Bon petit western assez ludique ayant pour sujet la description des derniers jours d’une des légende bigger than life de l’ouest, wild bill hickok .
Un perso bien cash et direct qui partage beaucoup de similitude de caractère et philosophie avec sont réalisateur d’ici , walter hill , donc sujet parfait pour le style et un traitement a la hill , frontalement et sans édulcorer la sauvagerie et sentence direct infliger par hickok.
Un Marshall qui a bourlinger par toute les grande étapes (conducteur de diligence, soldat dans la guerre de sécession , trapeur , scout lors des guerre indiennes et enfin donc Marshall ) et qui va finir comme homme de la loi d’une des villes les plus gangrener , corrompue et violent de l’époque , deadwood .
Wild bill c’est un soupe au lait de la gâchette et le film le montre presque de manière amplifier, ça canarde et fait bien plaisir de ce coter la , un putain de sheriff badass et expéditif , alors la 1er partie du film est carrément génial , avec plein de petite vignette reprenant quelque passage important et célèbre du passer de hickok et qui forgera sa personnalités violente et indomptable . Des scénettes illustrant ces duels et querelle qui bâtir sa réputation. D’entrer de jeu on découvre un jeff bridges excellent, le look wild bill est super charismatique et classe, toujours a dégainer 2 gun en même temps et super bien saper , pas du petit cowboy fringer comme un sagouin . Bridges fronce les sourcils et force la grosse voix et ça le fait super bien d’autant qu’a chaque fois qu’il se met a gueuler sa finit souvent par un tire en pleine cible .
Cette exposition est vraiment plaisante on se dit qu’on va avoir un western super rythmer et a la limite du vigilante a tendance fasciste ( bill si tu touche sont chapeau tu meurt , si tu le provoque tu meurt , si tu lui parle dans le dos tu meurt , même si t’est sheriff adjoint et si t’est un méchant et qu’il t’a toucher et que tu rampe, il te finit en pleine rue devant tout le monde parcque lui c’est le sheriff ) , mais biensure le cœur du film c’est la façon dont bill vit ces derniers jours une fois arriver dans la fameuse deadwood . Et la ça se calme bien. Ca reste bien écrit et intéressant car on y étudie les zones d’ombre de bill , les massacre et humiliation auquel il a participer et qui maintenant lui a créer beaucoup d’ennemies qu’il ne soupçonne même pas , il a des démons aussi qui le hante parcque bon il a un gros bodycount , pas toujours bien reluisant , a sont compte qui lui trotte dans la tête .
Lui qui était une des gâchettes les plus rapides et précise doit lutter avec la perte graduelle de sa vison et surtout faut gérer les crise de jalousie de calamity jane , une de ces compagne régulière , qui veut un peu plus de fidélité et stabilité dans sont couple avec bill , et ca c’est vraiment traiter a la soap et plombe beaucoup les derniers instant du film . Ellen barkin a toujours un petit coter petasse que j’aime beaucoup et la ca joue le dessus avec un calamity un peu sexy mais bon vue le cabotinage intempestif et un accent horrible qu’elle nous sort ben on regrette vite que sont perso soit de la partie , gros gâchis donc car bill tout seul c’était un sans faute et incorporer calamity était enrichissant mais putain elle est traiter comme une teenage refouler, faut la voir peter des crises de jalousie et quitter les scène de ménages en hurlant et pleurant comme dans un sitcom .
John hurt en bon copain qui commente en plus le film avec un voix off un peu didactique je suis pas trop fan mais sinon le reste c’est du cast c’est du niveau de bridges , a savoir du tout bon et testostérone comme dans tout hill qui se respecte . james remar , bruce dern , james gammon .. on appercoit le beau minoit de diane lane et david arquette en petite fiotte tel que robert ford qui tue jesse james , ben fait pareil et fait bien la fiotte .
Sur le mise en scène pour la plupart du film c’est du solide avec toujours des effet gore et attention particulière porter au guns, a l’ionisation des duel et pis l’ouest est ici bien boueux et crade , une belle prod design loin du glamour et en accord avec la radicalités de sont personnage , plus que jamais la métaphore de deadwood comme purgatoire est concrétiser a l’écran . Mais sur ce film hill part en trip expérimental lors de flashback en noir et blanc avec effet clipesque granuleux sur l’image , et au début avec parcimonie ca marche mais plus la film avant et plus ils sont nombreux et long et casse vraiment le rythme et l’uniformité du récit . Dommage que hill n’est pas rebosser avec roy cooder aussi pour le score comme d’habitude , car ici on retient rien de la musique .
Bon le dvd mgm aide pas non plus , c’est bien laid comme transfert , avec eux , c est une fois sur 2 .
Un hill qui commence vénère puis s’intéresse a sont perso , c’est plus couillue que geronimo , dommage que barkin en fasse des caisses et casse le 1er degré sérieux du sujet et pour le coup hill aurait peut etre pue rester sur ces fondamentaux technique ( et pis en scope c’était mieux aussi , enfin , il ratrapera tout ca avec ca serie plus tard ) . bien sympa quand meme .