Heatmann a écrit:Bon ben keoma no soucis la , 9/10 , c'est bien car quand on on attend un film au tournant , et qu'il arrive quand meme a nous surprendre et foutre sur le cul , je trouve que la claque n'en est que plus forte cette ambiance cauchemardesque ce scope cette musique !!! et mon dieu , cette mise en scene ! une tuerie , le meilleur spag hors leone avec le grand silence pour moi
je vient de mater dans la base , entre la tienne, celle de dunandan et way j ai pas grande chose a rajouter , en plus les screen sont
c'est qui qu'a dit que la sorciere allais me souler ? elle est excellente ! plein de metaphore et de flashback en "live" avec des mouvement de camera qui font tout capter , pfff tuerie sur la forme ce film et l'interview du real dans les bonus est super bien
par contre au debut j'ai trop chercher a me creuser la tete et je me suis dit : ahh mais c'est sa mere et pis lui c'est en mort qui revient toussa ( bon en meme temp je suis pas loin la ) quand ces apparition fantomatique en frapant a la porte de nuit , avec le vent et tout , pfff ca le fait grave
Bon alors celui la il y aura critique tout simplement car il y a bcp bcp a dire . un film incroyablement riche . visuellement c'est baroque , ca pullule , une direction artistique magnifique , costume et decors on dirait un gros gros budget et pis le sujet est si large , avec ces 3 protagoniste et un reel contexte politique , vraiment pour moi on titille leone la , et gros kiff 8/10 mi-ni-mum mais je pense un peu plus
c'est bien les bonus aussi il m'eduque un peu , donc la le statut du film enfaite il est enorme quoi , et je le comprend et suis totalement d'accord , je reconnais que souvent les spag' c'est un peu considerer " a part " , genre on est plus clement car y a pas trop de budget et ca compense ailleur , mais alors celui la non quoi , on m'aurait dit que c'est un film realiser par peckinpah que moi j'y aurai crue , un vrai contexte et des perso sortie de wild bunch et pis les 2 frangin ils sont chuncho c'est mon heros , j'aurai fait la guerre a ces coter moi
la fin ca me donne encore plus envie de monter en note . putain je me regale de tout ces film , le bonheur . pis ces scope immense avec des composition de cadre de ouf avec des train et centaine de gringo a cheval la bouteille de JD y est passer
et le chuncho completement halluciner sur ces mules du haut de la colline
le zic aussi est bien classe comme d'hab et de beau effet dans le ciel avec la photo . et ouai le debut c'est mix de leone et peckinpah carrement , pas moin . y tue ce film et tout le coter franchement polititque est un gros plus et ca reste toujour tres divertissent aussi , ca reussit sur tout les tableau
Pour une fois qu’un drame indépendant, tragi-comique avec un once de romance (mais bon c’est vraiment sur les 5 dernières minutes et loin d’être le thème du film) je vais pas faire la fine bouche . Même si pendant les 45 premières minutes je ne voyais pas trop ou tout le buzz autour du film venait, sur le longueur il se révèle vraiment surprenant et finement écrit. Bon j’avoue que la aussi le film a 2 gros atout qui on vite gagner mon intérêt, déjà , alors oui De niro nous sort enfin une performance digne de sont talent et comme il en avait pas sortie depuis plus d’une décennie . Un rôle de patriarche en plus qui lui aussi de prime abord semble peut profond mais qui cache une relation complexe et pudique avec sont et ces fils. Un mec qui lui aussi souffre de ces propres névrose ( Le thème du film ) , il se révèle aussi bien charismatique que réellement touchant , plein de vie , de nuance et de naturel qui lui manquait après s’être beaucoup auto caricaturer , on a l’impression de redécouvrir un De niro qui a repris du plaisir a jouer un rôle si bien écrit dans un film ou les acteurs ont la part belle et ou le sent revigorer , et ça , ça fait plaisir surtout que sont rôle est bien plus conséquent que je l’imaginais ( nomination a l oscar emplement meriter ) . L’autre point qui ma conquis , c’est tout le background sportif qui englobe cette famille et leur gentille folie . De niro est fan obsessionnel de l’équipe de foot de philly , il gagne même sa vie en tant que bookmaker , alors oui c’est juste une toile de fond mais peut a peut sa prendra de l’importance pour véhiculer leur relation et l’aboutissement de leur therapy , et puis c’est très fidèle .
Pour le reste on est plutôt dans un drame , tout d’abord autour d’un bradley cooper qui joue réellement très bien comme il sait le faire , souffrant de bipolarités sans que ça sombre dans le misérabilisme et puis sa rencontre avec une jennifer lawrence au formes affolante va élever le film . Un noyau relationnel qui permet de tisser autour tout une profonde thématique et étude de comportement humain qui sonne toujours juste . Le script et surtout les dialogue sont super bien écrit, si piquant, parfois même fun dans l’humour noir , très acerbe car abordant des sujet fort et douloureux , bref la peinture émotionnelle et psychologique ( le titre francais est bien naze et les passage chez le psy c’est pas du tout relou ou moralisant ) douce-amere est plaisant car les perso haut en couleur on tout de suite tous notre empathie .
