal que le cinéaste arrive à détourner.
L'arrivée de la violence dans l'intrigue constitue le point de non-retour, la frontière avec laquelle les hauts fonctionnaires flirtent au quotidien. Mu par une envie de vengeance insatiable, Nishi n'est plus que l'ombre de lui même. D'ailleurs, il n'est pas le seul personnage à n'être un simple étendard. Le comptable Wada représente le fonctionnariat, Keiko incarne la corruption et Nishi la justice. Simples hères traversant le monde de la finance, ils vont chercher à le faire basculer de l'un ou de l'autre des côtés, dans des retournements de situations tragiques. Traduisant la perte d'identité au profit de l'expansion d'une multinationale (Wada jouant un fantôme rappelant les démons du passé de l'entreprise, Itakura perdant son nom au profit d'un jeu pervers), l'intrigue noue de nombreux liens entre les personnages et la totalité des acteurs joue un rôle prépondérant dans l'avancée de l'intrigue.
De simples signes peuvent faire basculer une entreprise.
Iwabuchi, le plus pourri des cadres dirigeants, incarne un bad guy des plus originaux. Véritable cerbère gardant précieusement le magot de ses supérieurs hiérarchiques (il ne leur parlera au téléphone qu'à la toute fin), le film termine donc sur une note d'un douloureux pessimisme, renforcé par l'idée que ce directeur général n'est que l'arbre qui cache la forêt des malversations économiques faisant des employés de simples pions sur l'échiquier de la réussite sociale. Plus brutal qu'un happy end qui aurait rendu caduque l'effort global de dénonciation de Kurosawa, cet épilogue tragique témoigne d'une envie d'en découdre et de traduire au monde que l'ambition malhonnête ne sème que chaos et désolation.
L'angoisse de l'échec est représenté de multiples façons, à de nombreuses reprises.
Les salauds dorment en paix flirte de temps à autre avec le fantastique, représentation judicieuse de ce qui échappe à notre contrôle. C'est loin d'être le cas d'Akira Kurosawa qui, malgré des choix très personnels de mise en scène rendant parfois longuets les monologues de Nishi, montre une fois encore qu'il faut savoir dépasser le statut d'un genre pour se l'approprier entièrement. Le film noir n'aura jamais porté un constat aussi sombre sur la société.
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
C'est le troisième film que je vois du maître et c'est la moins bonne note que je lui ai mis pour l'instant. J'ai vu Sanjuro (10) et Entre le ciel et l'enfer (9,5) et je trouve qu'il est à l'aise avec tout ce qu'il touche.
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
Ça n'est que le troisième film d'Álex de la Iglesia que je vois et je dois avouer qu'en plus d'avoir un style particulier, il a toute mon attention. Un crime farpait joue la carte du pastiche du film d'Hitchcock, jusque dans le titre, sensiblement voisins. Loin d'être une vulgaire parodie, c'est une véritable comédie grinçante sur ce besoin irrépressible qu'a l'être humain de vouloir plaire et séduire. Ceux qui passent trop de temps à prendre soin de leur apparence n'ont pas l'occasion d'observer les gens qui les entourent. Et en resserrant son intrigue sous la forme d'un huis-clos aéré, le réalisateur parvient à distiller son point de vue dans son film (de la Iglesia n'est pas un summum de beauté), ayant l'audace d'utiliser un magasin de luxe type Printemps ou Galeries Lafayette comme décor scénique.
On se croirait presque chez les frères Coen.
Avoir un réalisateur de cette trempe derrière la caméra pour une comédie permet de dépasser le stade du divertissement simpliste afin de livrer le niveau supérieur de la décontraction musculaire. C'est vraiment très drôle et très bien écrit, les deux acteurs principaux donnant de la profondeur à leurs personnages. À peine sont-ils esquissés qu'on devine que le cinéaste va vouloir nous les faire apprécier tous deux afin que leurs affrontements nous heurtent beaucoup plus. Une manière intelligente de nous faire choisir qui on victimise et qui on déteste, notre camp découlant naturellement de notre choix.
Le fantastique aide à rendre la mise en scène plus savoureuse.
Certains thèmes chers au cinéaste sont présents, notamment ces clowns qu'on retrouvera dans son Balada Triste ou le choix d'intégrer du fantastique dans la vie quotidienne (lorsque la tête d'Antonito apparaît, j'ai sincèrement pensé à Re-Animator). Basculant entre macabre et humour désopilant (toute l'introduction est géniale), le réalisateur n'oublie jamais de garder le focus sur ces deux personnages, si différents et pourtant si proches (le regard final scelle toute leur relation). Les faisant déambuler dans des plans réfléchis au millimètre (le plan séquence traversant deux voitures est incroyable !), il ne privilégie jamais la mise en scène de peur de rendre sa comédie un peu trop clinique et moins humaine.
