SOLDAT BLEU
6.5/10
Bon c’est très difficile pour moi de mettre une note à ce film. Soldat bleu , un film évidemment très important , qui ce doit d’être vue , oui , et qui dépasse les limite de la prise de conscience et qui représente la liberté du cinéma des année 70 a sont paroxysme ( même si paradoxalement le film a ete censurer , couper et interdit pendant longtemps , faire un tel film , sur un tel sujet , c’est plus des couille mais des pastèque qu’il faut comme dirait killbush ! ) .
Un film dénonciateur qui puise toute sa puissance dans sont final fulgurant , ravageur et glacent . Et c’est en ayant une vision d’ensemble du film qu’on se rend compte que le centre du film est pas aussi chiant qu’il n’y parait lors du visionnage.
On ne peut en avoir un jugement et opinion qu’une fois le générique de fin défiler. Oui ça peut paraître con a dire mais parc qu’apres une intro de 20 minute aussi épique que déjà bien hardcore , on passera le cœur du film , quand même plus d’1 heure avec un duo plutôt picaresque et quand plutôt assez cul cul dans sa représentation .
Reste que l’état de choc dans lequel on se trouve a la fin ( et même si on aime se la jouer gros costaud que rien n’émoustille, la rien ne peut préparer quiconque au spectacle désolent et infâme qui clôt le métrage ) , fait qu’on relativise en se disant que c’était un peu comme un moment de repis , de paix , de sursit pour ces 2 âmes égarer qui apprendront de l’un et l’autre tout en survivant et rejoignant leur camp respectif .
Perso je ne cache pas quand même que j’ai pas trouver leur relation et leur perso si bien écrit que ça , alors le propos général du film est intouchable , et sur sont intro et conclusion le film vaut un bon 9 ou 10 facile , mais alors les tripulation du duo sérieux ça vole pas haut , c’est franchement pas finot et pis le coter decaller cul cul con con ( super elle fait pipi partout ) c’est maxi 6 pour moi et encore , donc je coupe la poire en 2 pour la note mais bon on s’en fout de ca , le film est un monument pour moult raison pis c’est tout ( même si le milieu d’1heure est un peut con ! ) .
Candice bergen est sublime comme toujours , mais sont interprétation de girl power est bien trop appuyer et surtout tellement décaler et anachronique ( trop moderne , trop de juron , trop dilettante ) qu’on sombre un peu dans la caricature et le loufoquerie par moment , surtout que le soldat bleu qui l’accompagne est lui l’extrême opposer ( oui les rôles sont opposer mais justement trop surligner a ce niveau la ) c’est le jeune troufion plein d’illusion , une chochotte qui va apprendre la vie a la dure aux coter de cette yankee qui fut enlever par des Cheyenne mais qui y découvrira sa voie avec eux .
L’interlude avec un donald plaisance cabotin et un poil mongolito aussi vas dans ce sens .
J’ai pas encore trop trop saisie les choix de présenter bergen si « a la cool » et si moderne et une balade limite bucolique qui des la rencontre entre les 2 on sait très bien ou cela va aller , aussi bien pour la love story que le changement de camp du soldat et la fideliter de l’ex captive .
Bref même si c’est plus de la moitié du métrage , c’est pas vraiment la l’intérêt , le but et le propos du film , et pour cela , nelson nous clous sur place avec une introduction qui dépasse le stade du crépusculaire , on est ici dans le macabre et nihilisme total . L’attaque du convoie est épique et déjà bien barbare , les éclat sanglant de balle en plein visage , demenbrement plein champ et gros plans sur les mutilation et cadavres, on est saisit surtout que les moyens sont quand même pas cheap , guerrier Cheyenne et tuniques bleu par cortège de 100, et ça a de la gueule , le scope est immense , la profondeur de champ vertigineuse et tout le long la mise en scène sont montrera très réfléchis utilisant souvent les paysages pour faire un lien avec les émotions du moment et perdre ces personnage dans un cadre composer de plusieurs niveau .
Arrive donc la dernière grosse ½ heure , et la … on sent la chose venir , le ton redevient encore plus grave, plus sombre , et tout humanisme a quitter l’écran , on sombre dans la folie démentiel la plus pousser et le faite de le montrer sans rien cacher , plein cadre , femme , enfant , famille , tout le village sera brûler , massacrer , violer , mutiler avec des excès de torture graphique dépassent l’insoutenable ( bon il y aura toujours des sans cœur et sans cerveau qui trouveront que ça vieillit ou que ça vaut saw et hostel ) surtout avec la reaction des soldat qui danse et celebre leur « victoire » en brandissant tete , bras et corps de femme , appuie encore plus le témoignage voulue par nelson et le discours final du lieutenant de la cavalerie est encore plus éloquent , le tout sur un travelling de fausse commune débordante et un générique final silencieux avec ces plan de tombe qui en dit bien plus long que tout les score et épilogue du monde .
- et en cadeau , un florilege des "bonus a scalp" :