John ortiz se met au diapason et lui aussi apporte beaucoup a l’ensemble avec un couple légèrement en crise mais tout en retenue , bien sure ça reste très emprunt de moment débordant d’américanisme mais perso ca me plait encore plus ( passage au stade de foot entre pote , chez le père le sacro saint dimanche de match , les footing devant les maison résidentiel ) et chris tucker est tres sobre et sont running gag est fun . Sur le forme alors ok ca mérite pas des nomination aux oscars mais on remarque quand meme un franc travaille sur la mise en scène qui se démarque le film de la masse. Un pti script donc vraiment très bien travailler qui fait la part belle donc aux performance et au relation familiale/humaine et nos 2 perso principaux , un non couple , perdue , loser . On dirait un peu american beauty écrit par mamet mais plus "léger" dans un ton a la coen car malgré cette palette de degenere le film laisse un vrai feel good dans le cœur et l’esprit
Vraiment la comédie musicale est un genre auquel je suis très hermétique et cette version blockbusteriser des misérables avait juste une bande annonce spectaculaire façon fresque d’époque et un casting alléchant pour m’intéresser. Bon on y est aller avec madame car c’est vraiment sont truc , et j’avoue que même si j’en ressort pas plus convaincue ni même intéresser pas le genre maintenant ( surtout pas même ) ben ça ma beaucoup moin souler que prévue et j’y est même trouver moult bonne chose qui m’on permit de tenir ces longues 2h40 ou ça chante quand même tout le long .
Déjà l’histoire en elle-même ben elle a plus rien a prouver et ça fonctionne toujours autant quoi, le destin de jean valjean et tout ces intervenants ça permet de conserver un fil narratif qui a fait ces preuves et une dramaturgie classique mais ou l’émotion bien qu’exaltes est un réel facteur d’attachement, un peu comme oliver twist quoi, ça vieillira jamais. Bluffer déjà par les choix de mise en scènes , il y a beaucoup de camera porter a l’épaule et de gros gros plan , ça garde un effet d’intimités sur les visages des acteurs et de promiscuités un peut comme si on était au théâtre comme la pièce original , mais aussi un vrai sens du spectacle avec des grue bien ample et pis a chaque plan une idée dans le construction de la profondeur ou des angles bien dynamique , en plus la photo et le budget relativement faible sont décupler et livre une belle reconstitution , il reste quelque fond verts un peu moche , mais sinon ça a de la gueule . l’intro avec quelque cgi fait beaucoup d’effet quand même et les passage en extérieur dans la nature donne vraiment envie de voir le mec faire un film « classique » dans une ambiance mousquetaire château .
Bon tout est pas rose hein , oui ça chante tout le long , même des dialogue de transition a la con , et au bout d’un moment sa soule quand même et manque d’ampleur par rapport au gros morceau niveau chanson et séquence qui sont souvent réussit elles ( a part anna athaway qui m’a pas convaincue ) . Jackman est épatant , c’est sont show , gros charisme , très talentueux a la chanson et pis le long parcoure de valjean est bien perçut a l’écran , il se donne et se lâche , nomination mériter . Crowe est impérial , vraiment une présence monstrueuse , il bouffe l’écran et vol le film , sont javert est impressionnant on dirait un terminator , et pis sont style de voix et intonation rock change un peu . Sans surprise le couple des tenardiers jouer par sacha baron cohen et helena bohan carter ruine le film , sérieusement ils semblent hors contexte , totalement intenable , cabotinage outrancier sortie d’un film de burton , ils m’on écœuré et leur scène sont pourri . Bon alors je me jetterai pas dessus a le revoir , mais quand madame voudras l’acheter et le revoir je ferais pas spécialement la gueule , mais ce film si il était pas chanter mais dialoguer normalement j’aurais mit 1 ou 2 point de plus .
Un excellent Western qui serait réducteur de placer dans la case « un des tout meilleurs spaghetti » ( chose qu’il est anyway ) car ce day of anger est quand même fortement emprunt de figure et thématique forte du pur western classique de l’old west , limite même ancestrale . Alors oui il y a des figures de styles propre aux spag’ et des libertés de ton au niveau de la moral , de personnages vicieux et radicaux , et des moment de bravoure concrétiser par des élan de fulgurance visuel qu’on aurait pas eu dans un western classique , mais sinon tout le décorum , les relation et les enjeu sont purement classique , donc autant dire que j’ai trouver la un juste milieu qui me réjouit au plus haut point !
