[Scalp] Mes Critiques en 2013

[Heatmann]

et leone ne colle pas une voix off surexplicative par la dessus car il sent bien que ca manque de narration et cohesion , chose intenpestive dans jesse james , en gros un livre illuster

[Creeps]

Le problème c'est pas les films mais les spectateurs, Jesse James c'est un western atypique faut pas chercher plus loin.

[Waylander]

et leone ne colle pas une voix off surexplicative par la dessus car il sent bien que ca manque de narration et cohesion , chose intenpestive dans jesse james , en gros un livre illuster

Ouais sauf que dans Jesse James t'entends pas une seule fois Pitt en voix-off mais bon... C'est que Robert Ford en voix-off et c'est pas énorme... La vraie voix-off du film c'est celle de l'intro qui présente le personnage. Vous me faites marrer à reprendre des trucs inexistants. Vous êtes braquez sur des procédés qui ne vous plaisent pas, qui vous parlent pas certes mais faut arrêter d'en faire le seul et unique moyen de raconter une histoire chez Malick et cie...Ça ne se limite pas à ça... D'ailleurs chez Malick la voix-off ne parle absolument jamais de ce qu'on voit à l'écran...ce qui ne veut pas dire qu'on ne peut pas relier les deux. Et c'est là que vos limites "cinéphiles" se font ressentir. Alegas qui a fait des études vous expliquera peut-être un jour la logique du langage ciné.Quand vous n'aimez pas un film c'est marrant le pue de tolérance que vous avez. Et vlà les arguments type " Oh la voix-off bidon et surexplicative " oh c'est monté à l'envers pour faire genre"...Le jour où vous admettrez être à côté de la plaque...

[Scalp]

Ah oue ok, donc faut faire des études ciné pour comprendre le langage cinématographique, tu sais que 90% des plus grands n'ont pas fait d'école quand même.

[Mark Chopper]

D'ailleurs chez Malick la voix-off ne parle absolument jamais de ce qu'on voit à l'écran

Plutôt que de filmer des acteurs perdus dans des champs de blé, il ferait mieux d'illustrer ses idées exprimées en voix off par l'image.

[Jed Trigado]

Là je vais être obligé de me ranger du côté de Waylander, sur le fait que dès que vous aimez pas un film, vous devez bien le faire savoir avec plein de vannes pas drôles et réductrices (les derniers Malick ou sur Drive notamment). Ça vous fait peut-être rire, mais il y a un moment où ça commence à bien faire, je me sens pas visé mais je comprends aisément que ça puisse en emmerder certains.

[Scalp]

Heatmann il aime le dernier Malick, du coup ton analyse tombe à l'eau ( et en plus j'ai presque rien dit sur le dernier Malick )

[Waylander]

D'ailleurs chez Malick la voix-off ne parle absolument jamais de ce qu'on voit à l'écran

Plutôt que de filmer des acteurs perdus dans des champs de blé, il ferait mieux d'illustrer ses idées exprimées en voix off par l'image.

Justement il le fait tout comme il oppose parfois voix-off et image et c'est à toi de voir où il veut en venir. Tout ne peut pas se traduire par l'image. Le cinéma c'est pas "que" l'image.

[Mark Chopper]

J'ai dit que j'aimais bien Brad Pitt dans le dernier Malick, alors je ne vois pas en quoi je casse le film "avec plein de vannes pas drôles et réductrices". C'est un film auquel je n'adhère pas, mais je n'ai pas du tout l'impression de le casser.

En fait, à part le running gag sur Drive, je ne comprends pas ta remontrance Jed (et il m'arrive même de saluer le talent, irrégulier, de Refn). Par conséquent : oui, ton analyse tombe à l'eau.

[Jed Trigado]

C'est pas de ça dont je parle, c'est les petites vannes de merde sur les feuilles ou d'autres clichés à deux balles sur le cinéma de Malick ou Refn que vous ressortez systématiquement et qui deviennent pesantes (même si je trouvais ça drôle au début, je le reconnais). Vous êtes dans le déni les gars, c'est pas possible.

Par contre, personne se moque de vos westerns où t'as des vieux cowboys qui passent leur journée à siroter leur bière sous leur porche à mater des couchers de soleil en scope. T'as vu, c'est facile de tomber dans la caricature.

[Mark Chopper]

Remonte de quelques posts et tu verras ce genre de moqueries

[Waylander]

Ouais ça pour se branler sur des trognes patibulaires qui se jaugent pendant 15 plombes façon DBZ club Dorothée limite t'entends un mec dire " Terrence Hill arrivera à se dégainer avant Charles Bronson ? Nous le saurons au prochain épisode"

[Scalp]

WARNING !!! le prochain qui parle de Terrence Hill sur mon topic est censuré !!

