[Heatmann] Mes Critiques en 2013

[Criminale]

Ouai voilà, d'accord avec ta critique, j'ai recu ce pourquoi j'ai été le voir, ni plus ni moins.

[Heatmann]

BAD COMPANY

5.5/10

Mouai , c’est pas mal et c’est pas forcement un mauvais film mais c’est pas vraiment un western ou ce a quoi je m’attendais .
C’est vendue un peu comme un film qui dévoile la dure réalités de l’ouest aux ado et la désacralisation de l’utopie de la vie libre et retour a la nature, datant de 72 c’est souvent comparer a the culpepper cattle co et y a bien ce même traitement désenchanter et un regard pessimiste sur l’âme humaine.
Alors ça prend concrètement la forme d’un récit d’une bande de jeune ado qui déserte leur enrôlement dans la guerre civil et même d’enfant orphelin vivant dans la rues et les bois , une bande de oliver twist meet tom sawyer quoi . Ils sont mener par un jeff bridges très bon et dont le perso est vraiment sans moral et ce, jusqu’au bout malgré l’amitié qu’il crée avec le perso principale, un pti gars tout gentil envoyer au loin par sa mère qui le cachait de la guerre, donc il va partir dans l’inconnue de l’ouest avec cette bande de gosse qui on aucun scrupule mais pas plus de jugotte !

Limite la plus grande partie c’est du survival dans les prairies et forets complètement désoles , bon ça se résume a shooter un lapin , le depeucer , voler des poules et se chamailler entre mioche , c’est pas des plus palpitant surtout que la perte de l’innocence façon stand by me est survoler . On sent que le réalisateur est le scénariste de bonny and clyde . On a de rare éclat de violence et dure réalité , le plus jeune de la bande ( dans les 7 ans ) se prend un head shot en volant un poulet , et personne se retourne car ils doivent fuir . Les conflits on sein du groupe sont un peu téléphoner et le filme semble un peu court ( 1h25 ) et limite trop orienter intimiste pour avoir une impacte émotionnel ( on croise des mec pendue , de l’outlaw , des mec de l’union qui enrôle mais jamais on a peur ou on s’en fout de ce qui peut leur arriver ) .

La production design a été faite en sorte que le film soit tourner a l’automne et dans des zone vide et vaste, y a un sentiment de tristesse et de « y a que dalle autour a manger et rien a faire a par commettre des crime pour survivre » qui centre les choses sur les perso tous vicieux ( a part le héros qui lui est un pur bisounours avec sa voix off bien relou a la jesse james ) et accentue la noirceur du fond , pareil pour la photo de gordon willis ( the godfather ) qui nous sorte des teinte brune , orcre , marron , pas de doute , tout est démystifier , et puis c’est quand même super bien cadrer , classique mais beau , y a un amour de l’époque et une reconstitution qui donne tout de suite une vrai identité au film.

La fin en elle-même est sans équivoque et appuie encore plus ce que le film raconte tout le long c’est a dire que c’est dans la ligner de bonny ou butch cassidy mais les sautes d’humeur de bridges ( un bel encules opportuniste et égoïste lui quand même ) contraste trop avec le perso principale qui deviendras un hors la loi du jour au lendemain alors que c’était une fiotte tout le long

[Scalp]

Putain t'en déniches des trucs, c'est con ça avait du potentiel on dirait.

[Heatmann]

et celui la en plus il est ultra reputer , bon quand il est sortie je comprend , encore une fois l'enieme parrallele avec le vietnam puisque la c'est des deserteur et que c'est 70's donc tout est dark et nihiliste , mais culpepper cattle est tres tres au dessus et spikes gang ( c'est souvent citer comme une sorte de trilogie officieuse sur le sujet ) aussi , que jvais decouvrire d'ailleur ces jours ci ( marvin inside )

c'est pas mauvais mais je m'attendais a un western , ou alors au minimum un stand by me touchant et la j'ai aucun probleme a voir un film sur la parte de linnoncence et le monde de merde qui nous entoure , mais ici c est plutot oliver twist avec des head shot sortie de nul part ( et grosse touche butch cassidy meet bonny clyde et moi j aime pas trop ca )

mais ca se regarde vue que ca dure 1h25 , un film pour francesco

le trailer est limite suffisant

[padri18]

