* Classement annuel des BoMiens 2013*

[Heatmann]

c'est pas question d'etre vendue la , moi qui suit loin d'etre un admirateur de toute l oeuvre de QT , ce django la j'ai mit 9 et je sent que je peut meme metre plus , y a juste absolument rien a jeter , meme les dialogue et scene statique ici aurait pue durer des heure que j en serait plus content ( le repas chez leo et sam qui sont superbe c'est ) .

[Dunandan]

Et c'est ça c'est jusqu'à ce qu'on découvre les influences du film de Fleischer (qui m'ont l'air assez nombreuses quand même par rapport à la construction du personnage de Django, m'enfin j'adore Kill Bill 1 & 2 donc j'en suis au stade où je m'en fous un peu).

[Heatmann]

Et pis serieux tout le monde ne pouvais pas placer tupac dans un western avec un black qui shoot en slow motion et des litres de sang qui repeigne les murs , et la dans le film ca semble tres fluide et coule de source
Pis t'a kiff scalp hein la musique du dernier jour de la colere je pense ? ! comment ca le fait quoi!

[Scalp]

Pour avoir vu un ou deux westerns je crois que je peux dire sans me tromper qu'ici y a pas d'influence véritablement visible.

[Mark Chopper]

Pour moi, c'est du jamais vu et c'est ça qui est fort (et inattendu de la part de Tarantino).

Je pense qu'il va être dur à déloger de la première place de classement des Bomiens.

[Heatmann]

ouai c'est ce qui en fait pour moi le meilleur film du mec , il essaye pas de citer tout ces chouchou ni les copier , il fait un putain de film avec sont language cine a lui et une vrai histoire avec un seul perso principale et une trame , du coup c est pour ca que je trouve que sa real est ici sa plus mature , classe et belle car tout ces choix sont justifier et serve le recit , et ne sont pas juste un catalogue comme dans KB

[Scalp]

Franchement la scène du diner j'étais incapable de deviner comment ça allait se terminer.

[Heatmann]

dans cette scene , waltz il a des regard qui m'on emue, oui , pour de vrai

[nicofromtheblock]

Django Unchained : 9/10

[Scalp]

Oulà un 9 à la première vision, c'est rare chez toi.

[nicofromtheblock]

Ouais, c'est vrai, le dernier ça doit remonter à Shutter island ...
J'ai hésité à mettre 8,5 mais comme je mettrai certainement 9 à la seconde vision (la semaine prochaine), autant le mettre tout de suite !

[Eikichi Onizuka]

J'ai pensé pareil que scalp
J'ai hâte de le voir surtout qu'il est en VO à Brest

[Tyseah]

Idem.

'Tain dix quoi scalp.

[ERNST STAVRO BLOFELD]

Bon vous me mettez tous l'eau à la bouche là pour le Django, je sais pas si je vais tenir jusqu'à samedi

[osorojo]

DJANGOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO : 10/10

Y aura pas de critique. Juste du pur plaisir. Jusqu'au bout. Un putain de réal qui aime le cinéma, qui aime partager sa passion, qui pense à son public à chaque placement de caméra, à chaque dialogue, à chaque petit clin d'oeil, il nous rend complices de son amusement, on est véritablement pris dans ce tourbillon de bonne humeur du commencement à la fin du film qui sonne comme un véritable pied de nez à tous ceux qui ne peuvent mettre de côté leur intellectualisation du cinéma pour juste profiter de l'image et rigoler un bon coup.

Une séance de près de 3h qui en parait moitié moins, faite d'émotion, d'adrénaline mais surtout d'une banane sur le visage qui se mue en franche poilade sans qu'on s'y attende. Ce que ça fait plaisir d'aller au cinoche pour se faire cueillir comme ça. Pfiou, ça faisait longtemps que j'avais pas eu autant de plaisir en salle. Tout dans Django cingle comme une déclaration d'amour au 7eme art mais surtout à tout ces films peu connus qui font le plaisir de mecs allumés amoureux des galettes obscures dont je fais partie. Des ambiances graphiques complètement jubilatoires, aux gunfights surréalistes tout simplement jouissifs.

Un vrai moment de bonheur à tous les niveaux. Direction d'acteurs au top à l'image d'un Jamie Foxx qui semblent en parfaite symbiose avec Tarantino et son univers, musiques toujours aussi improbables qui semblent pourtant ne faire qu'un avec l'image qu'elles accompagnent, compositions de plans virtuoses épaulées par une caméra en constante mobilité pour nous plonger au coeur de l'action. On sent presque le souffle des acteurs sur nos visages tant on est prêt d'eux, et tous servent des personnages gratinés, si colorés qu'on ne peut que les aimer, qu'ils soient bright ou dark side de la force.

Une véritable pépite qui remêt les pendules à l'heure en ces périodes troubles où les films inspirés peinent à trouver le chemin des caves aux sièges rouges. 2013 commence sur les chapeaux de roue, espérons que la suite sera, sinon au même niveau, au moins aussi généreuse.

Ah oui, j'oubliais. Dites au revoir à Lara