[Caducia] Mes Critiques en 2013

[Jimmy Two Times]

Et comment ça charcle! C'est un truc de fou! Shotgun style! Encore du bonus!

[Scalp]

Je suis chaud pour le revoir en plus y a moyen de se faire plaisir avec les screens.

[Heatmann]

Je crois que je pourrais monter à 9 pour celui là.

+1

y a moyen de se faire plaisir avec les screens.

+2

Way of the gun le bluray us est region free les gens sacrer peloche

[Scalp]

Gros apport le blu ray par rapport au dvd ? parce que je viens de voir les screens sur bluray.com et c'est correct mais pas génial j'ai l'impression.

[Heatmann]

je sais pas , c'est un blu que j'ai acheter y a un bail et juste empiler sur mes etagere et jamais remater depuis

[Scalp]

vérifie que t'as bien le disc dedans

[Heatmann]

pkoi ? ca t'es deja arriver de pas avoir le disc dedans ?

[Scalp]

Bein oue hier, j'ai voulu mater un film et y avait pas le disc, c'est un truc que j'avais acheté neuf sur amazon et que j'avais depuis 3 ans.

[Jimmy Two Times]

Ils serait bien vu qu'il nous sorte un Blu-ray Fr pour la sortie de Jack Reacher, ça ferait un joli combo!

[Heatmann]

Bein oue hier, j'ai voulu mater un film et y avait pas le disc, c'est un truc que j'avais acheté neuf sur amazon et que j'avais depuis 3 ans.

rho les boules , c'etait quoi le film

[Scalp]

La Grande Horloge un truc des 50's, ça fait chier parce que c'est du dvd à 15 €.

[caducia]

Nos souvenirs brûlés

Réalisé par Susanne Bier Avec Benicio Del Toro, Halle Berry, David Duchovny drame -usa- 1h58 -2007

8.5/10

Synopsis

Audrey et Brian menaient une vie tranquille et sans histoires : onze ans de mariage, deux enfants, le confort et la sécurité assurés, aucun souci à l'horizon. Mais, un jour, tout s'écroule :
Brian meurt, victime d'un acte de violence gratuite. Encore sous le choc, Audrey se tourne instinctivement vers le meilleur et plus ancien ami de son mari, Jerry Sunborne. Un homme qu'elle jugeait infréquentable, et dont elle comprenait à peine que Jerry continue à le fréquenter.

Critique

Une vraie réussite que ce film qui reste une histoire simple mais portée par la grande justesse de ses interprètes allant des acteurs les plus reconnus aux simples enfants. La réalisatrice Susanne Bier joue sur le contraste de la beauté des images et de la dureté des situations, avec un beau développement de la psychologie des personnages qui au début de film n'ont qu'un point commun (Steven Burke ) et se détestent mais que le destin va rapprocher.

Une mise en scène magistrale qui sublime chaque plan,montage syncopé, mégas gros plans, cadres étudiés, jouant sur les matériaux, la lumière et ce sont surtout les regards qu'on retiendra.
Halle Berry nous apparaît ici sans artifices et est resplendissante dans sa descente aux enfers alors que son personnage est d'un caractère assez dur, et qui touche le fond après la perte de son mari, néanmoins elle trouve le courage de tendre la main à quelqu'un qui est encore plus au fond du gouffre qu'elle. Son personnage est peu bavard ou a des propos secs et désobligeants la plupart du temps, la part de tendresse et de féminité part de son regard profondément triste ou de sa gestuelle gardant une part d’ambiguïté d'attirance et d'antipathie.

Benicio Del Toro nous livre aussi une performance remarquable de junkie (il a déjà la gueule de l'emploi), mais il tient ici un de ses meilleurs rôles avec une allure plutôt effrayante qui cache un gros coeur plein d'attention pour les autres. Magnétique, marginal tellement attachant dans sa profonde détresse, mais qui incarne avant tout l'espoir dans cette vie si sombre. Une vraie prouesse avec un personnage qui frôle constamment l’excès mais il n'y tombe jamais dedans.

Un film qui prend son temps, qui joue sur les non-dits et qui mêle habilement de purs moments de bonheurs simples avec de lourdes séquences tragiques mêlant sujets intimes et universels.
Film faisant la part belle aux images et aux sentiments en toute simplicité pour nous livrer de précieux moments d'une rare intensité avec une certaine pudeur pour nous livrer le portrait de personnages écorchés vifs.

[Heatmann]

celui la Way il me l'a fait acheter y a au moin 3 ans et il prend la poussiere

[caducia]

Bread and Roses

Réalisé par Ken Loach Avec Adrien Brody, Pilar Padilla, Elpidia Carillo drame -uk- 1h52 -2001

2/10

Synopsis

Le coeur gros, Maya a laisse sa mere a Cuernavaca pour emigrer aux Etats-Unis. Apres bien des péripéties, elle arrive a Los Angeles ou vit depuis longtemps sa soeur ainee Rosa. Energique et décidée, Maya decroche un premier job de serveuse dans un bar de nuit puis obtient de Rosa, employee dans une entreprise de nettoyage, qu'elle la presente a son directeur, Perez. Devenue femme de menage, Maya se retrouve au milieu d'une armee d'employees de toutes les nationalites, qui travaillent dans des conditions inacceptables. Maya refuse de se soumettre.

Critique

Film social qui dénonce les pratiques utilisées pour traiter le personnel de ménage qui exercent dans les immeubles haut de gamme des grandes villes des USA. Ken Loach traverse l’Atlantique pour s'occuper des travailleurs mexicains légaux et illégaux et de leurs conditions de travail. Hélas, la touche humoristique qui sévissait dans les critiques sociales britannique est quasi absente du métrage, avec un ton plutôt sérieux et réaliste.
Le film tombe rapidement dans le pathos, la facilité sans une once de génie et on ne peut garder qu'une courte scène forte et marquante dans tout le film sinon le déroulement de l'histoire est laborieuse peu prenante à moins d'avoir une âme de syndicaliste. Film qui offre une vision trop simpliste avec un combat incessant être oppresseurs et opprimés. Film humaniste avant tout qui peut juste nous donner un peu envie de nous battre devant les injustices mais qui ne nous apprend pas grand chose.

[osorojo]

Hélas, la touche humoristique qui sévissait dans les critiques sociales britannique est quasi absente du métrage, avec un ton plutôt sérieux et réaliste

T'as découvert Ken Loach avec Looking for Eric et La part des anges ?

Et ensuite, je vois pas en quoi le film tombe dans la caricature facile. Il relate un état de fait sur certaines conditions de travail aux états unis. Je ne sais pas combien tu as vu de Ken Loach, mais ça ne semble pas fait pour toi