PARKER

6/10

Du petit statham qui reste sympa et très appréciable si on est venue justement voir un statham movie .
La on est loin de Safe et un cran en dessous de Killer elite , d’ailleurs j’ai préférer aussi the mechanic qui est peut être moins raffines mais qui envoie plus la sauce .
Donc la on a tatane qui nous refait Payback , alors tout ce qui est tatane qui fait sont casse avec une team de dernière minute et qui se la fait mettre a l’envers et laisser pour mort , puis part a leur recherche se venger c’est pas mal , mais juste pas mal , bon je voulais pas un scénario super original ( de la même manière que le arnie ) mais la on passe vraiment par tout les passage prévisible du genre ( la scène ou on le laisse pour mort , pffff ) et on regarde ça tranquillement en attendant la salve de prochain bad guy que tatane va déboîter comme steven a la belle époque .
J’ai l’impression que le script a été écrit comme une simple version bourre pif de point blank donc mais qui a été remodelé en court de route pour insérer le perso de J-lo et en faire une co-lead une fois la déesse du gros cul dispos pour le film.

Elle n’apparaît qu’après 40 minute et donc la presque 2em partie du film et finalement sont perso a une pauvre storyline bidon de sont coter ( bouh elle a sa banque a sont cul , des dettes et comme agent immobilier elle vend rien et vit chez sa mère ) et enfaîte elle sert pas a grand-chose , d’ailleurs tatane a sa propre nana qu’on voit en flash-back et qui leur histoires a eux , bon au moins on évite la love story entre les 2 et d’ailleurs tatane est tellement taciturne tout le long qu’il la remballe 2 fois ! Le film s’étend sur 1h50 et on pert donc bien 25 minute pour pas grand-chose une fois a palm beach avec le duo tatane-J-lo qui cherche la bande a chicklis ( il est gros et méchant , et a une bande de nul donc le chiant clifton collins , rien de bien croustillant du coter des bad guy ) sinon ça aurait été un thriller d’action lambda mais old school façon 90’s mieux que les merde next gen bourrer de cgi ( alors par contre sur la forme , hackford la c’est un nom comme un autre , on remarque rien , plus fonctionel que ca tue meurt ) .

Tatane a une vieux copain qui lui file les tuyaux pour ces coup , un nick nolte toujours classe mais un rôle en mousse pour lui , il va choper des faux papier et secouer les petite crapule relier a sont ex gang , s’évade d’un hôpital comme steven dans hard to kill , il vole des voiture comme dans GTA et pis il est quand même sympa même si c’est un chaud , il vole pas les civils , on a un épilogue tout mignon bref a part les méchant qui prennent cher , le reste est plutôt conventionnel .
Sinon oui , le film est R , et c’est bien car tatane il fait toujours des film ou quand on se prend un head shot une fois au sol ben ça éclabousse sur la chemise et le visage ! y a une petite baston toute les 10 minutes et jason il casse des bras et pour une fois il en mange pas mal dans les dents a sont tour aussi .

Alors on est pas devant un polar hardboiled comme le gibson , ici c’est presque plutôt a la cool comme un elmord leonard , surtout les passage un peu glamour avec j-lo qui est quand même bien dans le rôle et réussit sont retour au cinoche , sauf qu’on a un gros rustre ( dans le film il joue un texan qui fait des vague dans un palm beach soooo posh ) qui met des coup de boules et laisse des bodybag derriere lui . 2013 commence comme un revival de serie b comme il y avait 15/20 ans, ça fait plaisir ! ( même si celui la il faut aimer le genre et pas être trop exigent , ça plairas pas a un plus grand nombre comme safe ) et la même semaine on a un buddy avec sly part walter hill , et the rock a sont the snitch dans 2 semaine

[Logan]

Ah merde, mine de rien j'avais espoir pour celui la

[Heatmann]

ah non toi la tu mettra pas la moyenne , revoit plutot out of sight ( chose que je vais faire tient ) ce sera 2h mieux depenser que les perdre ici pour toi

[Logan]

Non mais je le verrais pour sur, les Statham j'en loupe aucun.

