[Alegas] Mes Critiques en 2013

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Jeu 07 Fév 2013, 22:07

Ah bein sérieux j'ai jamais été à 9.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Jeu 07 Fév 2013, 22:08

Chai pas...je me méfie depuis que t'es devenu sénile. :mrgreen:
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Killbush » Jeu 07 Fév 2013, 22:09

Faut les interdire ces putains de notes :mrgreen:
Starting to see pictures, ain't ya?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar osorojo » Jeu 07 Fév 2013, 22:09

J'en ai vraiment un souvenir pénbile perso de cet interminable dimanche de fiançaille. Encore pire qu'un diner de famille auquel t'aurais pas envie d'aller :mrgreen: Si je me rappelle bien, Boon m'avait achevé avec ses dérapages priceless sur le gravier :eheh:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Jeu 07 Fév 2013, 22:09

Je suis allez vérifier mon récap 2009, première page mon topic, film 344, j'avais bien mit 8.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Jeu 07 Fév 2013, 22:09

Y'a pas Dany Boon dans le film....
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar osorojo » Jeu 07 Fév 2013, 22:11

Ah merde, j'ai confondu. Dire si ça m'a laissé un souvenir impérissable. Qui que ce soit, il m'avait gavé :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Jeu 07 Fév 2013, 22:12

C'est à peine deux minutes sur 2h15, abuse pas. :eheh:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar osorojo » Jeu 07 Fév 2013, 22:14

C'est pas faux :mrgreen: Mais j'me rappelle que de ça :chut: :oops:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Jeu 07 Fév 2013, 22:16

Franchement, moi je me rappelais de pas grand chose, je mettais 6,5 de souvenir, et là j'ai été grave surpris. Bon après l'histoire d'amour ça en gavera certains mais le film possède un vrai cachet "à l'ancienne" sur son traitement. Et puis les plans de malade qu'il y a parfois. Nan y'a pas à chier, Jeunet il est capable de faire des mauvais films, mais ça reste un des meilleurs que l'on possède en France.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar osorojo » Jeu 07 Fév 2013, 22:22

Je devais être dans ces eaux là aussi (du 6) quand je l'ai vu. Beau mais longuet et pas super passionnant dans l'histoire. Je lui relaisserai peut être une chance à l'occase alors :super:
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Long dimanche de fiançailles (Un) - 9/10

Messagepar Alegas » Dim 10 Fév 2013, 00:33

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Un Long Dimanche de Fiançailles de Jean-Pierre Jeunet

(2004)


Première vision depuis sa sortie vidéo et je revois grandement le film à la hausse. Dans mes souvenirs, Un long dimanche de fiançailles était un film relativement mineur dans la filmographie de Jean-Pierre Jeunet, alors qu'il est en fait l'une de ses plus belles réussites, tant d'un point de vue technique que sur le plan de l'adaptation. Après le succès inattendu du Fabuleux destin d'Amélie Poulain, Jeunet avait encore à prouver au grand public qu'il était capable de livrer un autre grand succès populaire tout en arrivant à ne pas se répéter. La pression était là, et le choix de Jeunet se tourna étonnamment vers l'adaptation d'un roman au succès honnête, à l'univers très différent de son précédent métrage. Enquête intimiste provoquée par la recherche d'un être cher après la Première Guerre Mondiale, Un long dimanche de fiançailles présentait avant tout des difficultés scénaristiques. Certes, le point de vue abordé était celui d'une héroïne unique, mais les très nombreux personnages secondaires et témoignages faisant parties intégrantes de l'histoire faisaient de l'ouvrage un véritable défi de transposition cinématographique.


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Pourtant, avec un budget très confortable d'une cinquantaine de millions (Jeunet ayant eu les aides de la Warner après le succès d'Amélie Poulain sur le territoire américain), le réalisateur livre un travail d'adaptation remarquable qui doit énormément à son montage. Sur près de 2H15 de film, le rythme ne s'arrête jamais tout en laissant respirer les situations et le moindre personnage traité via un flash-back donne la réelle impression d'exister et ce, malgré les courtes durées d'apparitions (une quinzaine de minutes tout au plus pour la plupart des personnages secondaires). Mais la force du récit vient évidemment dans la façon d'impliquer le spectateur dans la relation de Mathilde et Manech, une relation qui ne se rattache pourtant qu'à de simples flash-back mais qui délivre, via l'acharnement de la jeune femme, une véritable puissance dramaturgique. Contrairement à ce que beaucoup pensaient à l'époque de la sortie du film, le récit ne joue pas la carte du suspense puisque même si le sort de Manech est le point central du métrage, c'est véritablement les rencontres via l'enquête qui s'avèrent être les éléments qui font exister l'univers, et qui dévoilent petit à petit les secrets de la tranchée Bingo Crépuscule.