Valerii a appris le métier avec leone et tout ce suite on voit qu’on a a faire a un spag d’un autre niveau, il y a un vrai travaille de fait sur les personnage, leur liens maîtres-directeurs et ca prend sont temps pour développer une vrai ambiance en 2 temps et installer plein d’enjeu moraux , y a de la profondeur mais elle ne se révèle pas tout de suite , et puis chaque paysage sauvage et décors urbain sont amplifier avec un sens du scope ( et déjà rien que la , le film est pour moi un cran au dessus de django )et de la production value qui élève le cachet du film , visuellement on a un produit qui a la classe , les saloon sont somptueux , les banques bien chouette et pis on parcours quand meme du chemin , c’est pas cloisonner dans un pti studio .
Punches are like bullets. If you don't make the first ones count you might just be finished
Sur la mise en scène aussi on est a mi chemin , il n’essaye pas de copier toute les mimic de leone meme si les face a face sont nombreux ( bon bodycount ), valeri utilise un montage précis et un super découpage notamment avec beaucoup de réflexion dans des miroir ou fenêtres et de longue et lent transition en travelling bien ample . Le film est assez riche en action , gunfight et cavalcade sont nombreuse et c’est toujours bien dynamique , mais le reste du temps , on prend sont temps justement et j’aime beaucoup cette approche de la mise en scène , c’est pas flashy mais très technique et confortable .
Alors ici l’histoire prend donc un moment avant de décoller, c’est pas gênant pour autant , on découvre un pauvre petit gars qui en prend plein la gueule par une ville entière , et même si l’acteur en fait beaucoup dans le registre de la pauvre petite cosette au début ben enfaîte c’est ce que le perso réclame pour contraster encore plus avec sont changement par le suite de sont apprentissage au coter de Lee van cleef , un peu comme l’évolution de wyatt earp dans le film avec kevin par exemple . il arrive a passer comme meurtri , abaisser , puis prend confiance et même burner . Le perso que joue van cleef est fait sur mesure , peut être le film ou il a le plus la classe . talby est un mec qui a sa réputation qui le précède , une gâchette de légende , et il est magique avec sont colt .
if you wound a man, you better kill him. Because sooner or later he's gonna kill you
Il est pourtant plutot complexe , il cache bien sont jeut , oui il prend le pauvre gars sous sont ailes , mais quand il a besoin de quelque chose juste pour lui , ben il le prend en faisant parler la poudre, en menacant , en tuant dans le dos et le gimmick de ces « lecons » sonne ici tellement vrai pour survivre dans l’ouest , pis en plus ca permet des dialogue badass a la cool qui depote avec punchline , intimidation ect … plus le film progresse et plus il se dévoile un peu plus , on ne reste pas sur des caractères unidimensionnel , tento bad guy , mais y a plus bad que lui , tento le bon samaritain , mais pas trop quand même , bref ambiguë et pour le meilleur . d’ailleur limite les roles sont inverser a la fin et la c’est la grande classe avec le thème musical ( repris donc dans django unchained ) magnifique et un final qui prend au tripes et toujours aussi étonnant même pour le genre .
Notre duo prendra une ville entière a leur compte avec un stratagème ingenieux de la part de van cleef , remplis de citoyens tous corrumpue , des banquier au juge ou avocat , tout le monde tente d’avoir leur peau . il y a même un hitman super classe ( vue dans l’intro de il etait une fois dans l’ouest ) d’engager et ca nous amène au duel du milieu du film , une scène magistrale , un duel a cheval en face a face lancer a tout allure avec fusil qui se recharge par devant , une sorte de défi digne d’une joute médiéval mit en scène avec brio , ca tue , le tout sous une musique melancolique du plus belle effet , ça suffit presque a démarquer le film et définitivement un passage qui reste en tete .
Autour de cette vrai relation d’homme a homme qui se respecte , s’admire et se soutiennent mais avec des motivation propre a eux, on a tout un développement autour de tout ce qui fait un bon gunfighter , tout y est décortiquer et c’est passionnant , c’est même technique on a l’impression d’apprendre les secret de magicien , mais ici c’est les gachette de l’ouest , on peut pas être plus classique . Même les costumes notamment celui de Van cleef rappelle évidemment le western américain , et toute la mythologie du gunfighter qui est LE thème du film avec des super ajout comme le gun de doc hollyday l’ancre encore plus parmi ces aines ( j’ai pas mal penser a gregory peck en johnny ringo dans gunfighter par exemple , beaucoup plus que fistfull of dollar ou valeri était assistant ) , et pis au debut van cleef offre a scotty sont 1er whisky au saloon , on peut pas faire plus concret comme rythe d'initiation hautement symbolique , des moment comme ca y a plein et ca fait plaisir . bref ici on a le meilleur des 2 genre
ben a part les "gros" , les connues , les leone et corbucci quoi , non en effet , j'avais peur du coter cheap et filmer en studio avec 3 acteur se parodiant ... et puis django a ete le declique , et ouai faut prendre les bon , et la y a de la pepite
par Scalp » Mer 16 Jan 2013, 21:15 
ce scope