[Scalp]

Clair qu'en voyant la BA on pense grave à du Leonard, et cool si Tatane pète des tronches

[Heatmann]

jason c'est le nouveau steven , moi je trouve ca cool qu on est ai un

pis il remballe J lo DEUX FOIS et sinon ouai il balance des chaise , il a des couteau planquer ici et la , pete des gueule , il en jete du haut des immeuble , non c est un vrai tatane movie , aucun mensonge sur la marchandise

[Heatmann]

Les Grands espaces

- De William Wyler 1958 -

8.75/10

The big country c’est Le western classique dans toute sa splendeur et tout sont classicisme élargit puissance 1000. A réserver donc uniquement au fanatique de western 50’s qui ici est mâtiner de fresque familiale conflictuel , une tragédie entre famille rival sur fond de saga texane qui en chronique sa naissance et développement . Je suis carrément étonner que finalement le film soit pas plus reconnue ou même devenue un vrai classique, car je le trouve majeur pour sa décennie , un spectacle entier et total si on aime le western , une claque de cinéma .

The big country c’est une sorte de légende d’automne version ben hur ( le même réalisateur d’ailleurs et ça se sent a chaque plan ) dans sa représentation et proportion, voila la note d’intention du film donc venez pas dire que vous étiez pas prévenue.
Une production gargantuesque qui a pour ambition de retranscrire l’immensité des espaces texan et de l’ouest qui se découvrait, encore vierge, a tout rancher et famille s’installant la a la recherche de prospérité et de foyer.
Le titre US ou pour une fois français est parfaitement en adéquation, la dimension épique aussi bien au niveau relation humaine , émotion et étalage de tout ce que l’age d’or d’Hollywood peut faire de plus est encore a ce jour enivrante d’immensité et impressionnante , Dieu kevin costner cite souvent le film comme étant important pour lui quand il l’a découvert et dans sont éducation du cinéma et de l’ouest , on comprend sans mal pourquoi ( des scènes par centaine semble sortir de danse avec les loups et le perso de peck partage le même pacifisme et compassion que dunbar ) .

Concrètement on a un gregory peck plus classe et dandy like que jamais , un ex capitaine de frégate qui a rencontrer l’amour lors des ces voyages autour du monde en la personne d’une jeune fille de grand propriétaire terrien du texas , il vient donc demander la main de cette dernière au père et va s’installer et s’adapter a la vie de cowboy . Bien sure lui c’est un gentleman qui connaît rien au code d’honneur , d’intimidation et des mœurs des l’ouest . Sont idéalisme apparent clash avec les méthode violente et ancestrale des vieux boss locaux qui s’oppose a cause de la seule étendue d’eau du coin pour leur bétails. Pendant un bon moment c’est un brin manichéens a ce niveau la ( après tout c’est propre a l’époque et au genre hein rien de surprenant la ) avec peck qui refuse de jouer le jeu le guerre entre voisin et tente de faire plaisir a tout le monde , et les vieux cow boy du coin sont eux tous hargneux et on qu’une seul vision de la chose , mais plus le film avance et plus il se révèle un peu mieux écrit que ca avec une multiplicité d’enjeu et des personnage qui se révèle plus complexe que prévue .

