[Alegas] Mes Critiques en 2013

[Heatmann]

Putain celui là je sens que je vais kiffer en dire du mal

franchement celui la tu va te faire plaisir , jsuis impatient que tu le voit y des passage enorme que j ai en tete la tu va remercier le real de pouvoir de fournir en vanne pour l annee ! et gosling il est priceless ici !

j'annonce un 2 ( pour patrik et nolte )

[Scalp]

Ptet 3 y a Brolin quand même et lui depuis que je l'ai vu avec sa moustache jle kiffe.

[Heatmann]

oui mais il a pas de moustache dans le film bon alors oui il est dans les bon point ( d aillque c est les seul 3 que je releve dans ma critique ) le reste mmmmmmmm je piaf d impatience

t'en dit quand meme pas bcp de bien , et tu demarrai a 6.5 allez , encore quelque jour et il restera plus rien

Tu crois pas si bien dire, en écrivant ma critique je me suis dit "mais putain faut quand même que j'en écrive un peu de bien mais j'ai pas l'inspiration pour ça".

a te lire , on se demande ou tu met la moyenne

[Mark Chopper]

Tu oublies le malus pour le faux nez de Sean Penn qui se croit dans Dick Tracy.

[Heatmann]

et pis attend que tu l'entende parler on dirait le mec jaune dans sin city sauf que la c est un vrai film

[Mark Chopper]

[Scalp]

Et à cause de ces conneries le film va se planter au BO et du coup on aura pas d'autres films de gangster avant 10 ans

[Killbush]

et pis attend que tu l'entende parler on dirait le mec jaune dans sin city sauf que la c est un vrai film

Putain t'enchaines aujourd'hui

[Heatmann]

comme tu le sait bien , c'est plus facile de chier sur un film si pourri , l'inspiration de vient de partout , et pis le topic bob fosse il est mignon aussi

[Alegas]

The Abandoned (Abandonnée) de Nacho Cerda

(2006)

Grosse déception devant ce film dont j'ai réellement du mal à comprendre sa jolie petite réputation au sein de la nouvelle vague horrifique hispanique. Vu que je suis quelqu'un plutôt friand du genre, j'y allais en toute confiance malgré le fait que Nacho Cerda réalisait là un premier long-métrage, et finalement je me retrouve devant une œuvre certes pas dénuée de qualités mais dont l'ensemble peine vraiment à convaincre. Déjà, notons le caractère assez atypique du film, puisqu'on se retrouve devant un film d'horreur au réalisateur espagnol, à la production anglo/hispanique, en langue anglaise et se déroulant en Russie. Quelque peu déconcertant mais loin d'être gênant puisque apportant un certain vent de fraîcheur. On suit donc le périple d'une russe naturalisée américaine qui, après des années de recherche sur ses parents, trouve enfin une piste dans la campagne russe. Une recherche qui va finalement l'emmener dans un territoire hanté, à savoir celui de sa naissance.

Le script, en l'état, avait clairement de quoi intéresser, avec une vision assez particulière de la mort et des spectres, le tout sur une ambiance qui rappelle, dans les meilleurs moments, un brin de Silent Hill (notamment le plan-séquence où le trou du plancher disparaît). C'est d'ailleurs là le gros point fort du métrage, une ambiance soutenue par une mise en scène qui sublime le caractère dérangeant de certaine séquences, malgré un classicisme des situations évident (à ce niveau là, on est loin des films de Balaguero où l'on tente à chaque fois de déjouer les attentes du spectateur). Pour le reste, le film a réellement de quoi décevoir, avec notamment un script qui ne raconte absolument rien pendant une heure, qui multiplie les facilités scénaristiques (on croit le premier venu qui nous dit être son frère, on se cache pour la énième fois dans un placard, etc...) et qui ne décolle que lors de la dernière demi-heure, pour finalement aboutir sur un final, certes osé, mais qui est aussi totalement prévisible. Un film qui repose presque entièrement sur sa forme qui, pourtant, ne fait pas tout. Cela donne un film certes intéressant sur de nombreux points, mais qui est loin d'être ce qu'on a vu de mieux dans le genre en provenance de l'Espagne.