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Certes, on pourra trouver quelques défauts mineurs dans la narration, notamment quelques ellipses et facilités gênantes du fait que le métrage se veut raconter une enquête où l'on suit le moindre pas de l'héroïne (le personnage du détective est un peu facile sur ce point, ainsi que le passage où l'on retrouve les traces d'une personne allemande rencontrée par hasard dans un café de façon très aisée) mais en l'état, le film est un travail formidable d'adaptation qui n'était pas forcément voué au succès. La réussite est d'autant plus belle que le film est, sur le plan technique, certainement le plus abouti de la carrière de Jeunet. Entre une retranscription magnifique de la Première Guerre Mondiale (et très violente de surcroît), une photographie de Delbonnel à tomber par terre et une mise en scène inspirée où l'on retrouve les mouvements de grue et travellings millimétrés, le film a véritablement de quoi flatter la rétine. La composition musicale n'est pas en reste puisque Jeunet fait appel pour la seconde fois à Angelo Badalamenti qui livre un thème des plus inspirée et qui magnifie certaines séquences du métrage (l'introduction est à elle seul un très grand moment de cinéma en terme d'ambiance).


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Enfin, le casting habituel de Jeunet répond une nouvelle fois présent (ce sera d'ailleurs le dernier rôle de Ticky Holgado) tout en s'étoffant d'une galerie de petits nouveaux assez imposante (Jodie Foster, Albert Dupontel, Jean-Paul Rouve, Clovis Cornillac, Gaspard Ulliel ou même Marion Cotillard dans un de ses meilleurs rôles). Seule ombre au tableau, la présence de Audrey Tautou qui, malgré un jeu convaincant, à vraiment du mal à se renouveler et donne la réelle impression de voir une Amélie Poulain bis même si les deux personnages sont très différents l'un de l'autre. Un excellent film qui s'inscrit aisément parmi les plus belles réussites populaires du cinéma français ces dernières années, clairement l'un des sommets de la carrière de Jeunet, en espérant qu'il retrouve rapidement ce niveau de qualité par la suite.


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NOTE : 9/10
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Copland - 6,5/10

Messagepar Alegas » Lun 11 Fév 2013, 18:08

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Cop Land (Copland) de James Mangold

(1997)


Critique express pour ce film qui ne m'inspire guère. Sur le papier, Cop Land avait tout pour me plaire et ce, malgré la présence de James Mangold qui est un réalisateur dont je suis vraiment pas fan. Un sujet en or, un casting quatre étoiles et l'utilisation d'un Stallone dans un rôle à contre-emploi total, tout était là et pourtant, malgré le fait que j'ai beaucoup apprécié certaines parties du métrage, je ne peux pas réfuté le fait d'avoir été déçu sur le coup. Étrangement, je ne saurais vraiment dire à quel aspect du film la faute incombe, mais le fait est que la construction scénaristique dans son ensemble m'a vraiment gêné, avec la nette impression d'assister à une très longue introduction pour un revirement de situation qui arrive finalement vingt minutes avant la conclusion. Je m'attendais à voir une situation où le personnage de Stallone travaillerait en tant qu'infiltré pour le compte des affaires internes, alors que le film part dans une toute autre direction, préférant montrer la décadence de ce paradis pour flics, ainsi que le tiraillement psychologique d'un homme que la vie n'a pas épargné.


Le film est loin d'être ennuyeux mais ça manque clairement de scènes marquantes, et la seule séquence, hormis l'introduction, qui s'élève au-dessus du lot est vraiment ce duel final très western dans l'esprit, avec une petite astuce de mise en scène qui fait toute la différence. La scène en soi paraît un peu facile, mais le fait est que ça fonctionne parfaitement, et c'est vraiment dommage de constater que tout le film n'est pas de ce niveau. Pour ce qui est du casting, il est monumental, bien évidemment. Le plus surprenant étant de constater que ceux qui tirent leur épingle du jeu ne sont pas De Niro et Keitel, mais bien Liotta (très beau rôle qui aurait mérité d'être un peu plus mis en avant) et surtout Stallone, dans un rôle très proche de celui de son Rocky (personnage naïf et insouciant, qui doit comprendre qu'il ne faut pas attendre de la vie et qu'il faut saisir les opportunités). Clairement pas un film dénué de qualités, mais personnellement j'ai vraiment eu du mal à accrocher.