Peck est enfaîte assez tacticien , un bref triangle amoureux se dessine entre sa futur dulcine et charlon heston ( énorme de charisme et de machisme , il joue le chef de la sécurité du ranch , le chien de garde du maire , THE cowboy qui tire d’abord et regle ces comptes on poing , il connaît les bêtes et la nature comme sa poche et va kiffer casser les couille a peck ) mais il l’évitera et le réglera en ces propres terme ( superbe scène de combat entre peck qui se bagarre facon boxe anglaise classy et heston qui lui est adapte de la baston de saloon , en silence , de nuit , en plan très large , super sobre et ou l’image raconte tout ) et finalement trouvera une meilleur chaussure a sont pied niveau romance , donc c’est pas si prévisible et convenue que ça .
Heston a un rôle un peu en retrait mais lui aussi vers la fin du récit se verra un peu plus travailler, sa fidélité a sont patron sera mis a l’épreuve et sa carapace laissera transparaître un peu de sentiment, ce sera bref car il repartira au galop, galvaniser par les règlement de compte pour un final meurtrier .

Les 2 patriarches rivaux sont 2 beau pourris, figure récurrente, le maire ( charles bickford ) c’est une sorte de JR de dallas , plutôt moderne et prêt a tout sans moral , bon lui il est assez unilatéral mais c’est bien d’avoir un bad guy qui est dans le camp de protagoniste . Sinon grosse performance de burl ives ( oscar a la clef ) en père de famille adverse bien rustique qui envoie ces fils faire le sale boulot mais qui saura se montrer fair play et même sans remord envers eux lors du final dans sont ranch qui clos les pistes narrative avec un mélange d’intimiste ( duel patricide et négociation terrien ) mais aussi un bon gros gun fight dans un canyon qui laisse personne indemne .

Un mot rapide sur le main theme qui est aussi ample et majestueux que le cadre. La mise en scène c’est du grand délire , william wyler se lâche et on ne peut que s’incliner et admirer pendant 2h40 une succession de plan et de séquence magistralement cadrer ( j’ai pas le dvd mais la on peut facilement prendre 500 capture a tomber par terre ) avec peut être la plus vertigineuse profondeur de champ que j’ai vue . Tous les thèmes propres à un tel sujet sont abordés, même les moments plus calme sont un régal et pis y a suffisamment de péripéties pour conserver un rythme et intérêt constant, le coter shakespearien ici est seulement sur le papier car a l’écran tout a la forme du western pur et dur hein , tout y est .
Bref , une telle ampleur , une telle concrétisation et le même soucis d’apporter autant dans la substance du fond , élève the big country au rang de peplum du western et ça fait du bien ce genre de débauche de superlatif . Ca vaut peut etre un chouilla moins si on se la joue objectif a cause de certain moment un peu kitsh qui se veulent dans l’esprit du blockbuster populaire d’alors , mais la y a juste tout ce que j’adore dans ce genre et rarement dépasser donc je note en conséquence du plaisir pris , mais je met pas plus car legend d'automne est encore plus romanesque et a plus de souffle d'aventure .

[Scalp]

Et bein ça a l'air vraiment bien.

[Heatmann]

bon comme tu dirait , pour public d'avertie et amateur only hein

[Count Dooku]

J'ai importé le BR US pour celui-là, faudra que je me le programme un jour.
Un film qui a ses détracteurs du fait que, comme tu le soulignes au début de ta critique, ce n'est pas "juste" un western mais aussi un film très porté sur le mélodrame hollywoodien classique. Un peu comme Duel au Soleil de King Vidor en fait. Et de fait, les deux films sont considérablement plus longs que la plupart des westerns (plus de 2h30).
Sinon le main theme est effectivement magnifique, je me souviens que je l'ai découvert bien avant de connaitre le film, sur une compil' de musiques de film. J'ai immédiatement été charmé par le souffle épique qui se dégage de cette composition!

[Heatmann]

ben ouai les detracteur c'est juste qu'il savait pas a quoi il avait a faire , moi je trouve con de reprocher a un film de pas etre ce qu on voudrais mais qu il fait ce qu'il etait censer etre . la y a aucune equivoque , on a bel et bien un western ( tout les element classique du genre sont la ) mais inclut dans un schema plus ambitieux qui prend la forme d'une saga familliale et description d'une partie de l'histoire du texas .