La famille - et plus particulièrement l'institution du mariage - s'en prend plein les gencives.
Jamais lourdingue, toujours inattendu, Le crime farpait parvient à mélanger film noir et comédie sociale dans un dosage équilibré, à la technique savamment étudiée pour nous faire passer un agréable moment. Álex de la Iglesia est une valeur sûre du cinéma ibérique et on ne le répétera jamais assez.
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
Nombreux sont les détracteurs de Carpenter qui s'en sont donnés à coeur joie au visionnage de The Ward, racontant à qui voulait bien l'entendre que le cinéaste montrait enfin son vrai visage de tâcheron fainéant. D'autres, fans de la première heure de Big John, se sont laissés aller à quelques critiques teintées de cynisme en prétendant que le roi de l'horreur est mort. Idolâtres de pacotille ! Comment osez-vous reniez votre Dieu et le remplacer par un autre sous prétexte que ses miracles sont moins impressionnants qu'auparavant ? Carpenter n'a plus rien à nous prouver et The Ward, même s'il revêt un caractère mineur dans la filmographie du maître, n'a rien d'un travail de complaisance.
Big John nous ressort ses fameux travellings de The Thing. Efficace !
Sauf que se faisant rare dans le monde du cinéma ces dernières années, le cinéaste a beaucoup à apprendre de ses contemporains. Et au lieu de se contenter de nous ressortir la recette qui a tant fait son succès à l'époque, il préfère adopter une vision plus jeune et s'éprend d'Amber Heard qui résonne fortement dans les sphères horrifiques nouvelle génération (All the boys love Mandy Lane est considéré par beaucoup comme un fleuron du genre alors que j'y voie qu'une belle daube gratuite). Une manière simple d'attirer et les aficionados du monsieur par son nom, et ceux qui ne le connaissent ni d'Eve ni d'Adam par le biais de celui d'Amber. On ne peut pas lui en vouloir surtout qu'ayant disparu des radars beaucoup trop longtemps, tout le monde semblait l'avoir oublié. Et sortir un film porté par son unique nom ne permet pas de rameuter les foules et de faire d'énormes recettes.
Les morts sont sympas mais trop faciles.
Le problème de The Ward provient clairement de son scénario qui lorgne du côté de The Grudge (pour le boogeyman) et Sucker Punch (pour le groupe de filles enfermé dans un asile). Soit deux films qui sont à mille lieux de la filmographie de Carpenter. Même si l'amour du genre est toujours visible, il n'est pas aussi pur qu'avant et on ne peut que regretter les facilités prises par les scénaristes, notamment dans les exécutions aussi sommaires que peu originales. D'ailleurs, le problème vient certainement de là car Big John ayant l'habitude d'écrire ses propres scénarios, sa mise en scène était toujours au service de ses idées. Le plus gros regret que l'on puisse avoir est qu'il ne soit pas autant impliqué que dans le passé. Il ne touche ni à la musique , ni à la production, ni au scénario. Autant dire qu'il a pieds et poings liés mais c'est le seul moyen de faire entendre de nouveau sa voix dans le paysage cinématographique horrifique.
J'en connais une qui va prendre cher...
Après des incursions à la télévision par l'intermédiaire de ces deux segments dans la série Masters of Horror (une Fin absolue du monde tutoyant L'antre de la folie et un Piégée débordant de gore et d'effets artisanaux), John Carpenter n'a cependant pas perdu la main et parvient à bluffer son monde avec une mise en scène soignée (les évasions forcent le respect en terme de gestion d'espace) et une atmosphère angoissante posée en quelques minutes. Amber Heard confirme qu'elle a tout de l'icone du genre en livrant une prestation musclée et en portant le film sur ses épaules, le reste du casting se contentant d'être de pauvres clichés du huis-clos psychiatrique. Même si on connaît déjà le cadeau, l'emballage est joli et laisse planer le doute quand à l'arrivée du climax. Malheureusement, ce dernier est loin d'être exceptionnel et ne permet pas à l'artiste de livrer une dernière peinture aussi talentueuse que les autres, mais une simple esquisse hésitante.
La mode étant au zombie, le règne des animatroniques semble démodé.
C'est émouvant de voir cette flamme vacillante tenter de consumer ses adversaires et d'éclairer à nouveau un cinéma simple mais efficace, où tout passe dans la suggestion et dans l'ambiance plutôt que dans les effets gores et les apparitions monstrueuses. Même si on est très loin du génie auquel on a déjà eu à faire, John Carpenter n'a pas dit son dernier mot et prouve avec The Ward qu'à plus de 60 ans, on peut encore se remettre en question et s'adapter aux désirs du public. Et pour moi, ça sonne plus comme une renaissance que comme une perte de son caractère anarchique.
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ? - Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."