NOTE : 5/10

[Alegas]

A Bridge Too Far (Un Pont trop loin) de Richard Attenborough

(1977)

Premier film d'Attenborough que je découvre et une plutôt bonne surprise de la part d'un genre dont j'ai tendance à me méfier des soi-disant classiques (parce que bon, Tora Tora Tora ! et The Longest Day c'est pas vraiment ce que j'appelle du film de guerre). Heureusement, on est ici à mi-chemin entre la reconstitution épique ultra-documentée et précise et le film de guerre conventionnel faisant la part belle aux personnages. On est même devant un film assez moderne sur son écriture, notamment dans l'aspect choral et surtout dans le fait de présenter l'opération Market Garden (qui consistait à des attaques simultanées pour lancer l'invasion de l'Allemagne par les Alliés) comme un échec total de coordination, au point qu'à la fin du métrage on se demande vraiment si cette attaque en valait vraiment la peine (le dialogue final sur l'officier qui avoue avoir toujours pensé que l'opération était trop ambitieuse en dit long sur le caractère presque antimilitariste du métrage). Le film, d'une durée conséquente (presque trois heures) prend vraiment son temps à nous présenter les très nombreux personnages du récit (l'introduction avant le lancement de l'opération dure quand même une quarantaine de minutes) et détaille rigoureusement l'aspect tactique de l'ensemble pour confronter le spectateur à la réalité exposée dans les premières minutes du film, à savoir que l'attaque en elle-même a été négligée sur de nombreux points par les généraux alliés (on y critique ouvertement les choix de Montgomery et son état-major, qui avait approuvé le parachutage des troupes à plus d'une dizaine de kilomètres de leur objectif, ou encore l'arrêt pur et simple des renforts pour des garnisons encerclées).

En revanche, le film n'est pas dénué de défauts, avec notamment une grosse baisse de rythme en milieu de film (heureusement, à partir du moment où le personnage de Redford rentre en jeu, on ne s'ennuie plus jusqu'à la fin), une composition musicale minimaliste, un manque d'émotions vis à vis des protagonistes (seul le personnage de James Caan est réussi à ce niveau là) et un gros problème de lisibilité de l'action et du placement des personnages sur les lieux de l'opération (et ce, malgré le fait d'avoir des têtes connues qui empêchent d'être totalement perdu dans ce capharnaüm). Pour le reste, on s'étonnera tout de même de l'audace visuelle du film en terme de moyens (les séquences de parachutage sont réellement impressionnantes), de son final en demi-teinte et même de quelques moments de mise en scène assez osés (notamment un saut en parachute en vue subjective). Mais le gros point fort du film, c'est évidemment son casting à tomber par terre. Sean Connery, Ryan O'Neal, Anthony Hopkins, James Caan, Gene Hackman, Michael Caine, Elliott Gould, Denholm Elliott, Robert Redford et Laurence Olivier, bref que du bon, d'autant qu'on sent une réellement implication de chaque acteur dans son personnage. Un film imparfait mais qui mérite le coup d’œil par son impact visuel certain et un message final peu commun pour l'époque.

NOTE : 7/10

[Scalp]

Sean Connery, Ryan O'Neal, Anthony Hopkins, James Caan, Gene Hackman, Michael Caine, Elliott Gould, Denholm Elliott, Robert Redford et Laurence Olivier, y a des intrus dans cette liste

[Alegas]

J'étais certain que tu ferais la remarque.

[Scalp]

Bein y a certains noms que t'étais pas obligé de citer quoi.

[Logan]

Genre qui?

Franchement je vois pas d'intrus moi. Même Ryan O'neal, ok il a fait Barry Lyndon gnagnan monsieur il aime pas pour faire son intéressant mais il a joué dans ton Hill je te rapelle