[oso] Mes critiques en 2013

[angel.heart]

Mes préférés sont Le masque de la mort rouge et La chambre des tortures.

Sinon pour ce que j'ai vu ça donne ( approximativement ) ça :

Gass-s-s ( 1970 ) : 5,5/10

L'Affaire Al Capone (1967) : 7,5/10

Not of this Earth (1965) : 6,5/10

La Tombe de Ligeia (1965) : 7/10

Le Masque de la mort rouge (1964) : 8,5/10

L'Halluciné (1963) : 6/10

La Malédiction d'Arkham (1963) : 7,5/10

La tours de Londres ( 1962 ) : 6/10

Le Corbeau (1962) : 6/10

L'Empire de la terreur (1962) : 6/10

L Enterré vivant (1962) : 7,25/10

The Intruder (1961) : 7,5/10

La chambre des tortures (1961) : 8/10

La Créature de la mer hantée (1961) : 3/10

La Chute de la maison Usher (1960) : 7,5/10

La Petite Boutique des horreurs (1960) : 6,5/10

Dernière femme sur terre (1960) : 5/10

La Femme guêpe ( 1960 ) : 4/10

Un Baquet de sang (1959) : 6,5/10

Mitraillette Kelly (1958) : 6/10

Teenage Caveman (1958) : 4/10

Sorority girl (1957) : 6/10

The Undead (1957) : 6/10

Rock all night (1957) : 6/10

L'attaque des crabes géants (1957) : 5,5/10

Viking women (1957) : 4,5/10

The Day the World Ended (1956) : 3/10

[Heatmann]

je confirme totalement Jed et angel a propos de l'affaire al capone , qui ma d'ailleur ete conseille par eux c'est meme pour moi le meilleur corman et un sacrer bon film ! vas y vite oso , tu va en etre content de celui la

[osorojo]

Ca marche, sur ma wishlist, merci pour vos conseils

[Alegas]

LADY SNOWBLOOD
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Toshiya Fujita (1973) | 8.5/10

Très beau chanbara qui impressionne par son équilibre entre exploitation et oeuvre plus sérieuse. Véritable portrait de femme centré sur un personnage au charisme ravageur, porté à l'écran par tout le magnétisme de la belle Meiko Kaji, Lady Snowblood fait partie de ces oeuvres qui trouvent leur justesse dans un mix des genres subtiles. En résulte une impression générale très grave alors que le film présente son lot de séquences exagérées dans la violence et l'hémoglobine qui sont généralement l'apanage de créations plus légères.

Toshiya Fujita opte lui pour une caractérisation dramatique de sa protagoniste, faisant de son enfant des enfers un véritable mythe vivant. Née uniquement de la féroce rage de violence qui animait sa mère, Yuki va se forger un caractère et un physique de guerrière dès son premier souffle. Fujita caractérise le personnage dès sa naissance, l'un des moments les plus sombres du film puisqu'il est également la première rencontre entre une future tueuse et la mort, qui ne se quitteront plus par la suite. En effet, s'ensuivra un entraînement à la dure avec un maître martial qui file le sourire et Meiko partira assouvir l'envie de vengeance de celle qui lui a donné la vie.

D'un point de vue esthétique, le film est un véritable régal. Sa photographie joue sur une harmonie et un contraste marquant entre ambiances aux dominantes blanches teintées de pourpre. Les généreuses coulées de sang qui s'imposent à l'écran viennent troubler la douceur graphique des paysages sans aucune retenue pour délivrer une violence esthétique nécessaire pour nourrir la puissance qui émane du personnage de Yuki. Cette précision dans l'image associée à une réalisation souvent inspirée permet à Fujita de donner un impact nécessaire à ses scènes principales.

Enfin, impossible d'évoquer Lady Snowblood sans évoquer cette envoûtante ballade chantée par Meiko Kaji elle même, que l'on a, pour la plupart, découvert dans le bel hommage que Tarantino fera au film près de 30 ans plus tard et qui irradie littéralement la bobine par sa douceur mélancolique.

[Logan]

Il manque un demi point mais ca va bonne critique

(Allez une note et il devrait rentrer dans le top, Killbush devait pas le voir d'ailleurs?)

[Mark Chopper]

C'est bizarre, j'ai l'impression d'avoir déjà vu ce plan quelque part

Bon, plus sérieusement, ça fait plaisir. Mon chambara préféré, mon Meiko Kaji préféré, bref, un film que j'adore

[Scalp]

J'ai une critique qui arrive avec du Tarantino pompage aussi

[Mark Chopper]

Celui-là, tu peux faire des screens comparés. Reservoir Dogs/City on Fire c'est de la blagounette à côté. Là on a pompage d'intrigue, de character design et de plans, reprise de chanson... On ne peut plus parler d'hommage

[osorojo]

Allez, pars pas en énième troll sur ce film, sileteplé ! A chaque critique de Snowblood, on y a le droit Ok, y a pompage, mais beau pompage. J'adore ce Snowblood, ça m'empêche pas d'adorer les KB

[Scalp]

Mark y s'est fait piqué son gouter par Tarantino quand il était petit.

[Alegas]

[angel.heart]

Lady snowblood ça arrache mais Kill Bill c'est mieux!

[Scalp]

C'est différent.

[angel.heart]

Je trouve les Kill Bill plus jouissifs. Et niveau émotion je trouve ça très fort.

Sans compter que la fin du premier est la fin la plus génialement frustrante que j'ai jamais vu. J'ai jamais été aussi pressé de voir une suite que la fois où j'avais découvert ce film par une belle après-midi de Juin 2004.

[Mark Chopper]

Mark y s'est fait piqué son gouter par Tarantino quand il était petit.

Il a piqué plein de choses, mais pas mon goûter (quoique : si ça se trouve, on peut croiser un de mes choco BN dans Kill Bill).