[Heatmann]

D'ailleurs chez Malick la voix-off ne parle absolument jamais de ce qu'on voit à l'écran

Plutôt que de filmer des acteurs perdus dans des champs de blé, il ferait mieux d'illustrer ses idées exprimées en voix off par l'image.

voila exactement , merci mark

parcque bon moi je parle de la voix off , mais je dit jamais que c est celle de pitt . la plupart du temp c est ford ou alors c est un autre mec qui lit le livre , et si , c est bien present tout le long du film , genre y a une scene ou ils demenage et change de maison pour se cacher et pouf la voix off nous dit que : oui le gang change de maison et part se cacher blablablabla ...

Heatmann il aime le dernier Malick, du coup ton analyse tombe à l'eau ( et en plus j'ai presque rien dit sur le dernier Malick )

ligne rouge j aime bcp , mais suis pas fan non plus , new world la par contre j adore , three of life j'avoue que j'etait bien bien charger quand je l'ai vue , c'etait meme une subs que j'avais encore jamais essayer avant j'avoue

[Alegas]

L'Aventurier du Rio Grande Robert Parrish - 1959





"Gringo"

Drôle de petit western que voilà, un western sur un rythme pépère avec des enjeux qui tardent à se dessiner et qui finalement ne repose essentiellement sur la charisme d'un Mitchum au sommet de son art.
L'histoire c'est Mitchum, un pistolero à la solde de mexicains pas net qui se pète la jambe dans une petite ville frontalière texane alors qu'il devait s'occuper d'un chargement d'arme pour son boss. Il va donc vivre une convalescence pépère dans cette petite ville, se faire des amis et rencontrer la beauté du coin, donc rien de foncièrement original ou même véritablement passionnant mais le charme opère et passé du temps avec Mitchum s'avère très agréable. La seconde partie du film après un petit duel est pas spécialement plus rythmé ( même si on a une attaque indienne et un mini climax finale ) car le coté chasse à l'homme qu'on aurait pu avoir est vite mit de coté par une astuce narrative acceptable, mais une fois de plus on est content de voir ce que va faire Mitchum et l'évolution de son personnage ( très bien écrit ).
Autre point positif, c'est la vision mexicaine du film, ici c'est jamais cliché comme ça peut l'être dans pas mal de film ricain, y a pas de vil mexicains ( bon si un peu quand même ) ou de péons tout peureux.

La réal le truc qui gène quand même c'est l'absence de scope car quand on voit les magnifiques paysages, le choix des cadres et même la profondeur de champ on se dit que le scope aurait vraiment magnifié tout ça, dommage. La petite scène d'action final avec l'attaque du chariot est plutôt impressionnante, sacré travelling avant et plan d'intérieur de chariot intéressant et puis le plan finale lourd de sens est super classe.
Visuellement c'est vraiment super beau, comme pour son précédent western y a une super photo et Parrish se fait plaisir avec ses compos de plans, bon après je préfère quand même Libre comme le Vent sur la forme comme sur le fond d'ailleurs.

Robert Mitchum interprète un personnage qui était d'abord prévu pour Gregory Peck ( qui s'était intéressé à ce film au début des 50's allant jusqu'à commencer la production ) puis suite au désistement de Peck, Henri Fonda a été envisagé mais il a refusé et c'est finalement c'est le grand Bob qui hérite ici d'un de ses meilleurs rôles, pour une fois son allure nonchalante et son air je m'en foutiste colle au personnage ( à un moment il lâche un "gringo" et juste avec ce mot on voit à quel point c'est un grand acteur, bon faut voir la scène pour comprendre mais vraiment tout est parfait dans ce passage ), et jouer un gars à la jambe cassé c'est parfait pour cet acteur à la flemmardise légendaire et là il livre vraiment une super prestation dans ce rôle de tueur qui va peu à peu prendre conscience que cette vie ne lui convient plus et ce con il est super émouvant d'ailleurs Parrish devait avoir conscience car le nombre de gros qu'il a c'est impressionnant, d'ailleurs c'était son film préféré au père Mitchum.
Julie London confirme tout le bien que je pensais d'elle après l'Homme de l'Ouest et Libre comme le Vent, son temps de présence n'est pas énorme ( surtout pour développer une histoire d'amour ) mais ça suffit largement à comprendre le personnage ( sa scène avec Mitchum au Mexique est excellente ), Charles McGraw campe un bon docteur et c'est surprenant de le voir jouer un bon gars, il s'en sort plus que bien dans ce contre emploi total.

De loin le meilleur western de Mitchum devant Ciel Rouge, Un film vraiment destiné au fan pur et dur de western mais si on aime le genre c'est du nutella ( oue c'est nul l'expression avec du caviar, moi je préfère le nutella ), donc voilà ami du bon gout ce film est fait pour vous.

7/10