[Scalp] Mes Critiques en 2013

[Scalp]

La première fois j'avais maté ça en dormant à moitié et j'avais décréter que c'était de la merde, là j'ai retenter quand même et j'ai vraiment un gros soucis avec le film, j'y reviendrais dans ma critique mais en l'état je peux vraiment pas mettre plus.

[Scalp]

Bon allez encore du Django, je pourrais en parler des heures de ce film, donc voici le morceau de Goldsmith que j'ai adoré, mais le truc drôle c'est quand j'ai vu Under Fire d'où le morceau est tiré, j'avais trouvé la BO quelconque

[Killbush]

TUERIE qu'on vous dit

Et celle là qui sort de Sierra Torride

[Alegas]

I comme Icare Henri Verneuil - 1979

Pas mal mais m'attendais à mieux, on me l'a un peu survendu, alors c'est très sympa mais faut vite oublier le JFK de Stone parce que la comparaison est douloureuse, donc on va comparer avec des films de la même période donc c'est largement meilleure que le piteux A Cause d'un Assassinat et un peu meilleur que Complot à Dallas.

C'est donc une transposition de l'assassinat de JFK dans un pays fictif, le pays n'est jamais nommé d'ailleurs et ça m'a un peu gêné d'ailleurs pour le coup on a une sorte d'impression de mixe entre les USA et la France çà donne un truc un peu bancal et je trouve que ça amoindrit considérablement le propos.
Le film est nettement moins rigoureux que celui de Stone, ça part pourtant pas mal avec un vrai soucis du détail ( mais des grosses incohérences dans un film de cet acabit, genre le témoin acheté qu'on laisse en vie ça le fait moyen ) et une enquête sympa même si la longue scène de psychanalyse nommé : expérience de Milgram ( même si très intéressante et vraiment très réussit ) est quand même bien hors sujet ( elle sert à rien pour l'enquête ) et puis le coup de la K7 qui explique tout c'est un peu trop facile pour une telle histoire et puis je le redis le gros soucis du film reste que c'est sans surprise si on a vu les 2 films traitant frontalement du sujet et c'est pas la fin noir qui changera quelque chose à l'impression générale.
Mais si le film arrive a passer outre des défauts évidents c'est avant par le talent de conteur de Verneuil qui réussit quand même à nous captiver pendant 2h alors qu'on connait l'issue, les tenants et les aboutissants, et malgré ça on suit l'enquête avec beaucoup d'intérêt, par contre niveau dialogue c'est du peut mieux faire, c'est un peu trop explicatif.

Verneuil signe une réalisation pas forcément visible au premier abord mais vraiment très réfléchit ( et me souvient avoir vu que Valette le citait souvent lors de la sortie d'une Affaire d'Etat et y a 2 scènes du Valette qui sont bien dans l'esprit de Verneuil ), il réussit vraiment à instaurer le suspens quand il faut : la scène de l'attente de la voiture ou la scène chez Mallory ( où Roland Blanche m'a bien fait marrer d'ailleurs ) et puis les 10 dernières minutes même si un peu lourde sont super visuellement, y a un coté ( tout petit ) Blow Out dans le décryptage de la K7 et le ralenti final m'a fait penser à celui de Sollima dans la Cité de la Violence.

Le Yves Montand de cette époque c'était quand même la classe ( Police Python et La Menace entre autre ) est là il est donc très bien en procureur qui veut faire éclater la vérité, par contre ici je trouve qu'il joue beaucoup sur son charisme et il est pas spécialement toujours dans le bon ton, le reste du casting est plutôt anecdotique on retiendra donc Roland Blanche en petit casseur malin et une apparition express de Brigitte Lahaie ( topless bien entendu ) qui fait plaisir.

La BO de Morricone est moins démonstrative qu'à l'accoutumé et même si j'adore vraiment Morricone et que j'aime sa BO, ici je suis pas convaincu que ça colle vraiment avec l'ambiance du film.

Pas mon Verneuil préféré donc, je lui préfère encore un Mélodie en sous-sol, Peur sur la Ville ou un Clan des Siciliens mais c'est quand même tout à fait sympathique car bien joué, bien réalisé et quand même plutôt bien écrit ( malgré les facilités ) et c'est clairement du cinéma qui manque ( mais heureusement Valette a l'air de vouloir rester dans ce genre de film ).
En tout cas c'est quand même sidérant que ce film ne soit toujours pas disponible en dvd dans notre pays.

7/10

[Kareem Said]

La première et dernière fois que je l'ai vu c'était sur la Cinq début 90's, j'avais aimé à l'époque, y'a 20 piges maintenant. M'en rappelle même plus. ^^

[Scalp]

Allez encore du Django

A ne pas regarder si vous avez pas vu le film !!!



Fuck Yeah

[Killbush]

Il va nous occuper un moment celui là

[Scalp]

Mais elle est mortelle cette séquence, déjà rien que la première seconde ça tue pis après

[Killbush]

C'est con qu'il manque le début de la scène, mais clair qu'elle tue, je l'ai maté au moins 5 fois hier soir

[Heatmann]

Tupac , et ca suffit a emplifier la coolitude de la scene deja mortel

les real coincer du cul devrait en prendre de la graine , ca serait cool d'entendre du DMX sur un gunfight dans die hard 5

[Scalp]

Par contre tu vois direct qui aime pas 2Pac, y te sorte que la scène est nul

[Heatmann]

alegas et milk ils vont pas aimer les 2 passage hiphop c'est sur

moi meme si j aime pas rick ross , ca track elle pete , les lyrics super classe et s'incruste tres bien dans la scene utiliser avec un timing parfait sur le rhtyme

[Scalp]

Non mais là pour le coup 2Pac, le morceau ici y colle carrément à la séquence et dire que la zic est mal utilisé bein c'est du gros nawak, ici Django y se transforme d'apprenti en super héros chasseur de prime qui flingue tout le monde sans pitié, moi à ce moment là dans le cinéma j'étais à 2 doigts de me lever de mon siège et de gueuler

[Heatmann]

clic directement a 1min40 , c'est un peu l'etat d'esprit de django a ce moment la

[Logan]

Tarantino a laché son top 10 western spag:

1. "Colorado" de Sergio Sollima (1966)
2. "Keoma" d'Enzo G. Castellari (1976)
3. "Le Bon, la brute et le truand" de Sergio Leone (1966)
4. "Le Grand silence" de Sergio Corbucci (1968)
5. "Tire encore si tu peux" de Giulio Questi (1967)
6. "Tue et fais ta prière" de Carlo Lizzani (1967)
7. "Mon Nom est personne" de Tonino Valerii (1973)
8. "Et le vent apporta la violence" de Antonio Margheriti (1969)
9. "El Chuncho" de Damiano Damiani (1966)
10. "Les Quatre de l'apocalypse" de Lucio Fulci (1975)