Viggo et fassbender , et leur look ( et avant que vous veniez tous me dire que non c;est pas pour moi , oui je sais c est qui le sujet et le pitch et oui je suis pas du tout rebuter et meme plutot interresser ) ca m'a toujour fait envie , meme keira que j ai longtemp chier dessus et denigrer , depuis quelque film je l apprecie un peut plus et elle joue quand meme bien en s effassant derriere ces role au lieu de se la jouer starlette glamour , j aime bien ca par contre le screen de cassel ( et je savait pas qu il etait dans le film enfaite ) la ca me tue tout , je le verrai donc pas
De toute façon tu aurais pas aimé je pense. C'était plutôt le style de film de Logan ou moi et au final on a vraiment pas aimé (d'ailleurs je suis très surpris de toutes ces bonnes notes pour un Cronenberg aussi mineur).
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
j'aime pas trop le dire car logan nous fera chier avec a chaque fois , d ailleur je l ai jamais dit , mais j adore fassbender , bon dommage pour moi , la plupart de ces film recent je les ai pas aimer ( les film hein , pas lui , a part prometheus et centurion ) mais lui je scrute tout ces prochain truc a chaque fois
Pareil Fassbender j'aime vraiment beaucoup, je trouve même que c'est l'un des rares acteurs de sa génération à avoir un putain de jeu et charisme à la fois (bon par contre le meilleur c'est DiCaprio, et je rêve d'un film avec les deux face à face ).
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."
perso je le met en 3 fassbender , je prefer leo et bale d abord ( et oui je suis consient qu il a pas un jeu aussi rafiner mais depuis le debut moi j aime bcp worthington , je mate tout ce film a cause de lui un bon bucheron qui me rappelle un jeune russel crowe et comme je le dit depuis le debut je le sent grave qu il aura le lead du agrincourt de Mann mark my word )
Alegas a écrit:De toute façon tu aurais pas aimé je pense. C'était plutôt le style de film de Logan ou moi et au final on a vraiment pas aimé (d'ailleurs je suis très surpris de toutes ces bonnes notes pour un Cronenberg aussi mineur).
Mineur faut le dire vite. Je fais partie des cinéphiles qui n'aiment pas trop A history of violence ou Promesses de l'ombre mais celui-ci ok. Cronenberg il est pas facile à aborder à cause du traitement de ses thèmes favoris, moi ses trucs chelous/trash j'adhère pas du tout mais sur ses films plus psychologique là je kiffe (surtout Spider).
Je l’ai vu j'ai détesté. Cronenberg c’est bien simple j'aime :
- Spider - La mouche - A dangerous method - Dead zone vite fait - Existenz faut le dire vite - A la limite le Festin Nu ça va j'aime bien je crois de mémoire.
J'ai tout vu le reste je déteste. Me reste Cosmopolis.
Crash je l'ai vu en dernier film d'une nuit DVD avec des potes, à 6h du matin et dans un état de fatigue et d'ébriété avancé. J'ai pas aimé. A noter que j'avais également vu Chromosome 3 dans les mêmes conditions et que j'avais aussi trouvé ça naze.
Pour le coup je crois qu'un second visionnage dans de bonnes conditions pourrait être profitable (ce serait même une redécouverte totale).
Deux grands acteurs, même pas une page de dialogue sur 1h40 de film, deux langues étrangères, contexte historique World War 2, Pacifique (donc clash Japonais/Américains), île, survie, John Boorman, 3ème film, scope technicolor, d'emblée le film est un chef d'oeuvre. Pour l'époque, 1968, donc en plein début du Nouvel Hollywood, Boorman signe un film clairement pessimiste sur la nature humaine et ses contradictions dictées le plus souvent par ses sentiments parfois influencés par l'éducation et l'origine d'une personne. C'est assez surprenant de se rendre compte que le film n'est pas ennuyant (pour peu qu'on apprécie ce genre de récit) car les réactions des protagonistes, superbement interprétés par Lee Marvin et Toshiro Mifune, parviennent à éveiller en nous une sorte de "traducteur" gestuel. Sans comprendre un autre homme, nous sommes perdus mais très vite, par des gestes, des regards, des attitudes, le courant passe. Au début, nos deux survivants ne s’apprécient pas mais le background (jamais évoqué, Boorman évite les flashbacks Hollywoodien et les storyline secondaires en parallèle : tout se déroule sur l'ile avec seulement deux acteurs) des deux personnages l'oblige. Parce que l'un est japonnas, l'autre américain. Puis la relation se tend, de plus en plus, à cause de l'eau et de la nourriture.
Chacun pour soi serait la tagline de base, la tagline de la "survie". Les deux hommes vont jusqu'à se faire souffrir mutuellement, se "crucifier" symboliquement et se détester puis forcément vient l'âge du partage, de la compréhension et de affranchissement des différences..pour un temps car Boorman ne s’épanche pas vraiment sur cette partie de l'histoire qu'il se contente de sous-entendre par une belle métaphore (la construction du radeau..à deux !). Le côté survival est pas top car j'ai eu la sensation que l'île faisait 4m2. Les rares petites poursuites du début se cantonnent au cadre de la plage et des 100 premières mètres de la jungle... La survie est peu exploitée: une pêche ici et là, pas de chasse, de l'eau de pluie récupérée via des bambous, le radeau pour les nuls dont la construction est à peine survolée, c'est pas très prolifique. on se demande comment ils se maintiennent en vie finalement.
Pour autant, je ne pense pas que l'intérêt du film soit là. Le traitement du comportement respectif des protagonistes semble être le point central de ce Hell in the Pacific : l'Américain n'arrive à rien par lui-même, le Japonais est consciencieux, concentré, alerte et protège ses biens. L’Américain est bruyant, voleur, il débarque "après" le japonais qui est sur l'île depuis on ne sait combien de temps et détruit tout ce qu'il a amassé. Très statique mais bien shooté, ce Boorman manque d'un petit souffle mais le cocnept, le projet, l'époque de sa sortie, le côté subversif et cette fin radicale (pas voulue par le réal d'ailleurs) l'emporte sur les quelques petits "défauts". Un final pessimiste où les deux personnages, malgré le rapprochement qui commençait à s'effectuer, se confrontent une ultime fois avant de finir par être bombarder. Un explosion sortie de nulle part, comme une métaphore de leur nature prête à imploser (on peut y voir la bombe H justement, qui a totalement annihilé les relations entre les deux nations), par vengeance (le japonais venait de lire une revue Time qui montrait des photos de Japonais morts au combat, la guerre perdue pour eux et l’Américain, en prédicateur, tentait de soumettre l'idée de "Dieu" à son "ami" alors que celui-ci regarde, horrifié, les dites photos) . La vraie fin semble plus posée, plus triste en fait: une simple séparation suite à l'incompréhension. Les deux sa valent. Une bonne soundtrack de Lalo Schifrin en prime, douée d'une sacrée ambiance comme d'habitude, pleine de tension, de doute, de suspicion et de peur...