NOTE : 6,5/10
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Révoltés du Bounty (1962) (Les) - 8,5/10

Messagepar Alegas » Mer 13 Fév 2013, 17:00

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Mutiny On The Bounty (Les Révoltés du Bounty) de Lewis Milestone

(1962)


Une excellente surprise de la part d'un film à la réputation plus que flatteuse. Le Bounty, pour moi, c'était un sujet sur lequel je ne savais pas grand, connaissant vaguement le récit d'une mutinerie qui aurait éclatée à son bord, du coup la vision du film a été l'occasion d'une double découverte. D'une durée quelque peu impressionnante (presque trois heures), Mutiny on the Bounty fait pourtant partie de ce genre de films qui arrivent à captiver, à maintenir l'attention du spectateur tout le long du voyage et surtout à fasciner pour moult raisons dès la première image. Le film se veut clairement être l’œuvre définitive sur le sujet et ainsi dépasser son statut de réadaptation d'un sujet déjà traité au cinéma par le passé, et notamment en mettant d'énormes moyens de son côté un spectacle maximum doublé d'un travail attentionné sur les personnages dont les relations sont véritablement le cœur du métrage. Mutiny on the Bounty est donc avant tout l'histoire d'un voyage, mais aussi et surtout celui de la rivalité naissante entre deux hommes qui, par leurs origines sociales puis par leur ambitions de vie différentes, vont finalement devenir ennemies. Chose surprenante, la fameuse mutinerie qui se veut être le véritable climax du film n'apparaît qu'après deux heures de film. Car celui-ci cherche avant tout à justifier les intentions et actes de chaque membre de l'équipage, et si ces deux premières heures pourront paraître à certains comme une gigantesque introduction, ce sont finalement ces évolutions et caractérisations qui rendent le film vraiment passionnant à suivre.


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Car si le récit ne suit finalement que trois personnages en particulier, le spectateur aura réellement l'impression de connaître peu à peu chaque membre de l'équipage, et c'est véritablement cette empathie qui confère au métrage un puissance toute particulière où l'on en vient à comprendre chaque décision de chaque personnage. Le film, découpé en trois parties bien distinctes, est tellement bien construit que l'ennui ne pointe jamais le bout de son nez. Le film a seulement deux véritables défauts scénaristiques, le premier étant le fait qu'on ne ressent que rarement la longueur du voyage effectué (le passage du Cap Horn ne donne vraiment pas l'impression de durer un mois, et l'ellipse des 41 jours en barque de ceux qui ont refusés de se mutiner fait vraiment tâche tant le film traitait jusque là de la moindre péripétie) et une dernière partie un peu trop précipitée, qui gâche en partie la puissance émotionnelle de la séquence de fin. Deux défauts assez mineurs en comparaison de la qualité générale du métrage, mais le fait est que la gêne est présente. Enfin, la grande qualité du film, outre la reconstitution d'époque, sa réalisation et ses magnifiques plans d'ensemble en pleine mer, est bien entendu le fait de placer face à face Trevor Howard et Marlon Brando dans un long duel psychologique où les répliques cinglantes fusent de chaque côté et qui donne lieu aux meilleures scènes du film. Une excellente surprise donc, un film qui vieillit merveilleusement bien et qui est à la fois abordable par tous, mais tout en restant aussi dense et précis que le méritait un tel sujet.


NOTE : 8,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Heatmann » Mer 13 Fév 2013, 17:14

Alegas a écrit:Le film se veut clairement être l’œuvre définitive sur le sujet et ainsi dépasser son statut de remake


par vraiment non

les 3 films sur la mutinerie , meme si ca peut evidment porter a confusion , on jamais ete monter comme des remake des precedant . jamais

a chaque fois c'est des films qui revisite cet evenement en se basant a chaque fois sur un materiel et source de base bien differente . Ce brando est baser sur un roman qui allait parfaitement pour faire une grosse fresque hollywoodien

le gibson par exemple c'est absolument pas un remake du brando , ca a le meme sujet oui , mais de la meme maniere que plusieur film sur 9/11 par exemple , et on pourrai dire que c'est celui la le film difinitif sur le sujet vue que c'est le seul a relater les faits etablit en se basant sur les archive de la navy
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